II. 161
Ce matin-là Le lendemain matin, un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures, et
nous roulions depuis un moment déjà sur une routeensoleillée pluvieuse qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moisur la banquette à l'arrièredu taxi,
les jambes bien écartées sur lea banquette du siège et les deux piedsimmobiles dressés à la
varticale que chaussaient de petites bottines botillons en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. , je me baissais pour pouvoir??? ??? sa sandale en plastique avec lui.Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif.Ca sentait le caca dans le taxi, et le Le chauffeur, dont qui faisait l'innocent, vous croyez que je ne vousai avais pas vu
j'apercevais la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot
depuis le départ de l'hôtel, et je sentais qu' il ??? ne cessaint de m'observer
d'un air impénétrable, dans le rétroviseurderrière ses lunettesnoires à verres teintés. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant
le vieil le vieil annuaire dela réception de l'hôtel et je l'avais appeléen début de matinée en début de matinée pour
avec méfiance qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'intention
de faire quelques courses.
avec beaucoup de conviction je trouvais,
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Ce matin-là , un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures, et
nous roulions depuis un moment déjà sur une routeensoleillée qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moisur la banquette arrière,
les jambes bien écartées sur lesiège et les deux piedsimmobiles à la
varticale que chaussaient de petites bottines en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur, dont
j'apercevais la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot
depuis le départ de l'hôtel, et je sentais qu' il ne cessait de m'observer
dans le rétroviseur. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant
le vieil annuaire de l'hôtel et je l'avais appeléen début de matinée pour
qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'intention
de faire quelques courses.
II. 161
Ce matin-là Le lendemain matin, un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures, et
nous roulions depuis un moment déjà sur une routeensoleillée pluvieuse qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moisur la banquette à l'arrièredu taxi,
les jambes bien écartées sur lea banquette du siège et les deux piedsimmobiles dressés à la
varticale que chaussaient de petites bottines botillons en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. , je me baissais pour pouvoir??? ??? sa sandale en plastique avec lui.Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif.Ca sentait le caca dans le taxi, et le Le chauffeur, dont qui faisait l'innocent, vous croyez que je ne vousai avais pas vu
j'apercevais la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot
depuis le départ de l'hôtel, et je sentais qu' il ??? ne cessaint de m'observer
d'un air impénétrable, dans le rétroviseurderrière ses lunettesnoires à verres teintés. Je m'étais procuré son numéro de téléphone en consultant
le vieil le vieil annuaire dela réception de l'hôtel et je l'avais appeléen début de matinée en début de matinée pour
avec méfiance qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'intention
de faire quelques courses.
avec beaucoup de conviction je trouvais,
II. 161
Ce matin-là , un taxi vint me chercher à l'hôtel vers dix heures, et
nous roulions depuis un moment déjà sur une routeensoleillée qui montait
entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moisur la banquette arrière,
les jambes bien écartées sur lesiège et les deux piedsimmobiles à la
varticale que chaussaient de petites bottines en cuir. Une de ses mains
reposait sur ma cuisse et de l'autre, il serrait son phoque en peluche
contre sa poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche
et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur, dont
j'apercevais la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot
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qu'il me conduise à Santagralo, le petit port voisin, où j'avais l'intention
de faire quelques courses.