II, 264
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de
la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse
et
déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village.
<#D1>
De longs
nuages noirs glissaient
dans le ciel et
recouvraient
la lune
au loin
et
en face de moi
Dans
l'enclos abandonné
tout parsemé de pierres et de chardons qui
faisait face
qui
s'étendait
faisait face à l'hôtel tout parsemé de
pierres et de chardons
à
l'hôtel
, l'âne que j'avais déjà aperçu se tenait immobile
dans l'obscurité
à côté d'un figuier désséché dont les branches
recourbées faisaient de longues
ombres sur le sol
tout parsemé de pierres et de chardons
.
On ne voyait pas le port de ma fenêtre, mais j'entendais
le murmure
de la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui
régnait et
m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
[D1]
Rien
ne bougeait alentour,
et je respirais lentement l'odeur de la
nuit à la
fenêtre
de ma chambre
.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et
l
L
a lumière de
la lune
qui
entrait
paisiblement
dans la pièce,
qui
et
éclairait
son
le
son
visage endormi
|
de mon fils
qui dormait derrière
moi et
que
que je devinais à travers le carré de tissu finement ajouré de la paroi
de son
petit lit. Il dormait la bouche ouverte, immobile, le souffle
régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine. Je rabattis
doucement le
volet, finalement, et allai
m'étendre
sur le lit
tout habillé
sur mon lit
,
où je
demeura
i
nt
un instant les yeux ouverts dans le noir.
II, 264
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de
la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse
et
déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village.
Dans
l'enclos abandonné
tout parsemé de pierres et de chardons qui
faisait face
à
l'hôtel
, l'âne que j'avais déjà aperçu se tenait immobile
dans l'obscurité à côté d'un figuier désséché dont les branches
recourbées faisaient de longues ombres sur le sol
tout parsemé de pierres et de chardons
.
On ne voyait pas le port de ma fenêtre, mais j'entendais
le murmure
de la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui
régnait et
m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
Rien ne bougeait alentour,
et je respirais lentement l'odeur de la
nuit à la
fenêtre
.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et
l
a lumière de
la lune
entrait
dans la pièce,
qui
et
éclairait
son
le
visage endormi
que je devinais à travers le carré de tissu finement ajouré de la paroi
de son
petit lit. Il dormait la bouche ouverte, immobile, le souffle
régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine. Je rabattis
doucement le
volet, finalement, et allai
tout habillé
sur mon lit
,
où je
demeura
i
un instant les yeux ouverts dans le noir.
II, 264
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de
la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse
et
déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village.
<#D1>
De longs
nuages noirs glissaient
dans le ciel et
recouvraient
la lune
au loin
et
en face de moi
Dans
l'enclos abandonné
tout parsemé de pierres et de chardons qui
faisait face
qui
s'étendait
faisait face à l'hôtel tout parsemé de
pierres et de chardons
à
l'hôtel
, l'âne que j'avais déjà aperçu se tenait immobile
dans l'obscurité
à côté d'un figuier désséché dont les branches
recourbées faisaient de longues
ombres sur le sol
tout parsemé de pierres et de chardons
.
On ne voyait pas le port de ma fenêtre, mais j'entendais
le murmure
de la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui
régnait et
m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
[D1]
Rien
ne bougeait alentour,
et je respirais lentement l'odeur de la
nuit à la
fenêtre
de ma chambre
.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et
l
L
a lumière de
la lune
qui
entrait
paisiblement
dans la pièce,
qui
et
éclairait
son
le
son
visage endormi
|
de mon fils
qui dormait derrière
moi et
que
que je devinais à travers le carré de tissu finement ajouré de la paroi
de son
petit lit. Il dormait la bouche ouverte, immobile, le souffle
régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine. Je rabattis
doucement le
volet, finalement, et allai
m'étendre
sur le lit
tout habillé
sur mon lit
,
où je
demeura
i
nt
un instant les yeux ouverts dans le noir.
II, 264
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de
la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse
et
déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village.
Dans
l'enclos abandonné
tout parsemé de pierres et de chardons qui
faisait face
à
l'hôtel
, l'âne que j'avais déjà aperçu se tenait immobile
dans l'obscurité à côté d'un figuier désséché dont les branches
recourbées faisaient de longues ombres sur le sol
tout parsemé de pierres et de chardons
.
On ne voyait pas le port de ma fenêtre, mais j'entendais
le murmure
de la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui
régnait et
m'apportait comme un apaisement des sens et de l'esprit.
Rien ne bougeait alentour,
et je respirais lentement l'odeur de la
nuit à la
fenêtre
.
Mon fils dormait derrière moi dans la pénombre, et
l
a lumière de
la lune
entrait
dans la pièce,
qui
et
éclairait
son
le
visage endormi
que je devinais à travers le carré de tissu finement ajouré de la paroi
de son
petit lit. Il dormait la bouche ouverte, immobile, le souffle
régulier,
son phoque en peluche serré contre sa poitrine. Je rabattis
doucement le
volet, finalement, et allai
tout habillé
sur mon lit
,
où je
demeura
i
un instant les yeux ouverts dans le noir.