I. 23
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutesn, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la plae, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans
ses bras lui donnait avec enthousiasme sur le visage et sur la tête. Il me
le rendit immédiatement, du reste, mon fils, comme s'il était brûlant, avec
Il me rendit mon passeport et ma carte de créditsans un mot, et, laissant mes valises à la réception s'emparant d'une clef sur le tableau,
il nousme précéda de son pas lourd dans les escaliers <d1> pour nous conduire au
deuxième étage [d1]de l'hôtel dans une petite chambre assez grandetriste qui comptait deux
fenêtres. L'une d'elle donnait sur le port et, del'autre, plus petite, en tirant le petit rideausurje pouvais voir un
morceau de route qui jouxtait un enclos abandonné, où un figuier désséché
et solitaire, rabougri et désséché, ployait sous le poids de ses branches mortes. Un âne, un peu
plus loin, broutait du fenouil et quelques mauvaises herbes qu'il???allaitdénichaiter
entre divers détritus, des vieilles planches, une barue de pêche pourrie,
percée de part en part, abandonnée sur placequi tombait en pièfces sur place. Je tenias mon
fils dans mes bras à la fenêtre
et tandis que je???de la poussette, pour monter les escaliers
Je partis J'avais laissé mes valises à la réception et je voulais les cacher derrière lui, tenant la poussette à bout de bras
I. 23
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutesn, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la plae, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans
ses bras lui donnait avec enthousiasme sur le visage et sur la tête. Il me
le rendit immédiatement, du reste, mon fils, comme s'il était brûlant, avec
mon passeport et ma carte de crédit, et, s'emparant d'une clef sur le tableau,
il nous précéda de son pas lourd dans les escaliers pour nous conduire au
deuxième étage de l'hôtel dans une chambre assez grande qui comptait deux
fenêtres. L'une d'elle donnait sur le port etl'autre, plus petite, sur un
morceau de route qui jouxtait un enclos abandonné, où un figuier désséché
et solitaire ployait sous le poids de ses branches mortes. Un âne, un peu
plus loin, broutait du fenouil et quelques mauvaises herbes qu'ildénichait
entre divers détritus, des vieilles planches, une barue de pêche pourrie,
percée de part en part, qui tombait en pièfces sur place. Je tenias mon
fils dans mes bras à la fenêtre
I. 23
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutesn, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la plae, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans
ses bras lui donnait avec enthousiasme sur le visage et sur la tête. Il me
le rendit immédiatement, du reste, mon fils, comme s'il était brûlant, avec
Il me rendit mon passeport et ma carte de créditsans un mot, et, laissant mes valises à la réception s'emparant d'une clef sur le tableau,
il nousme précéda de son pas lourd dans les escaliers <d1> pour nous conduire au
deuxième étage [d1]de l'hôtel dans une petite chambre assez grandetriste qui comptait deux
fenêtres. L'une d'elle donnait sur le port et, del'autre, plus petite, en tirant le petit rideausurje pouvais voir un
morceau de route qui jouxtait un enclos abandonné, où un figuier désséché
et solitaire, rabougri et désséché, ployait sous le poids de ses branches mortes. Un âne, un peu
plus loin, broutait du fenouil et quelques mauvaises herbes qu'il???allaitdénichaiter
entre divers détritus, des vieilles planches, une barue de pêche pourrie,
percée de part en part, abandonnée sur placequi tombait en pièfces sur place. Je tenias mon
fils dans mes bras à la fenêtre
et tandis que je???de la poussette, pour monter les escaliers
Je partis J'avais laissé mes valises à la réception et je voulais les cacher derrière lui, tenant la poussette à bout de bras
I. 23
J'avais confié mon fils à l'hôtellier pour quelques minutesn, le temps
d'aller récupérer mes affaires sur la plae, et lorsque je revins, je sentis
qu'il l'avait gardé de mauvaise grâce, comme agacé par les petites claques
amicales et maladroites que mon fils qui ne tenait pas en place dans
ses bras lui donnait avec enthousiasme sur le visage et sur la tête. Il me
le rendit immédiatement, du reste, mon fils, comme s'il était brûlant, avec
mon passeport et ma carte de crédit, et, s'emparant d'une clef sur le tableau,
il nous précéda de son pas lourd dans les escaliers pour nous conduire au
deuxième étage de l'hôtel dans une chambre assez grande qui comptait deux
fenêtres. L'une d'elle donnait sur le port etl'autre, plus petite, sur un
morceau de route qui jouxtait un enclos abandonné, où un figuier désséché
et solitaire ployait sous le poids de ses branches mortes. Un âne, un peu
plus loin, broutait du fenouil et quelques mauvaises herbes qu'ildénichait
entre divers détritus, des vieilles planches, une barue de pêche pourrie,
percée de part en part, qui tombait en pièfces sur place. Je tenias mon
fils dans mes bras à la fenêtre