IV 286
qui me faisait sur le champ éprouver le besoin de relire mentalement
les lettrres que je venais d'écrire, lettres que j'avais déjà relues
sans doute, mais que je relisais ment entièrement dans l'instant,
me remémorrant
et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère que j'éprouvais
toujours au moment de devoir lâcher du courrier dans une boîte aux
lettres. Cela dirait une seconde à peine, pendant lquelle je relisais
entièrement mentalement les lettres que je venais d'écrire, me re-
mémorrant
Cela durait unependant cette seconde à peine, une seconde pleine et diffuse,
complexe et angoissante, pendantdurant laquelle je j'éprouvais toujours le besoin de relire entièrement reloisais entièrement
toutesje relisais toujours entièrement mentalement les lettres que je vnais d'écrire, me remémorrant mentalement
toutes les tournures de phrases que j'avais employées et m'interrogeant
sur l'orthographe de tel ou tel mot, doutant soudain de l'avoir
correctement orthographié, et puis un doute horrible s'emparent de
moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu lui-même
des lettres qui devenait l'objet d'un doute soudain, et, tandis que
dans cette même seconde toutes ces sensations diffuses se confondaient
en moi, et que j'avais encore le temps, avant que la seconde ne
s'achève, de conserver les lettres, de les rouvrir et les relire,
de les détruire s'il le fallait, c'est à ce moment-là que je les lâchais
IV 286
qui me faisait sur le champ éprouver le besoin de relire mentalement
les lettrres que je venais d'écrire, lettres que j'avais déjà relues
sans doute, mais que je relisais ment entièrement dans l'instant,
me remémorrant
et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère que j'éprouvais
toujours au moment de devoir lâcher du courrier dans une boîte aux
lettres. Cela dirait une seconde à peine, pendant lquelle je relisais
entièrement mentalement les lettres que je venais d'écrire, me re-
mémorrant
Cela durait une seconde à peine, une seconde pleine et diffuse,
complexe et angoissante, pendant laquelle je j'éprouvais toujours le besoin de relire entièrement reloisais entièrement
toutes les lettres que je vnais d'écrire, me remémorrant mentalement
toutes les tournures de phrases que j'avais employées et m'interrogeant
sur l'orthographe de tel ou tel mot, doutant soudain de l'avoir
correctement orthographié, et puis un doute horrible s'emparent de
moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu lui-même
des lettres qui devenait l'objet d'un doute soudain, et, tandis que
dans cette même seconde toutes ces sensations diffuses se confondaient
en moi, et que j'avais encore le temps, avant que la seconde ne
s'achève, de conserver les lettres, de les rouvrir et les relire,
de les détruire s'il le fallait, c'est à ce moment-là que je les lâchais
IV 286
qui me faisait sur le champ éprouver le besoin de relire mentalement
les lettrres que je venais d'écrire, lettres que j'avais déjà relues
sans doute, mais que je relisais ment entièrement dans l'instant,
me remémorrant
et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère que j'éprouvais
toujours au moment de devoir lâcher du courrier dans une boîte aux
lettres. Cela dirait une seconde à peine, pendant lquelle je relisais
entièrement mentalement les lettres que je venais d'écrire, me re-
mémorrant
Cela durait unependant cette seconde à peine, une seconde pleine et diffuse,
complexe et angoissante, pendantdurant laquelle je j'éprouvais toujours le besoin de relire entièrement reloisais entièrement
toutesje relisais toujours entièrement mentalement les lettres que je vnais d'écrire, me remémorrant mentalement
toutes les tournures de phrases que j'avais employées et m'interrogeant
sur l'orthographe de tel ou tel mot, doutant soudain de l'avoir
correctement orthographié, et puis un doute horrible s'emparent de
moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu lui-même
des lettres qui devenait l'objet d'un doute soudain, et, tandis que
dans cette même seconde toutes ces sensations diffuses se confondaient
en moi, et que j'avais encore le temps, avant que la seconde ne
s'achève, de conserver les lettres, de les rouvrir et les relire,
de les détruire s'il le fallait, c'est à ce moment-là que je les lâchais
IV 286
qui me faisait sur le champ éprouver le besoin de relire mentalement
les lettrres que je venais d'écrire, lettres que j'avais déjà relues
sans doute, mais que je relisais ment entièrement dans l'instant,
me remémorrant
et je ressentis ce léger frisson d'angoisse passagère que j'éprouvais
toujours au moment de devoir lâcher du courrier dans une boîte aux
lettres. Cela dirait une seconde à peine, pendant lquelle je relisais
entièrement mentalement les lettres que je venais d'écrire, me re-
mémorrant
Cela durait une seconde à peine, une seconde pleine et diffuse,
complexe et angoissante, pendant laquelle je j'éprouvais toujours le besoin de relire entièrement reloisais entièrement
toutes les lettres que je vnais d'écrire, me remémorrant mentalement
toutes les tournures de phrases que j'avais employées et m'interrogeant
sur l'orthographe de tel ou tel mot, doutant soudain de l'avoir
correctement orthographié, et puis un doute horrible s'emparent de
moi au sujet de tel accord, quand ce n'était pas le contenu lui-même
des lettres qui devenait l'objet d'un doute soudain, et, tandis que
dans cette même seconde toutes ces sensations diffuses se confondaient
en moi, et que j'avais encore le temps, avant que la seconde ne
s'achève, de conserver les lettres, de les rouvrir et les relire,
de les détruire s'il le fallait, c'est à ce moment-là que je les lâchais