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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00266
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II, 266

J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La route s'étendait devant moi devant moi dans la nuit, silencieuse
et déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. Devant moi, On apercevait bien au loin l'hôtel, dans l'enclos abandonné qui s'étendait dans l'obscurité, faisait face à l'hôtel il y
avait toujours
u Un L' âne , était se tenait immobile
à côté d'un
arbre
dans l'obscurité,
à côté d'un figuier à côté d'un
figuier.
il redressait faiblement la tête de temps à autre, et broutait au hasard quelques herbes, des pierres des caisses de détritus. desséché
dont les branches
recourbées
faisaient de longues
ombres sur le sol
au loin, qui continuait de qui ??? broutait au hasard dans un mauvais terrain vague dans l'enclos abandonné qui faisait face à l'hôtel tout parsemé
de pierres et
de chardons
tout parsemé de pierres et de chardons. broutant des herbes des qui s'étendait dans l'obscurité devant l'hôtel. faisait face à l'hôtel. On ne voyait pas
le port de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près,
qui s'accordait intimement au silence qui régnait alentour et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit tandis que . L'air était frais et pur, Rien ne bougeait devant moi autour de alentour je respirais lentement
l'odeur de la nuit à la fenêtre. Mon fils dormait derrière moi dans la
pénombre, et la lumière de la lune entrait dans la pièce, qui éclairait
son visage endormi que je devinais à travers le carré de tissu finement
ajouré dans la paroi de son petit lit pliant . Il dortmait la bouche entr ouverte,
immobile, le souffle régulier, son ph i o que en peluche serré contre sa
poitrine. Je rabattis doucement le volet, finalement finalement , et allai me couch ai er tout
habillé sur mon le mon lit, où je demeurai un instant les yeux ouverts dans le
noir.

II, 266

J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse
et déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. Devant moi, l'hôtel, dans l'enclos abandonné qui s'étendait dans l'obscurité, faisait face à l'hôtel il y avait toujours u âne au loin, qui continuait de broutait au hasard dans un mauvais terrain vague tout parsemé de pierres et de chardons. broutant des herbes des qui s'étendait dans l'obscurité devant l'hôtel. faisait face à l'hôtel. On ne voyait pas
le port de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près,
qui s'accordait intimement au silence qui régnait alentour et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit tandis que je respirais lentement
l'odeur de la nuit à la fenêtre. Mon fils dormait derrière moi dans la
pénombre, et la lumière de la lune entrait dans la pièce, qui éclairait
son visage endormi que je devinais à travers le carré de tissu finement
ajouré dans la paroi de son lit pliant . Il dortmait la bouche entr ouverte,
immobile, le souffle régulier, son ph i que en peluche serré contre sa
poitrine. Je rabattis doucement le volet, finalement , et me couch ai tout
habillé sur mon le lit, où je demeurai un instant les yeux ouverts dans le
noir.

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II, 266

J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La route s'étendait devant moi devant moi dans la nuit, silencieuse
et déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. Devant moi, On apercevait bien au loin l'hôtel, dans l'enclos abandonné qui s'étendait dans l'obscurité, faisait face à l'hôtel il y
avait toujours
u Un L' âne , était se tenait immobile
à côté d'un
arbre
dans l'obscurité,
à côté d'un figuier à côté d'un
figuier.
il redressait faiblement la tête de temps à autre, et broutait au hasard quelques herbes, des pierres des caisses de détritus. desséché
dont les branches
recourbées
faisaient de longues
ombres sur le sol
au loin, qui continuait de qui ??? broutait au hasard dans un mauvais terrain vague dans l'enclos abandonné qui faisait face à l'hôtel tout parsemé
de pierres et
de chardons
tout parsemé de pierres et de chardons. broutant des herbes des qui s'étendait dans l'obscurité devant l'hôtel. faisait face à l'hôtel. On ne voyait pas
le port de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près,
qui s'accordait intimement au silence qui régnait alentour et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit tandis que . L'air était frais et pur, Rien ne bougeait devant moi autour de alentour je respirais lentement
l'odeur de la nuit à la fenêtre. Mon fils dormait derrière moi dans la
pénombre, et la lumière de la lune entrait dans la pièce, qui éclairait
son visage endormi que je devinais à travers le carré de tissu finement
ajouré dans la paroi de son petit lit pliant . Il dortmait la bouche entr ouverte,
immobile, le souffle régulier, son ph i o que en peluche serré contre sa
poitrine. Je rabattis doucement le volet, finalement finalement , et allai me couch ai er tout
habillé sur mon le mon lit, où je demeurai un instant les yeux ouverts dans le
noir.

II, 266

J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La route s'étendait devant moi dans la nuit, silencieuse
et déserte, qui continuait en sinuant jusqu'à la sortie du village. Devant moi, l'hôtel, dans l'enclos abandonné qui s'étendait dans l'obscurité, faisait face à l'hôtel il y avait toujours u âne au loin, qui continuait de broutait au hasard dans un mauvais terrain vague tout parsemé de pierres et de chardons. broutant des herbes des qui s'étendait dans l'obscurité devant l'hôtel. faisait face à l'hôtel. On ne voyait pas
le port de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure de la mer, tout près,
qui s'accordait intimement au silence qui régnait alentour et m'apportait
comme un apaisement des sens et de l'esprit tandis que je respirais lentement
l'odeur de la nuit à la fenêtre. Mon fils dormait derrière moi dans la
pénombre, et la lumière de la lune entrait dans la pièce, qui éclairait
son visage endormi que je devinais à travers le carré de tissu finement
ajouré dans la paroi de son lit pliant . Il dortmait la bouche entr ouverte,
immobile, le souffle régulier, son ph i que en peluche serré contre sa
poitrine. Je rabattis doucement le volet, finalement , et me couch ai tout
habillé sur mon le lit, où je demeurai un instant les yeux ouverts dans le
noir.

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