• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00203
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 203

                                                     qui traînait ses pieds nus sur le sol  et les savates traînant sur le solqui traînaient sur le sol. 

 J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait

vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son

pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était

lente et voûtée pesante, le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il

avait laissé la porte de sa chambreentrouverte derrière lui, et avait allumé

une la veilleuse jaunâtredans le du couloir, qui jetait come un halo de

clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour

la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui

pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir

sans dire un mot.Il avançait devant moi de son pas lourd, et Il marchait devant moi de son pas lourd sans dire un mot, et  Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê- entre la veste etle son pantalon de pyjama 

tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que,   dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs   tandis qu'il 

avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devantla porte de sa chambre,

et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte, ne disions toujours rien,  ni l'un ni l'autre,  je

finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de

la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas

comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un

l' avait fermée la baie vitrée de la salle à manger  pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que

ce n'était pas lui.

II. 203

                                                   

 J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait

vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son

pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était

lente et voûtée , le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il

avait laissé la porte de sa chambreouverte derrière lui, et avait allumé

une  veilleuse jaunâtredans le  couloir, qui jetait come un halo de

clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour

la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui

pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir

sans dire un mot. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê-  

tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que,   dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs   tandis qu'il 

avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devant sa chambre,

et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte,   je

finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de

la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas

comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un

l' avait fermée   pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que

ce n'était pas lui.

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 203

                                                     qui traînait ses pieds nus sur le sol  et les savates traînant sur le solqui traînaient sur le sol. 

 J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait

vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son

pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était

lente et voûtée pesante, le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il

avait laissé la porte de sa chambreentrouverte derrière lui, et avait allumé

une la veilleuse jaunâtredans le du couloir, qui jetait come un halo de

clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour

la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui

pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir

sans dire un mot.Il avançait devant moi de son pas lourd, et Il marchait devant moi de son pas lourd sans dire un mot, et  Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê- entre la veste etle son pantalon de pyjama 

tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que,   dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs   tandis qu'il 

avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devantla porte de sa chambre,

et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte, ne disions toujours rien,  ni l'un ni l'autre,  je

finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de

la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas

comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un

l' avait fermée la baie vitrée de la salle à manger  pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que

ce n'était pas lui.

II. 203

                                                   

 J'étais debourt sur le perron, et je voyais le patron qui s'avançait

vers moi dans le couloir pour venir m'ouvrir la porte principale. Son

pantalon de pyjama flottait le long de ses cuisses et sa démarche était

lente et voûtée , le pas lourd et les pieds nus dans des savates. Il

avait laissé la porte de sa chambreouverte derrière lui, et avait allumé

une  veilleuse jaunâtredans le  couloir, qui jetait come un halo de

clarté blafarde sur les murs. Il s'agenouilla au pied de la porte pour

la déverrouiler, et me fit entrer. Je restai un instant à côté de lui

pendant qu'il refermait la porte à clé, et le suivis dans le couloir

sans dire un mot. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de clair grasse à nusous les plis du vê-  

tement, et le trousseau de clefs cliquetaittandis que,   dans ses mains, cliquetait son trousseau de clefs   tandis qu'il 

avançait devant moi de son pas lourd. Il s'arrêta devant sa chambre,

et, comme nousrestions silencieux l'un et l'autre devant la porte,   je

finis par lui demander si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de

la salle à manger. La baie vitrée de la salle à manger.? Il parut ne pas

comprendre la question, et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un

l' avait fermée   pendant que je me trouvais dehors, il me dit que non, que

ce n'était pas lui.

Mentions légales - Crédits - Code source