II. 191
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, j'entrai la tête baissée et
le suivis dans le couloir
je le suivis dans le copuloir. Son pantalon de pyjama flottait sur ses
cuisses et sa veste de survêtement remonatit légèrement sur son dos. Il
avait une allure voûtée et le pas lourd, dans ses mains cliquetaient
un trousseau de clefs. Il s'arrêta devant la porte de sa chambre,
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il avait fait de la lumière dans l'hôtel, et la veilleuse jaunâtre
brillait dans le couloir.
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il n'avait pas fait de lumière dans sa chambre, dont je voyais la porte
entrouverte, mais avais allumé la veilleuse jâunâtre qui jetai une filet
de clartéblafarde au rez-de-chaussée. Son pantalon flottait sur ses cuisses, et
[d1]slsa veste de survêtement remontait légèrement dans son dos .et Il avait une allure
voûtée,<d1> etle son pasétait lourd et lses pieds nus; dans ses mains, cliquetaient
un trousseau de clefs.Il s'arrêta devant la porte de sa chambre nous restâmes un instant face à face en silence et jJe
lui demandai si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle
à manger. Ilne parutne pas comprendre ma question et, comme je la répétais,
il me dit de mauvaise grâce que ce n'était pas lui,mais mais peut-être sa
femmequi souffrait d'insomnies.Il ne me faisait pas Ce n'était pas v raiemntla une
conversationqu'il me faisait, maisil se parlait comme à lui-même<d2>, m'expliquant que
sa femme souffrait d'insomnies et qu'il lui arrivait souvent de lire très
tard dans son lit tandis que lui dormit déjà. Il parlait[d2] en regardant
son trousseau de clefs. Et Cen'était ne fut pas vraiment une question non plus de ma
partnon plus, mais , sur le même ton monotoneet qui s'apparentait faussement , comme pour dire quelque chose,
à une conversation, je lui demandai ce qu'elle lisait. Il me regarda un instant, très étonné, comme à contre-coeur et il me dit que,
oh, là, elle lisait une grosse biographie de Catherine de Médicisd'Henri IV.
qu'elle était en train de lire une biographie d'Henri IV.
La poule au pot,oui, dis-je.
et finit par me dire à
ajouta-t-il au bout d'un instant comme pour lui-même
La poule au pot, oui, dis-je,
II. 191
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, j'entrai la tête baissée et
le suivis dans le couloir
je le suivis dans le copuloir. Son pantalon de pyjama flottait sur ses
cuisses et sa veste de survêtement remonatit légèrement sur son dos. Il
avait une allure voûtée et le pas lourd, dans ses mains cliquetaient
un trousseau de clefs. Il s'arrêta devant la porte de sa chambre,
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il avait fait de la lumière dans l'hôtel, et la veilleuse jaunâtre
brillait dans le couloir.
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il n'avait pas fait de lumière dans sa chambre, dont je voyais la porte
entrouverte, mais avais allumé la veilleuse jâunâtre qui jetai une filet
de clarté au rez-de-chaussée. Son pantalon flottait sur ses cuisses et
slsa veste de survêtement remontait légèrement dans son dos . Il avait une allure
voûtée etle pas lourd et les pieds nus; dans ses mains, cliquetaient
un trousseau de clefs.Il s'arrêta devant la porte de sa chambre et je
lui demandai si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle
à manger. Ilne parut pas comprendre ma question et, comme je la répétais,
il me dit de mauvaise grâce que ce n'était pas lui, mais peut-être sa
femmequi souffrait d'insomnies.Il ne me faisait pas v raiemntla
conversation, mais se parlait comme à lui-même, m'expliquant que
sa femme souffrait d'insomnies et qu'il lui arrivait souvent de lire très
tard dans son lit tandis que lui dormit déjà. Il parlait en regardant son trousseau de clefs. Cen'était pas vraiment une question de ma
part, mais , sur le même ton monotoneet qui s'apparentait faussement
à une conversation, je lui demandai ce qu'elle lisait et il me dit que,
oh, là, elle lisait une grosse biographie de Catherine de Médicis.
II. 191
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, j'entrai la tête baissée et
le suivis dans le couloir
je le suivis dans le copuloir. Son pantalon de pyjama flottait sur ses
cuisses et sa veste de survêtement remonatit légèrement sur son dos. Il
avait une allure voûtée et le pas lourd, dans ses mains cliquetaient
un trousseau de clefs. Il s'arrêta devant la porte de sa chambre,
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il avait fait de la lumière dans l'hôtel, et la veilleuse jaunâtre
brillait dans le couloir.
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il n'avait pas fait de lumière dans sa chambre, dont je voyais la porte
entrouverte, mais avais allumé la veilleuse jâunâtre qui jetai une filet
de clartéblafarde au rez-de-chaussée. Son pantalon flottait sur ses cuisses, et
[d1]slsa veste de survêtement remontait légèrement dans son dos .et Il avait une allure
voûtée,<d1> etle son pasétait lourd et lses pieds nus; dans ses mains, cliquetaient
un trousseau de clefs.Il s'arrêta devant la porte de sa chambre nous restâmes un instant face à face en silence et jJe
lui demandai si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle
à manger. Ilne parutne pas comprendre ma question et, comme je la répétais,
il me dit de mauvaise grâce que ce n'était pas lui,mais mais peut-être sa
femmequi souffrait d'insomnies.Il ne me faisait pas Ce n'était pas v raiemntla une
conversationqu'il me faisait, maisil se parlait comme à lui-même<d2>, m'expliquant que
sa femme souffrait d'insomnies et qu'il lui arrivait souvent de lire très
tard dans son lit tandis que lui dormit déjà. Il parlait[d2] en regardant
son trousseau de clefs. Et Cen'était ne fut pas vraiment une question non plus de ma
partnon plus, mais , sur le même ton monotoneet qui s'apparentait faussement , comme pour dire quelque chose,
à une conversation, je lui demandai ce qu'elle lisait. Il me regarda un instant, très étonné, comme à contre-coeur et il me dit que,
oh, là, elle lisait une grosse biographie de Catherine de Médicisd'Henri IV.
qu'elle était en train de lire une biographie d'Henri IV.
La poule au pot,oui, dis-je.
et finit par me dire à
ajouta-t-il au bout d'un instant comme pour lui-même
La poule au pot, oui, dis-je,
II. 191
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, j'entrai la tête baissée et
le suivis dans le couloir
je le suivis dans le copuloir. Son pantalon de pyjama flottait sur ses
cuisses et sa veste de survêtement remonatit légèrement sur son dos. Il
avait une allure voûtée et le pas lourd, dans ses mains cliquetaient
un trousseau de clefs. Il s'arrêta devant la porte de sa chambre,
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il avait fait de la lumière dans l'hôtel, et la veilleuse jaunâtre
brillait dans le couloir.
Lorsqu'il vint m'ouvrir la porte principale, je le suivis dans le couloir.
Il n'avait pas fait de lumière dans sa chambre, dont je voyais la porte
entrouverte, mais avais allumé la veilleuse jâunâtre qui jetai une filet
de clarté au rez-de-chaussée. Son pantalon flottait sur ses cuisses et
slsa veste de survêtement remontait légèrement dans son dos . Il avait une allure
voûtée etle pas lourd et les pieds nus; dans ses mains, cliquetaient
un trousseau de clefs.Il s'arrêta devant la porte de sa chambre et je
lui demandai si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle
à manger. Ilne parut pas comprendre ma question et, comme je la répétais,
il me dit de mauvaise grâce que ce n'était pas lui, mais peut-être sa
femmequi souffrait d'insomnies.Il ne me faisait pas v raiemntla
conversation, mais se parlait comme à lui-même, m'expliquant que
sa femme souffrait d'insomnies et qu'il lui arrivait souvent de lire très
tard dans son lit tandis que lui dormit déjà. Il parlait en regardant son trousseau de clefs. Cen'était pas vraiment une question de ma
part, mais , sur le même ton monotoneet qui s'apparentait faussement
à une conversation, je lui demandai ce qu'elle lisait et il me dit que,
oh, là, elle lisait une grosse biographie de Catherine de Médicis.