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  1. Exploration des brouillons
  2. #05
  3. LRT_05_02_00115
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

V, 2, 115

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été longtemps apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte était ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux en face de moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que ce fût là que Biaggi*
m’attendait se trouvait m’attendait ? ? Je m’avançai lentement jusqu’à la porte, et, marquant un
temps d’arrêt avant d’entrer, je m’introduisis dans la pièce et découvris
la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement déserte dans l’obscurité. Un
des volets de la fenêtre n’était pas bien fermé et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement. Je m’approchai de la
fenêtre. Un filet de clarté se dessinait sur le sol, et la pièce était tout à fait
silencieuse autour de moi , qui baignait dans une douce pénombre blanche. Le lit n’avait
pas été défait, et il n’y avait aucune trace de présence dans la chambre,
aucun vêtement s qui traînai en t sur les chaises, aucun journaux sur les
tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison des Biaggi*
était vide, apparemment.

V, 2, 115

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte était ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux en face de moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que ce fût là que Biaggi*
m’attendait se trouvait ? Je m’avançai lentement jusqu’à la porte, et, marquant un
temps d’arrêt avant d’entrer, je m’introduisis dans la pièce et découvris
la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement déserte dans l’obscurité. Un
des volets de la fenêtre n’était pas bien fermé et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement. Je m’approchai de la
fenêtre. Un filet de clarté se dessinait sur le sol, et la pièce était
silencieuse , qui baignait dans une douce pénombre blanche. Le lit n’avait
pas été défait, et il n’y avait aucune trace de présence dans la chambre,
aucun vêtement s qui traînai en t sur les chaises, aucun journaux sur les
tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison des Biaggi*
était vide, apparemment.

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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

V, 2, 115

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été longtemps apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte était ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux en face de moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que ce fût là que Biaggi*
m’attendait se trouvait m’attendait ? ? Je m’avançai lentement jusqu’à la porte, et, marquant un
temps d’arrêt avant d’entrer, je m’introduisis dans la pièce et découvris
la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement déserte dans l’obscurité. Un
des volets de la fenêtre n’était pas bien fermé et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement. Je m’approchai de la
fenêtre. Un filet de clarté se dessinait sur le sol, et la pièce était tout à fait
silencieuse autour de moi , qui baignait dans une douce pénombre blanche. Le lit n’avait
pas été défait, et il n’y avait aucune trace de présence dans la chambre,
aucun vêtement s qui traînai en t sur les chaises, aucun journaux sur les
tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison des Biaggi*
était vide, apparemment.

V, 2, 115

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte était ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux en face de moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que ce fût là que Biaggi*
m’attendait se trouvait ? Je m’avançai lentement jusqu’à la porte, et, marquant un
temps d’arrêt avant d’entrer, je m’introduisis dans la pièce et découvris
la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement déserte dans l’obscurité. Un
des volets de la fenêtre n’était pas bien fermé et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement. Je m’approchai de la
fenêtre. Un filet de clarté se dessinait sur le sol, et la pièce était
silencieuse , qui baignait dans une douce pénombre blanche. Le lit n’avait
pas été défait, et il n’y avait aucune trace de présence dans la chambre,
aucun vêtement s qui traînai en t sur les chaises, aucun journaux sur les
tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison des Biaggi*
était vide, apparemment.

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