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  1. Exploration des brouillons
  2. #04
  3. LRT_04_01_00284
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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

IV 284




C'était la même villa que j'apercevaisavais devant moi à travers les barreaux de la grille d'entrée de la propriété,basse et allongée, une construction récente assez conventionnelle.entièrement fermée maintenant.

Description →sim???


J'avais sorti de ma poche les trois lettres adressées aux Biaggi*,
les examinant un instant distraitement, les examinant une dernière fois distraitement  ??? une dernière fois ??? sans m'attarder, distraitement, et, comme j'allais les glisser
dans la boîte aux lettres accrochée sur à la grille d'entrée de la propriété, ma main
s'immobilisa à quelques centimètres de la fente de la boîte aux lettres et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère
que j'éprouvais toujours au moment de devoir lâcher du courrier dans une boîte
aux lettres, quelle que soit la nature de la lettre que je devais expédier
d'ailleurs, qui me faisait toujours <n1>relire[n1]entièrementma lettre mentalementsur le champ dans l'instant sur
le champ
 en un instant, me remémorant toutes les tournures de phrases que j'avais
employéesutilisées et  vérifiant rapidementm'interrogeant rapidement sur l'orthographe de  certains tel ou tel mots, doutant
soudain de l'es avoir correctement orthographiés, et puis un doute horrible
s'emparaint de moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu
même de la lettre que je venais d'écrire qui devenait le sujet l'objetd'unde ce doute
soudain, et, tandis que ma main pouvait encore retenir la lettre, tandis que quelques centimètres seulement la séparait de la fente de la boîte aux
lettres et que toutes ces sensationsce se confondaient en moi et que tout restait encore possible,pendant que je pouvais je disposais encore la<>de la possibilité
conserver la lettreles lettres, la es rouvrir, la  et les relire, la détruire,c'est à ce
moment-là que je
je lâchais la lettre les lettres à ce moment-là— et ma main poursuivit son mouvement, je lâchai les trois lettres dans la boîte aux lettres des Biaggi*.


toutes ces sensations diffuses se confondaient en moi???dans le même instant,
et que j'avais encore la possibilité de conserver la lettre, que
presquerien ne m'ép???rlait avec la main, de

IV 284




apercevaisbasse et allongée, une construction récente assez conventionnelle.


J'avais sorti de ma poche les trois lettres adressées aux Biaggi*,
les examinant un instant distraitement,  une dernière fois distraitement  ??? sans m'attarder, distraitement, et, comme j'allais les glisser
dans la boîteaccrochée sur la grille d'entrée de la propriété, ma main
s'immobilisa et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère
que j'éprouvais toujours au moment de lâcher du courrier dans une boîte
aux lettres, quelle que soit la nature de la lettre que je devais expédier
d'ailleurs, qui me faisait toujours relireentièrementma lettre mentalementsur le champ dans l'instant sur le champ , me remémorant toutes les tournures de phrases que j'avais
employées et  vérifiant rapidement l'orthographe de  certains mots, doutant
soudain de les avoir correctement orthographiés, et puis un doute horrible
s'emparait de moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu
même de la lettre que je venais d'écrire qui devenait le sujetd'undoute
soudain, et, tandis que ma main pouvait encore retenir la lettre, tandis que quelques centimètres seulement la séparait de la fente de la boîte aux
lettres et quece  tout restait encore possible,pendant que je pouvais encore la<>
conserver la lettre, la rouvrir, la  relire, la détruire,c'est à ce moment-là que je lâchais la lettre— et ma main poursuivit son mouvement, je lâchai les trois lettres dans la boîte aux lettres des Biaggi*.


???

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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

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C'était la même villa que j'apercevaisavais devant moi à travers les barreaux de la grille d'entrée de la propriété,basse et allongée, une construction récente assez conventionnelle.entièrement fermée maintenant.

Description →sim???


J'avais sorti de ma poche les trois lettres adressées aux Biaggi*,
les examinant un instant distraitement, les examinant une dernière fois distraitement  ??? une dernière fois ??? sans m'attarder, distraitement, et, comme j'allais les glisser
dans la boîte aux lettres accrochée sur à la grille d'entrée de la propriété, ma main
s'immobilisa à quelques centimètres de la fente de la boîte aux lettres et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère
que j'éprouvais toujours au moment de devoir lâcher du courrier dans une boîte
aux lettres, quelle que soit la nature de la lettre que je devais expédier
d'ailleurs, qui me faisait toujours <n1>relire[n1]entièrementma lettre mentalementsur le champ dans l'instant sur
le champ
 en un instant, me remémorant toutes les tournures de phrases que j'avais
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soudain de l'es avoir correctement orthographiés, et puis un doute horrible
s'emparaint de moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu
même de la lettre que je venais d'écrire qui devenait le sujet l'objetd'unde ce doute
soudain, et, tandis que ma main pouvait encore retenir la lettre, tandis que quelques centimètres seulement la séparait de la fente de la boîte aux
lettres et que toutes ces sensationsce se confondaient en moi et que tout restait encore possible,pendant que je pouvais je disposais encore la<>de la possibilité
conserver la lettreles lettres, la es rouvrir, la  et les relire, la détruire,c'est à ce
moment-là que je
je lâchais la lettre les lettres à ce moment-là— et ma main poursuivit son mouvement, je lâchai les trois lettres dans la boîte aux lettres des Biaggi*.


toutes ces sensations diffuses se confondaient en moi???dans le même instant,
et que j'avais encore la possibilité de conserver la lettre, que
presquerien ne m'ép???rlait avec la main, de

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apercevaisbasse et allongée, une construction récente assez conventionnelle.


J'avais sorti de ma poche les trois lettres adressées aux Biaggi*,
les examinant un instant distraitement,  une dernière fois distraitement  ??? sans m'attarder, distraitement, et, comme j'allais les glisser
dans la boîteaccrochée sur la grille d'entrée de la propriété, ma main
s'immobilisa et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère
que j'éprouvais toujours au moment de lâcher du courrier dans une boîte
aux lettres, quelle que soit la nature de la lettre que je devais expédier
d'ailleurs, qui me faisait toujours relireentièrementma lettre mentalementsur le champ dans l'instant sur le champ , me remémorant toutes les tournures de phrases que j'avais
employées et  vérifiant rapidement l'orthographe de  certains mots, doutant
soudain de les avoir correctement orthographiés, et puis un doute horrible
s'emparait de moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu
même de la lettre que je venais d'écrire qui devenait le sujetd'undoute
soudain, et, tandis que ma main pouvait encore retenir la lettre, tandis que quelques centimètres seulement la séparait de la fente de la boîte aux
lettres et quece  tout restait encore possible,pendant que je pouvais encore la<>
conserver la lettre, la rouvrir, la  relire, la détruire,c'est à ce moment-là que je lâchais la lettre— et ma main poursuivit son mouvement, je lâchai les trois lettres dans la boîte aux lettres des Biaggi*.


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