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  1. Exploration des brouillons
  2. #06
  3. LRT_06_02_00031
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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

VI, 2, 31

depuis longtemps apparemment, car le matelas était à nu sur le sommier,
avec deux grosses couvertures en laine pliées avec soin posées dessus, qui étaient pliées
avec soin l’une au-dessus de l’autre
dans la pénombre. Je ressortis de la pièce,
et je remarquai alors que la porte de la chambre à coucher des Biaggi * était entrouverte
au fond du couloir. L’était-elle déjà quand j’étais arrivé sur le palier ?
Quelqu’un venait-il de l’ouvrir ? J’étais à moins de quatre mètres de la porte,
et je ne bougeais pas. Aucun bruit ne se faisait entendre derrière la porte,
et, lorsque , m’avançant lentement dans le couloir, je la poussai sans bruit,
je
découvris devant moi la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement vide dans
l’obscurité. Les volets n’étaient pas très bien fermés, et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement qui demeurait ouvert
entre la fenêtre et le mur. Je m’avançai jusqu’à la fenêtre, et la pièce
était tout à fait silencieuse autour de moi, que baignait une douce et
paisible pénombre lunaire qui enveloppait les murs et faisait luire les
lattes du parquet. Le lit n’avait pas été défait, et il n’y avait aucune
trace de présence dans la chambre, aucun vêtement qui traînait sur les
chaises, aucun journaux sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à
l’étage, et la maison des Biaggi* était vide, apparemment.

VI, 2, 31

je
découvris devant moi la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement vide dans
l’obscurité. Les volets n’étaient pas bien fermés, et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement qui demeurait ouvert
entre la fenêtre et le mur. Je m’avançai jusqu’à la fenêtre, et la pièce
était tout à fait silencieuse autour de moi, que baignait une douce et
paisible pénombre lunaire qui enveloppait les murs et faisait luire les
lattes du parquet. Le lit n’avait pas été défait, et il n’y avait aucune
trace de présence dans la chambre, aucun vêtement qui traînait sur les
chaises, aucun journaux sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à
l’étage, et la maison des Biaggi* était vide, apparemment.

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VI, 2, 31

depuis longtemps apparemment, car le matelas était à nu sur le sommier,
avec deux grosses couvertures en laine pliées avec soin posées dessus, qui étaient pliées
avec soin l’une au-dessus de l’autre
dans la pénombre. Je ressortis de la pièce,
et je remarquai alors que la porte de la chambre à coucher des Biaggi * était entrouverte
au fond du couloir. L’était-elle déjà quand j’étais arrivé sur le palier ?
Quelqu’un venait-il de l’ouvrir ? J’étais à moins de quatre mètres de la porte,
et je ne bougeais pas. Aucun bruit ne se faisait entendre derrière la porte,
et, lorsque , m’avançant lentement dans le couloir, je la poussai sans bruit,
je
découvris devant moi la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement vide dans
l’obscurité. Les volets n’étaient pas très bien fermés, et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement qui demeurait ouvert
entre la fenêtre et le mur. Je m’avançai jusqu’à la fenêtre, et la pièce
était tout à fait silencieuse autour de moi, que baignait une douce et
paisible pénombre lunaire qui enveloppait les murs et faisait luire les
lattes du parquet. Le lit n’avait pas été défait, et il n’y avait aucune
trace de présence dans la chambre, aucun vêtement qui traînait sur les
chaises, aucun journaux sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à
l’étage, et la maison des Biaggi* était vide, apparemment.

VI, 2, 31

je
découvris devant moi la chambre à coucher des Biaggi* parfaitement vide dans
l’obscurité. Les volets n’étaient pas bien fermés, et un rayon de lune
entrait dans la pièce par le mince entrebâillement qui demeurait ouvert
entre la fenêtre et le mur. Je m’avançai jusqu’à la fenêtre, et la pièce
était tout à fait silencieuse autour de moi, que baignait une douce et
paisible pénombre lunaire qui enveloppait les murs et faisait luire les
lattes du parquet. Le lit n’avait pas été défait, et il n’y avait aucune
trace de présence dans la chambre, aucun vêtement qui traînait sur les
chaises, aucun journaux sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à
l’étage, et la maison des Biaggi* était vide, apparemment.

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