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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00207
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II. 207

J'étais monté sur le perronde l'hôtel  et j'avais disposé mes mains 

?   Je montai les quelques marches du perron et m'arrêtai devant la porte

?  principale,mis disposai  mes mains en volet contre la vitre de la porte principale  pour tâcher de distinguer

quelque chose dans le noir. Tout était très sombre dans l'hôtel et j'aper-

cevais la réception au fond du couloir où les reflets de l'aquariumque baignait une lumière bleutée --> et comme flottante qui devait provenir des reflets de l'aquarium  faisait

régner une lumière bleutée. Puis, je redescendis les marches du perron, perron et longeai la

? façade jusqu'au à un petit volet encastrédans le mur dans le mur qui donnait de plain-pied

? sur la route etqui qui devaitsans doute correspondre à la fenêtre de la chambre des

patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le ciel

maintenant, et je frappai contre le bois, doucement, une première fois,

puis une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujours pas réponse,

je finis par appeler. Un long moment s'écoula encore,où je n'entendis 

toujours rien,  et, comme je m'apprêtais à frapper de nouveau, le volet

s'entrouvrit, très lentement, et le patron de l'hôtel apparut dans l'entre-

bâillement de la fenêtre, vêtupour ce que je pouvais en juger dr'  d'un

maillot de corps et d'une veste de survêtement bordeau toute frippée| qui

tombait le long de sa poitrineouverte sur sa poitrine. Je voyais sa femme couchée dans le lit

au fond de la pièce, et je ne sus quelui  dire,commençai à m'embrouillaiquelque peu  dansmes  

mes mdes explicationscompliquées. contradictoires.[d1]Il me regardait sans rien dire  <d2>en silence  Il ne bougeait pas Il me regardaiten silence sans bouger  , la main posée sur le

bois de la fenêtre,[d2]et me regardait dans les yeux <d1>  d'un  avec un ??? et il avait un air air méfiant et

presque menaçant,ne cherchant visiblement pas peu disposé visiblement  à me tendre la moindre perche.

Votre fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sans bougeren silence. Environ 

dix minutes, dit-il.<d3>Je continuais dele regarder en silence scruter son regard dans la pénombre. Et mainte-

nant, finis-je par dire à voix basse, il dort ? Il ne répondit pas tout

de suite. [d3], et  Je ne sais pas, dit-il, je ne suis pas monté, je croyais qu'il

y avait quelqu'un dans la chambre.

II. 207

 

  Je montai les quelques marches du perron et m'arrêtai devant la porte

  principale,mis   mes mains en volet contre la vitre   pour tâcher de distinguer

quelque chose dans le noir. Tout était très sombre dans l'hôtel et j'aper-

cevais la réception au fond du couloir où les reflets de l'aquarium  faisait

régner une lumière bleutée. Puis, je redescendis le perron et longeai la

 façade jusqu'au  petit volet encastrédans le mur  qui donnait de plain-pied

 sur la route etqui  devait correspondre à la fenêtre de la chambre des

patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le ciel

maintenant, et je frappai contre le bois, doucement, une première fois,

puis une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujours pas réponse,

je finis par appeler. Un long moment s'écoula encore,où je n'entendis 

toujours rien,  et, comme je m'apprêtais à frapper de nouveau, le volet

s'entrouvrit, très lentement, et le patron de l'hôtel apparut dans l'entre-

bâillement de la fenêtre, vêtupour ce que je pouvais en juger dr'  d'un

maillot de corps et d'une veste de survêtement bordeau toute frippée qui

tombait le long de sa poitrine. Je voyais sa femme couchée dans le lit

au fond de la pièce, et je ne sus que  dire, m'embrouillaiquelque peu  dans 

 mdes explications.Il me regardait sans rien dire     , la main posée sur le

bois de la fenêtre,et me regardait dans les yeux   d'un   air méfiant et

presque menaçant,ne cherchant visiblement pas   à me tendre la moindre perche.

Votre fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sans bouger. Environ 

dix minutes, dit-il.Je continuais dele regarder en silence . Et mainte-

nant, finis-je par dire à voix basse, il dort ? Il ne répondit pas tout

de suite. , et  Je ne sais pas, dit-il, je ne suis pas monté, je croyais qu'il

y avait quelqu'un dans la chambre.

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II. 207

J'étais monté sur le perronde l'hôtel  et j'avais disposé mes mains 

?   Je montai les quelques marches du perron et m'arrêtai devant la porte

?  principale,mis disposai  mes mains en volet contre la vitre de la porte principale  pour tâcher de distinguer

quelque chose dans le noir. Tout était très sombre dans l'hôtel et j'aper-

cevais la réception au fond du couloir où les reflets de l'aquariumque baignait une lumière bleutée --> et comme flottante qui devait provenir des reflets de l'aquarium  faisait

régner une lumière bleutée. Puis, je redescendis les marches du perron, perron et longeai la

? façade jusqu'au à un petit volet encastrédans le mur dans le mur qui donnait de plain-pied

? sur la route etqui qui devaitsans doute correspondre à la fenêtre de la chambre des

patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le ciel

maintenant, et je frappai contre le bois, doucement, une première fois,

puis une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujours pas réponse,

je finis par appeler. Un long moment s'écoula encore,où je n'entendis 

toujours rien,  et, comme je m'apprêtais à frapper de nouveau, le volet

s'entrouvrit, très lentement, et le patron de l'hôtel apparut dans l'entre-

bâillement de la fenêtre, vêtupour ce que je pouvais en juger dr'  d'un

maillot de corps et d'une veste de survêtement bordeau toute frippée| qui

tombait le long de sa poitrineouverte sur sa poitrine. Je voyais sa femme couchée dans le lit

au fond de la pièce, et je ne sus quelui  dire,commençai à m'embrouillaiquelque peu  dansmes  

mes mdes explicationscompliquées. contradictoires.[d1]Il me regardait sans rien dire  <d2>en silence  Il ne bougeait pas Il me regardaiten silence sans bouger  , la main posée sur le

bois de la fenêtre,[d2]et me regardait dans les yeux <d1>  d'un  avec un ??? et il avait un air air méfiant et

presque menaçant,ne cherchant visiblement pas peu disposé visiblement  à me tendre la moindre perche.

Votre fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sans bougeren silence. Environ 

dix minutes, dit-il.<d3>Je continuais dele regarder en silence scruter son regard dans la pénombre. Et mainte-

nant, finis-je par dire à voix basse, il dort ? Il ne répondit pas tout

de suite. [d3], et  Je ne sais pas, dit-il, je ne suis pas monté, je croyais qu'il

y avait quelqu'un dans la chambre.

II. 207

 

  Je montai les quelques marches du perron et m'arrêtai devant la porte

  principale,mis   mes mains en volet contre la vitre   pour tâcher de distinguer

quelque chose dans le noir. Tout était très sombre dans l'hôtel et j'aper-

cevais la réception au fond du couloir où les reflets de l'aquarium  faisait

régner une lumière bleutée. Puis, je redescendis le perron et longeai la

 façade jusqu'au  petit volet encastrédans le mur  qui donnait de plain-pied

 sur la route etqui  devait correspondre à la fenêtre de la chambre des

patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le ciel

maintenant, et je frappai contre le bois, doucement, une première fois,

puis une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujours pas réponse,

je finis par appeler. Un long moment s'écoula encore,où je n'entendis 

toujours rien,  et, comme je m'apprêtais à frapper de nouveau, le volet

s'entrouvrit, très lentement, et le patron de l'hôtel apparut dans l'entre-

bâillement de la fenêtre, vêtupour ce que je pouvais en juger dr'  d'un

maillot de corps et d'une veste de survêtement bordeau toute frippée qui

tombait le long de sa poitrine. Je voyais sa femme couchée dans le lit

au fond de la pièce, et je ne sus que  dire, m'embrouillaiquelque peu  dans 

 mdes explications.Il me regardait sans rien dire     , la main posée sur le

bois de la fenêtre,et me regardait dans les yeux   d'un   air méfiant et

presque menaçant,ne cherchant visiblement pas   à me tendre la moindre perche.

Votre fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sans bouger. Environ 

dix minutes, dit-il.Je continuais dele regarder en silence . Et mainte-

nant, finis-je par dire à voix basse, il dort ? Il ne répondit pas tout

de suite. , et  Je ne sais pas, dit-il, je ne suis pas monté, je croyais qu'il

y avait quelqu'un dans la chambre.

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