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  1. Exploration des brouillons
  2. #05
  3. LRT_05_01_00050
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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

V, I, 50

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage , une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité très dense qui régnait à l’étage du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
commençai à longe ai r le couloir sans bruit sans bruit jusqu’à la porte de porte la chambre d’amis , et que que j e '
l’ouvris très lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis très longtemps apparemment apparemment , car le matelas était
à nu sur le sommier, avec sur lequel avec deux | grosses couvertures en laine étaient pliées avec soin pliées avec soin posées dessus,
qui étaient
pliées avec
soin, l’une au-
dessus de
l’autre
dans la
pénombre.
sur le lit. l'une au-dessus de l'autre sur le lit l'une au-dessus de l'autre Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une porte que la porte de la
chambre à coucher
des Biaggi *

V, I, 50

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage , une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longe ai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et j e
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis longtemps apparemment , car le matelas était
à nu sur le sommier, avec sur lequel deux grosses couvertures en laine pliées avec soin pliées avec soin sur le lit. l'une au-dessus de l'autre sur le lit Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une porte

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V, I, 50

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage , une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité très dense qui régnait à l’étage du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
commençai à longe ai r le couloir sans bruit sans bruit jusqu’à la porte de porte la chambre d’amis , et que que j e '
l’ouvris très lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis très longtemps apparemment apparemment , car le matelas était
à nu sur le sommier, avec sur lequel avec deux | grosses couvertures en laine étaient pliées avec soin pliées avec soin posées dessus,
qui étaient
pliées avec
soin, l’une au-
dessus de
l’autre
dans la
pénombre.
sur le lit. l'une au-dessus de l'autre sur le lit l'une au-dessus de l'autre Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une porte que la porte de la
chambre à coucher
des Biaggi *

V, I, 50

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage , une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longe ai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et j e
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis longtemps apparemment , car le matelas était
à nu sur le sommier, avec sur lequel deux grosses couvertures en laine pliées avec soin pliées avec soin sur le lit. l'une au-dessus de l'autre sur le lit Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une porte

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