II, 398
Je ramassai un gros cendrier en marbre, assez lourd, sur la table
basse du salon et sortis de la pièce, entrai sans bruit dans le vestibule
désert de la villa. Je me tenais tout près du mur, et avançai dans l'ombre
jusqu'à l'escalier. Il y avait de la lumière à l'étage, la porte de la
chambre des Biaggi*, tout au fond du couloir, était entrouverte, et Hélèn
Biaggi* se tenait immobile devant la porte, en chemise de nuit. Elle était
debout et elle ne bougeait pas.
Je montai quelques marches et m'arrêtai au milieu de l'escalier. Il y
avait de la lumière à l'étage
montai les escaliers.
et avançais dans l'ombre. La rampe de l'esclaire se découpait dans
l'obscurité, et tout était très sombre à l'étage
et je traversai le vestibule, commençai à monter les escaliers.
Une porte était ouverte à l'étage tout au fond du couloir, et de la
lumière
et il y avait de la lumière sur le sol
II, 398
Je ramassai un gros cendrier en marbre, assez lourd, sur la table
basse du salon et sortis de la pièce, entrai sans bruit dans le vestibule
désert de la villa. Je me tenais tout près du mur, et avançai dans l'ombre
jusqu'à l'escalier. Il y avait de la lumière à l'étage, la porte de la
chambre des Biaggi*, tout au fond du couloir, était entrouverte, et Hélèn
Biaggi* se tenait immobile devant la porte, en chemise de nuit. Elle était
debout et elle ne bougeait pas.
Je montai quelques marches et m'arrêtai au milieu de l'escalier. Il y
avait de la lumière à l'étage
montai les escaliers.
et avançais dans l'ombre. La rampe de l'esclaire se découpait dans
l'obscurité, et tout était très sombre à l'étage
et je traversai le vestibule, commençai à monter les escaliers.
Une porte était ouverte à l'étage tout au fond du couloir, et de la
lumière
et il y avait de la lumière sur le sol
II, 398
Je ramassai un gros cendrier en marbre, assez lourd, sur la table
basse du salon et sortis de la pièce, entrai sans bruit dans le vestibule
désert de la villa. Je me tenais tout près du mur, et avançai dans l'ombre
jusqu'à l'escalier. Il y avait de la lumière à l'étage, la porte de la
chambre des Biaggi*, tout au fond du couloir, était entrouverte, et Hélèn
Biaggi* se tenait immobile devant la porte, en chemise de nuit. Elle était
debout et elle ne bougeait pas.
Je montai quelques marches et m'arrêtai au milieu de l'escalier. Il y
avait de la lumière à l'étage
montai les escaliers.
et avançais dans l'ombre. La rampe de l'esclaire se découpait dans
l'obscurité, et tout était très sombre à l'étage
et je traversai le vestibule, commençai à monter les escaliers.
Une porte était ouverte à l'étage tout au fond du couloir, et de la
lumière
et il y avait de la lumière sur le sol
II, 398
Je ramassai un gros cendrier en marbre, assez lourd, sur la table
basse du salon et sortis de la pièce, entrai sans bruit dans le vestibule
désert de la villa. Je me tenais tout près du mur, et avançai dans l'ombre
jusqu'à l'escalier. Il y avait de la lumière à l'étage, la porte de la
chambre des Biaggi*, tout au fond du couloir, était entrouverte, et Hélèn
Biaggi* se tenait immobile devant la porte, en chemise de nuit. Elle était
debout et elle ne bougeait pas.
Je montai quelques marches et m'arrêtai au milieu de l'escalier. Il y
avait de la lumière à l'étage
montai les escaliers.
et avançais dans l'ombre. La rampe de l'esclaire se découpait dans
l'obscurité, et tout était très sombre à l'étage
et je traversai le vestibule, commençai à monter les escaliers.
Une porte était ouverte à l'étage tout au fond du couloir, et de la
lumière
et il y avait de la lumière sur le sol