I.64
Dans la chambre d'hôtel, je m'étais plus ou moins organisé pour
changer mon fils
lui donner à manger
1)Je prenais mes repas.dans la salle à manger de l'hôtel
[Les courses.2) La nuit 3) Le matin ou le chat.
Le matin où j'ai vu le chat mort. Appareil-photo.
Photo de moi dans la glace. Photo de mon fils.
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
avec mon fils dans la poussette, vêtu d'un petit anorak bleu matelassé
qui engonçait son corps et d'unepetitecagoule blanche qui laissait
à jour un ovale deviasvisage, quelques cheveux, deux yeux très bleus;
mobiles, à l'affût du moindre mouvement, et tantôt sur la plage, avec
la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans le sable,les rouyes quiet me ralentissait.
patinaient et finissaient par se bloqué. [d1]Solidemnt maintenu dans la
poussette par un jeu dediversespetites ceintures,etmon fils <d1>ensablé
tendait avidement les bras pour s'emparer des objets???qui jonchaienten direction de tous les objets abandonnés
autour de luisurla plage, et ???à côté de la poussette,je m'éccroupissais en face dela poussettlui
pour lui donner des morceaux de bois mort, sculptés par la marée, qui
avaient pris des formes diverses de talismans bizarres , sybillins et
fourchus,je luidtendaisdes algues séchées qui formient comme des épis
de blé,des brindilles, que sais-je, des galets,une sandale en plastique
, parfois,à sa plus grande joie,qui avait la taille de sa tte et dont
il se coiffait.sans doute perdue là???quelques mois plus tôt.Les vagues Le bruit des vagues et du ventont la qualité du sablenous accompagnait,la???, nous précédait.
pendant la saison touristiquedurant les mois d'été
étourdi par quelque??????, sur une plage déserte
Je m'arrêtais parfois,et monje m'asseyais dans le sable et
et j'???hôtel, le bord de l'eau la poussette devant moi.
I.64
Dans la chambre d'hôtel, je m'étais plus ou moins organisé pour
changer mon fils
lui donner à manger
Je prenais mes repas.
Les courses.
Le matin où j'ai vu le chat mort. Appareil-photo.
Photo de moi dans la glace. Photo de mon fils.
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
avec mon fils dans la poussette, vêtu d'un petit anorak bleu matelassé
qui engonçait son corps et d'unepetitecagoule blanche qui laissait
à jour un ovale deviasvisage, quelques cheveux, deux yeux très bleus;
mobiles, à l'affût du moindre mouvement, et tantôt sur la plage, avec
la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans le sable,les rouyes qui
patinaient et finissaient par se bloqué. Solidemnt maintenu dans la
poussette par un jeu dediversespetites ceintures,mon fils ensablé
tendait avidement les bras en direction de tous les objets abandonnés
autour de luisurla plage, et je m'éccroupissais en face dela poussett
pour lui donner des morceaux de bois mort, sculptés par la marée, qui
avaient pris des formes diverses de talismans bizarres , sybillins et
fourchus,je luidtendaisdes algues séchées qui formient comme des épis
de blé,des brindilles, que sais-je, des galets,une sandale en plastique
, parfois,à sa plus grande joie,qui avait la taille de sa tte et dont
il se coiffait.
I.64
Dans la chambre d'hôtel, je m'étais plus ou moins organisé pour
changer mon fils
lui donner à manger
1)Je prenais mes repas.dans la salle à manger de l'hôtel
[Les courses.2) La nuit 3) Le matin ou le chat.
Le matin où j'ai vu le chat mort. Appareil-photo.
Photo de moi dans la glace. Photo de mon fils.
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
avec mon fils dans la poussette, vêtu d'un petit anorak bleu matelassé
qui engonçait son corps et d'unepetitecagoule blanche qui laissait
à jour un ovale deviasvisage, quelques cheveux, deux yeux très bleus;
mobiles, à l'affût du moindre mouvement, et tantôt sur la plage, avec
la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans le sable,les rouyes quiet me ralentissait.
patinaient et finissaient par se bloqué. [d1]Solidemnt maintenu dans la
poussette par un jeu dediversespetites ceintures,etmon fils <d1>ensablé
tendait avidement les bras pour s'emparer des objets???qui jonchaienten direction de tous les objets abandonnés
autour de luisurla plage, et ???à côté de la poussette,je m'éccroupissais en face dela poussettlui
pour lui donner des morceaux de bois mort, sculptés par la marée, qui
avaient pris des formes diverses de talismans bizarres , sybillins et
fourchus,je luidtendaisdes algues séchées qui formient comme des épis
de blé,des brindilles, que sais-je, des galets,une sandale en plastique
, parfois,à sa plus grande joie,qui avait la taille de sa tte et dont
il se coiffait.sans doute perdue là???quelques mois plus tôt.Les vagues Le bruit des vagues et du ventont la qualité du sablenous accompagnait,la???, nous précédait.
pendant la saison touristiquedurant les mois d'été
étourdi par quelque??????, sur une plage déserte
Je m'arrêtais parfois,et monje m'asseyais dans le sable et
et j'???hôtel, le bord de l'eau la poussette devant moi.
I.64
Dans la chambre d'hôtel, je m'étais plus ou moins organisé pour
changer mon fils
lui donner à manger
Je prenais mes repas.
Les courses.
Le matin où j'ai vu le chat mort. Appareil-photo.
Photo de moi dans la glace. Photo de mon fils.
Les premiers jours que j'avais passé à Sasuelo, je les ai occupé de
longues promenades, tantôt le long des routes qui descendaient au village,
avec mon fils dans la poussette, vêtu d'un petit anorak bleu matelassé
qui engonçait son corps et d'unepetitecagoule blanche qui laissait
à jour un ovale deviasvisage, quelques cheveux, deux yeux très bleus;
mobiles, à l'affût du moindre mouvement, et tantôt sur la plage, avec
la poussette de mon fils qui s'enfonçait dans le sable,les rouyes qui
patinaient et finissaient par se bloqué. Solidemnt maintenu dans la
poussette par un jeu dediversespetites ceintures,mon fils ensablé
tendait avidement les bras en direction de tous les objets abandonnés
autour de luisurla plage, et je m'éccroupissais en face dela poussett
pour lui donner des morceaux de bois mort, sculptés par la marée, qui
avaient pris des formes diverses de talismans bizarres , sybillins et
fourchus,je luidtendaisdes algues séchées qui formient comme des épis
de blé,des brindilles, que sais-je, des galets,une sandale en plastique
, parfois,à sa plus grande joie,qui avait la taille de sa tte et dont
il se coiffait.