II. 203
qui traînait ses pieds nus sur le sol et les savates traînant sur le solqui traînaient sur le sol.
J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait
vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son
pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était
lente et voûtée pesante, le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il
avait laissé la porte de sa chambreentrouverte derrière lui, et avait allumé
une la veilleuse jaunâtredans le du couloir, qui jetait come un halo de
clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour
la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui
pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir
sans dire un mot.Il avançait devant moi de son pas lourd, et Il marchait devant moi de son pas lourd sans dire un mot, et Sa veste de survêtement remontait légèrement dans
son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê- entre la veste etle son pantalon de pyjama
tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que, dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs tandis qu'il
avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devantla porte de sa chambre,
et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte, ne disions toujours rien, ni l'un ni l'autre, je
finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de
la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas
comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un
l' avait fermée la baie vitrée de la salle à manger pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que
ce n'était pas lui.
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J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait
vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son
pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était
lente et voûtée , le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il
avait laissé la porte de sa chambreouverte derrière lui, et avait allumé
une veilleuse jaunâtredans le couloir, qui jetait come un halo de
clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour
la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui
pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir
sans dire un mot. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans
son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê-
tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que, dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs tandis qu'il
avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devant sa chambre,
et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte, je
finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de
la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas
comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un
l' avait fermée pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que
ce n'était pas lui.
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qui traînait ses pieds nus sur le sol et les savates traînant sur le solqui traînaient sur le sol.
J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait
vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son
pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était
lente et voûtée pesante, le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il
avait laissé la porte de sa chambreentrouverte derrière lui, et avait allumé
une la veilleuse jaunâtredans le du couloir, qui jetait come un halo de
clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour
la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui
pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir
sans dire un mot.Il avançait devant moi de son pas lourd, et Il marchait devant moi de son pas lourd sans dire un mot, et Sa veste de survêtement remontait légèrement dans
son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê- entre la veste etle son pantalon de pyjama
tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que, dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs tandis qu'il
avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devantla porte de sa chambre,
et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte, ne disions toujours rien, ni l'un ni l'autre, je
finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de
la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas
comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un
l' avait fermée la baie vitrée de la salle à manger pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que
ce n'était pas lui.
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J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait
vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son
pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était
lente et voûtée , le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il
avait laissé la porte de sa chambreouverte derrière lui, et avait allumé
une veilleuse jaunâtredans le couloir, qui jetait come un halo de
clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour
la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui
pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir
sans dire un mot. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans
son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê-
tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que, dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs tandis qu'il
avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devant sa chambre,
et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte, je
finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de
la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas
comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un
l' avait fermée pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que
ce n'était pas lui.