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  1. Exploration des brouillons
  2. #05
  3. LRT_05_03_00073
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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

V, 3, 73

L’escalier qui montait au premier étage se dres-
sait devant moi dans l’obscurité , parfaitement silencieux, et je m’avançai
lentement dans l’ombre et commençai à monter au premier étage . Je montais sans bruit à l’étage,
la main posée sur la rampe, apercevant devant moi le couloir du premier étage qui s’étendait
dans l’obscurité. Arrivé en haut des escaliers marches , je m’arrêtai un instant sur le palier et lentement je pris à
droite avant de m’engager plus avant je m’engageai dans le couloir. Qui est là ? entendis-je.

Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l’écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. Je devinais sa silhouette en chemise de nuit dans
la pénombre. J’étais à moins de quatre mètres d’elle, et je continuais à
avancer. Elle m’avait reconnu maintenant, et elle ne bougeait pas. J'avançai
jusqu’à elle, et je voyais ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement,

V, 3, 73

L’escalier qui montait au premier étage se dres-
sait devant moi dans l’obscurité , parfaitement silencieux, et je m’avançai
lentement dans l’ombre et commençai à monter . Je montais sans bruit à l’étage,
la main posée sur la rampe, apercevant devant moi le couloir qui s’étendait
dans l’obscurité. Arrivé en haut des escaliers , je m’arrêtai un instant
avant de m’engager plus avant dans le couloir. Qui est là ? entendis-je.

Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l’écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. Je devinais sa silhouette en chemise de nuit dans
la pénombre. J’étais à moins de quatre mètres d’elle, et je continuais à
avancer. Elle m’avait reconnu maintenant, et elle ne bougeait pas. J'avançai
jusqu’à elle, et je voyais ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement,

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V, 3, 73

L’escalier qui montait au premier étage se dres-
sait devant moi dans l’obscurité , parfaitement silencieux, et je m’avançai
lentement dans l’ombre et commençai à monter au premier étage . Je montais sans bruit à l’étage,
la main posée sur la rampe, apercevant devant moi le couloir du premier étage qui s’étendait
dans l’obscurité. Arrivé en haut des escaliers marches , je m’arrêtai un instant sur le palier et lentement je pris à
droite avant de m’engager plus avant je m’engageai dans le couloir. Qui est là ? entendis-je.

Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l’écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. Je devinais sa silhouette en chemise de nuit dans
la pénombre. J’étais à moins de quatre mètres d’elle, et je continuais à
avancer. Elle m’avait reconnu maintenant, et elle ne bougeait pas. J'avançai
jusqu’à elle, et je voyais ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement,

V, 3, 73

L’escalier qui montait au premier étage se dres-
sait devant moi dans l’obscurité , parfaitement silencieux, et je m’avançai
lentement dans l’ombre et commençai à monter . Je montais sans bruit à l’étage,
la main posée sur la rampe, apercevant devant moi le couloir qui s’étendait
dans l’obscurité. Arrivé en haut des escaliers , je m’arrêtai un instant
avant de m’engager plus avant dans le couloir. Qui est là ? entendis-je.

Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l’écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi* était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène*. Je devinais sa silhouette en chemise de nuit dans
la pénombre. J’étais à moins de quatre mètres d’elle, et je continuais à
avancer. Elle m’avait reconnu maintenant, et elle ne bougeait pas. J'avançai
jusqu’à elle, et je voyais ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement,

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