II, 383
Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l'écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. J'étais à moins de quatre mètres d'elle maintenant,
et je continuais à avancer. Elle m'avait reconnu à présentmaintenant, et elle ne
bougeait pas, elle me regardait. J'avançai jusqu'à elle, et je voyais
ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement, qui me souriaient et
qui semblaient ne pas comprendre. Ses lèvres aussi me souriaient, elle
me souriait sans bouger et laissa aller sa tête contre mon épaule fis un pas en avant quand
j'arrivai à sa hauteur. pour laisser aller sa tête contre ma poitrine se laisser aller contre épaule. Je lui avais pris la taille, et je sentais le
contact de sa chair sous le tissu très léger de sa chemise de nuit. Qu'est-
ce que tu fais là ? me dit-elle à voix basse, et, doucement, elle releva la tête pour releva la tête pour m'
embrasseradoucementmles lèvres.
Hélène*, dis-je Hélène*.
II, 383
Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l'écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. J'étais à moins de quatre mètres d'elle maintenant,
et je continuais à avancer. Elle m'avait reconnu à présent, et elle ne
bougeait pas, elle me regardait. J'avançai jusqu'à elle, et je voyais
ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement, qui me souriaient et
qui semblaient ne pas comprendre. Ses lèvres aussi me souriaient, elle
me souriait sans bouger et laissa aller sa tête contre mon épaule quand
j'arrivai à sa hauteur. . Je lui avais pris la taille, et je sentais le
contact de sa chair sous le tissu très léger de sa chemise de nuit. Qu'est-
ce que tu fais là ? me dit-elle à voix basse, et elle releva la tête pour
embrasserdoucementmes lèvres.
Hélène, dis-je Hélène.
II, 383
Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l'écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. J'étais à moins de quatre mètres d'elle maintenant,
et je continuais à avancer. Elle m'avait reconnu à présentmaintenant, et elle ne
bougeait pas, elle me regardait. J'avançai jusqu'à elle, et je voyais
ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement, qui me souriaient et
qui semblaient ne pas comprendre. Ses lèvres aussi me souriaient, elle
me souriait sans bouger et laissa aller sa tête contre mon épaule fis un pas en avant quand
j'arrivai à sa hauteur. pour laisser aller sa tête contre ma poitrine se laisser aller contre épaule. Je lui avais pris la taille, et je sentais le
contact de sa chair sous le tissu très léger de sa chemise de nuit. Qu'est-
ce que tu fais là ? me dit-elle à voix basse, et, doucement, elle releva la tête pour releva la tête pour m'
embrasseradoucementmles lèvres.
Hélène*, dis-je Hélène*.
II, 383
Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l'écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. J'étais à moins de quatre mètres d'elle maintenant,
et je continuais à avancer. Elle m'avait reconnu à présent, et elle ne
bougeait pas, elle me regardait. J'avançai jusqu'à elle, et je voyais
ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement, qui me souriaient et
qui semblaient ne pas comprendre. Ses lèvres aussi me souriaient, elle
me souriait sans bouger et laissa aller sa tête contre mon épaule quand
j'arrivai à sa hauteur. . Je lui avais pris la taille, et je sentais le
contact de sa chair sous le tissu très léger de sa chemise de nuit. Qu'est-
ce que tu fais là ? me dit-elle à voix basse, et elle releva la tête pour
embrasserdoucementmes lèvres.
Hélène, dis-je Hélène.