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  1. Exploration des brouillons
  2. #04
  3. LRT_04_01_00495
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  • Tapuscrit

IV 495




J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attenda nt le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en promenant lentement la poussette de mon fils* devant
moi, et je m'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite d'ammarrage à la hauteur
d'une barque de laquellelaquelle d'un pêcheur* qui préparait des palangres, debout dans le fond de son bateau debout dans le fond de son
bateau
. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramssait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau , gardant le couteau entre ses lèvres ??? pourle tempset d' appâtersesla lignes. Chacune de ses
palangres comptait environ une vingtaine d'hameçons environ, qui pendaient dans le vide dans le vide fixés 
à l'extrémité au bout de fins cordons de métal tressé qui étaient répartis en rangs d'oignons
toutle aulong de la ligne, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau
de poulpe, rejetant aussitôt sans ménagement à côté de lui  le corps
flasque du cephallopode à côté de lui, qui  allait faire un flop mou et???spongieux en atterrissant dans le fond
de la barque, il glissait le fragment de poulpe ainsi découpé d'un geste
sûr et précis
  dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait
ainsi à remplir sa ligne au fur et à mesure d'un geste toujours sûr et précis de ses mains épaissesde la main doigts plutôt épaisses qui ???.L'homme portait une casquette
bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais
pris la taille au-dessus, personnellement, et ne s'occupait absolument pas
de nous, moi ni de mon fils*, mon fils* ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu bien
fermé autour de sa poitrine. Je me levai de labiteborne pour m'approcher du
bord de la jetée et, me penchant légèrement en avant vers la barque, je
le regardai faire un instant de plus près et, lui demandaiants'il comptaitallait comptait sortir à la pêcheaujourd'hui maintenant. Il ne répondit pas tout
de suite, acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il , sans me
regarder, et notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de
la question somme toute, il sortirait demain, si je voulais le savoir. 
— et , fort de cette information, je regagnai la place du village pour attendre le taxi.

IV 495




J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attenda nt le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en promenant lentement la poussette de mon fils* devant
moi, et je m'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite  à la hauteur
 laquelle d'un pêcheur* qui préparait des palangres, debout dans le fond de son bateau debout dans le fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramssait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau??? pouret appâterses lignes. Chacune de ses
palangres comptait une vingtaine d'hameçons  qui pendaient  dans le vide fixés  à l'extrémité  de fins cordons de métal tressé  répartis en rangs d'oignons
toutle long de la ligne, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau
de poulpe, rejetant aussitôt sans ménagement à côté de lui  le corps
flasque du cephallopode qui  ??? en atterrissant dans le fond
de la barque, il glissait le fragment de poulpe ainsi découpé d'un geste sûr et précis  dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait
ainsi à remplir sa ligne au fur et à mesure  de ses mains épaisses doigts plutôt épaisses qui ???.L'homme portait une casquette
bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais
pris la taille au-dessus, personnellement, et ne s'occupait absolument pas
de nous,  mon fils* ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu bien
fermé autour de sa poitrine. Je me levai de labite pour m'approcher du
bord de la jetée et, me penchant légèrement en avant vers la barque, je
et lui demandais'il comptaitallait  sortir aujourd'hui . Il ne répondit pas tout
de suite, acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il  sans me
regarder, et notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de
la question somme toute, il sortirait demain si je voulais le savoir 
— et  je regagnai la place du village pour attendre le taxi.

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IV 495




J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attenda nt le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en promenant lentement la poussette de mon fils* devant
moi, et je m'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite d'ammarrage à la hauteur
d'une barque de laquellelaquelle d'un pêcheur* qui préparait des palangres, debout dans le fond de son bateau debout dans le fond de son
bateau
. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramssait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau , gardant le couteau entre ses lèvres ??? pourle tempset d' appâtersesla lignes. Chacune de ses
palangres comptait environ une vingtaine d'hameçons environ, qui pendaient dans le vide dans le vide fixés 
à l'extrémité au bout de fins cordons de métal tressé qui étaient répartis en rangs d'oignons
toutle aulong de la ligne, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau
de poulpe, rejetant aussitôt sans ménagement à côté de lui  le corps
flasque du cephallopode à côté de lui, qui  allait faire un flop mou et???spongieux en atterrissant dans le fond
de la barque, il glissait le fragment de poulpe ainsi découpé d'un geste
sûr et précis
  dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait
ainsi à remplir sa ligne au fur et à mesure d'un geste toujours sûr et précis de ses mains épaissesde la main doigts plutôt épaisses qui ???.L'homme portait une casquette
bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais
pris la taille au-dessus, personnellement, et ne s'occupait absolument pas
de nous, moi ni de mon fils*, mon fils* ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu bien
fermé autour de sa poitrine. Je me levai de labiteborne pour m'approcher du
bord de la jetée et, me penchant légèrement en avant vers la barque, je
le regardai faire un instant de plus près et, lui demandaiants'il comptaitallait comptait sortir à la pêcheaujourd'hui maintenant. Il ne répondit pas tout
de suite, acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il , sans me
regarder, et notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de
la question somme toute, il sortirait demain, si je voulais le savoir. 
— et , fort de cette information, je regagnai la place du village pour attendre le taxi.

IV 495




J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attenda nt le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en promenant lentement la poussette de mon fils* devant
moi, et je m'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite  à la hauteur
 laquelle d'un pêcheur* qui préparait des palangres, debout dans le fond de son bateau debout dans le fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramssait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau??? pouret appâterses lignes. Chacune de ses
palangres comptait une vingtaine d'hameçons  qui pendaient  dans le vide fixés  à l'extrémité  de fins cordons de métal tressé  répartis en rangs d'oignons
toutle long de la ligne, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau
de poulpe, rejetant aussitôt sans ménagement à côté de lui  le corps
flasque du cephallopode qui  ??? en atterrissant dans le fond
de la barque, il glissait le fragment de poulpe ainsi découpé d'un geste sûr et précis  dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait
ainsi à remplir sa ligne au fur et à mesure  de ses mains épaisses doigts plutôt épaisses qui ???.L'homme portait une casquette
bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais
pris la taille au-dessus, personnellement, et ne s'occupait absolument pas
de nous,  mon fils* ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu bien
fermé autour de sa poitrine. Je me levai de labite pour m'approcher du
bord de la jetée et, me penchant légèrement en avant vers la barque, je
et lui demandais'il comptaitallait  sortir aujourd'hui . Il ne répondit pas tout
de suite, acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il  sans me
regarder, et notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de
la question somme toute, il sortirait demain si je voulais le savoir 
— et  je regagnai la place du village pour attendre le taxi.

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