I.46
disposé des coussins. Une des fenêtres de la chambre donnait sur le port,
et, de l'autre, plus petite et légèrement en hauteur, je pouvais voir
la route, une parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux
mauvaises herbes, où, à côté d'un figuier désséché qui ployait sous le poids
de ses branches, un âne solitaire broutait du fenouil entre divers détritus,
des vieilles planches, des pneus abandonnés, une barquederetournée qui
pourrissait sur place.
Les premiers temps que je passai à Sasuelo, j'occupais mes journées à
de longues promenades, tantôt le long des petites routessauvagesqui montaient vers
les hameaux voisins, etparfois, dépassant les dernières habitations du village, je???et tantôt sur la plage sauvage qui s'étendait derrière le village sur plusieurs kilomètrestantôt sur laplagegrandeplage sauvage qui s'éten-
dait à côté du village. Le bruit des vagues et du vent se mêlait dans mon
esprit, et je poussais la voiture d'enfant de mon fils sur l'immense plage
déserte
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disposé des coussins. Une des fenêtres de la chambre donnait sur le port,
et, de l'autre, plus petite et légèrement en hauteur, je pouvais voir
la route, une parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux
mauvaises herbes, où, à côté d'un figuier désséché qui ployait sous le poids
de ses branches, un âne solitaire broutait du fenouil entre divers détritus,
des vieilles planches, des pneus abandonnés, une barquederetournée qui
pourrissait sur place.
Les premiers temps que je passai à Sasuelo, j'occupais mes journées à
de longues promenades, tantôt le long des petites routesqui montaient vers
les hameaux voisins, ettantôt sur laplagegrandeplage sauvage qui s'éten-
dait à côté du village. Le bruit des vagues et du vent se mêlait dans mon
esprit, et je poussais la voiture d'enfant de mon fils sur l'immense plage
déserte
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disposé des coussins. Une des fenêtres de la chambre donnait sur le port,
et, de l'autre, plus petite et légèrement en hauteur, je pouvais voir
la route, une parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux
mauvaises herbes, où, à côté d'un figuier désséché qui ployait sous le poids
de ses branches, un âne solitaire broutait du fenouil entre divers détritus,
des vieilles planches, des pneus abandonnés, une barquederetournée qui
pourrissait sur place.
Les premiers temps que je passai à Sasuelo, j'occupais mes journées à
de longues promenades, tantôt le long des petites routessauvagesqui montaient vers
les hameaux voisins, etparfois, dépassant les dernières habitations du village, je???et tantôt sur la plage sauvage qui s'étendait derrière le village sur plusieurs kilomètrestantôt sur laplagegrandeplage sauvage qui s'éten-
dait à côté du village. Le bruit des vagues et du vent se mêlait dans mon
esprit, et je poussais la voiture d'enfant de mon fils sur l'immense plage
déserte
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disposé des coussins. Une des fenêtres de la chambre donnait sur le port,
et, de l'autre, plus petite et légèrement en hauteur, je pouvais voir
la route, une parcelle de route déserte qui bordait un enclos livré aux
mauvaises herbes, où, à côté d'un figuier désséché qui ployait sous le poids
de ses branches, un âne solitaire broutait du fenouil entre divers détritus,
des vieilles planches, des pneus abandonnés, une barquederetournée qui
pourrissait sur place.
Les premiers temps que je passai à Sasuelo, j'occupais mes journées à
de longues promenades, tantôt le long des petites routesqui montaient vers
les hameaux voisins, ettantôt sur laplagegrandeplage sauvage qui s'éten-
dait à côté du village. Le bruit des vagues et du vent se mêlait dans mon
esprit, et je poussais la voiture d'enfant de mon fils sur l'immense plage
déserte