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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00234
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  • Tapuscrit

II. 234

sans bruit.                                                        sur le rebord de la

cheminée, à côté d'une pile de livres et d'une tasse de café vide qui

reposaoit dans la pénombre, et, m'approchantdu bureau de la table de travail , je m'étonnai de

ne pas trouver sa machine à écrire. Je ramassai les deux lettres qui se

trouvaient sur lea bureau table de travail  le bureau  et me rendis compte que c'était les deux lettres

que j'avis laissées dans la boîte quand j'avais pris le courrier. Je

ne pouvais en être tout à fait sûr car je ne les avais pas examinées

avec suffisamment d'attention la première fois que je les avais eues

dans les mains, mais c'était bien deux lettres de même nature, l'une

étant  manifestement publicitaire et l'autre provenant d'un organisme de

crédit. , Elles n'avait pas été ouvertes 

avec les mêmes longues enveloppes rectangulaires qui laissaient un 

et toutesles  deuxétaient  adressées à Paul Biaggi.

volet transparent pour le nom et l'adresse, et toutes les deux étaient 

adressées à Paul Biaggi. 

            Je reposai les lettres sur le bureau, et quittai la pièce,sortis de la maison par le garage.  en silence.  

Allez, viens, don Juan, dis-je.

Il avait trouvé une petite vieille qui lui avait donné un morceau de

pain au chocolat, et il ne décollait pas. Allez, viens, don Juan, dis-je.

Au-revoir, madame. Je

II. 234

sans bruit.                                                        sur le rebord de la

cheminée, à côté d'une pile de livres et d'une tasse de café vide qui

reposaoit dans la pénombre, et, m'approchantdu bureau  , je m'étonnai de

ne pas trouver sa machine à écrire. Je ramassai les deux lettres qui se

trouvaient sur le bureau  et me rendis compte que c'était les deux lettres

que j'avis laissées dans la boîte quand j'avais pris le courrier. Je

ne pouvais en être tout à fait sûr car je ne les avais pas examinées

avec suffisamment d'attention la première fois que je les avais eues

dans les mains, mais c'était bien deux lettres de même nature, l'une

étant  manifestement publicitaire et l'autre provenant d'un organisme de

crédit.  Elles n'avait pas été ouvertes 

avec les mêmes longues enveloppes rectangulaires qui laissaient un 

 toutes  deux  adressées à Paul Biaggi.

volet transparent pour le nom et l'adresse, et toutes les deux étaient 

adressées à Paul Biaggi. 

             

Allez, viens, don Juan, dis-je.

Il avait trouvé une petite vieille qui lui avait donné un morceau de

pain au chocolat, et il ne décollait pas. Allez, viens, don Juan, dis-je.

Au-revoir, madame. Je

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II. 234

sans bruit.                                                        sur le rebord de la

cheminée, à côté d'une pile de livres et d'une tasse de café vide qui

reposaoit dans la pénombre, et, m'approchantdu bureau de la table de travail , je m'étonnai de

ne pas trouver sa machine à écrire. Je ramassai les deux lettres qui se

trouvaient sur lea bureau table de travail  le bureau  et me rendis compte que c'était les deux lettres

que j'avis laissées dans la boîte quand j'avais pris le courrier. Je

ne pouvais en être tout à fait sûr car je ne les avais pas examinées

avec suffisamment d'attention la première fois que je les avais eues

dans les mains, mais c'était bien deux lettres de même nature, l'une

étant  manifestement publicitaire et l'autre provenant d'un organisme de

crédit. , Elles n'avait pas été ouvertes 

avec les mêmes longues enveloppes rectangulaires qui laissaient un 

et toutesles  deuxétaient  adressées à Paul Biaggi.

volet transparent pour le nom et l'adresse, et toutes les deux étaient 

adressées à Paul Biaggi. 

            Je reposai les lettres sur le bureau, et quittai la pièce,sortis de la maison par le garage.  en silence.  

Allez, viens, don Juan, dis-je.

Il avait trouvé une petite vieille qui lui avait donné un morceau de

pain au chocolat, et il ne décollait pas. Allez, viens, don Juan, dis-je.

Au-revoir, madame. Je

II. 234

sans bruit.                                                        sur le rebord de la

cheminée, à côté d'une pile de livres et d'une tasse de café vide qui

reposaoit dans la pénombre, et, m'approchantdu bureau  , je m'étonnai de

ne pas trouver sa machine à écrire. Je ramassai les deux lettres qui se

trouvaient sur le bureau  et me rendis compte que c'était les deux lettres

que j'avis laissées dans la boîte quand j'avais pris le courrier. Je

ne pouvais en être tout à fait sûr car je ne les avais pas examinées

avec suffisamment d'attention la première fois que je les avais eues

dans les mains, mais c'était bien deux lettres de même nature, l'une

étant  manifestement publicitaire et l'autre provenant d'un organisme de

crédit.  Elles n'avait pas été ouvertes 

avec les mêmes longues enveloppes rectangulaires qui laissaient un 

 toutes  deux  adressées à Paul Biaggi.

volet transparent pour le nom et l'adresse, et toutes les deux étaient 

adressées à Paul Biaggi. 

             

Allez, viens, don Juan, dis-je.

Il avait trouvé une petite vieille qui lui avait donné un morceau de

pain au chocolat, et il ne décollait pas. Allez, viens, don Juan, dis-je.

Au-revoir, madame. Je

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