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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00068
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I. 68

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, jequittais 

l'hôtel pour me promener sortais prendre l'air  dans le village tandis que mon fils dormait encore.

Les voletsde la chambred'hôtel   étaient tirésdans la chambre d'hôtel , et je m'habillais sans

faire de bruit dans l'obscurité de la pièce, prenant mes vêtements un

à un sur la chaise le plus doucement possible|  pour ne pas le  réveiller mon 

fils . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais installé le

petit  lit decamping voyage  de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petiot

centre Pompidouqui dont l'armature  servait de supportnaturel  à une confortable en-

veloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche, tantôt sur

le ventre, la tête enfoncée dans un coussin et la ??? , tantôt sur le di os, les

petits bras repliés sur la poitrine. Je quittais la chambre sans faire

de bruit,a près m'être assuré qu'il dormait  et je m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel. ,???  une rangée de portes de chambres fermées ???  La réceptionde l'hôtel  était tout aussi silencieuse et déserte, et,???  comme la porte principale de l'hôtel était ???  fermée, je devais emprunter une porte dérobée pour sortir. Dehors, il faisaità peine jour,??? jour, à peine jour  

Dehors, le jour était à peine levé, et l'atmosphère silencieuse du

village était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avecdans le ciel une lune d'aube très blanche,

au-dessus des maisons et des arbres , qui s'inscrivaitavec ???  ???  dans le cieldéjà bleu  

parmi les planètes attardées  au-dessus desfils  lignes parallèles

des filsde poteaux  télégraphiques, une lune d'aube très blanche . Peu à peu,à 

mesure que j'approchais du port,  les couleurs des maisons et des arbres, 

la route , des buissons et desarbres ???  , prenaient des teintes roses

et orangées. La mer elle-meême, ???  ???  toute l'étendue au ???  de la route,???  

I. 68

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, je 

 sortais prendre l'air  dans le village tandis que mon fils dormait encore.

Les volets  étaient tirésdans la chambre d'hôtel , et je m'habillais sans

faire de bruit dans l'obscurité de la pièce, prenant mes vêtements un

à un sur la chaise le plus doucement possible  pour ne pas   réveiller mon 

fils . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais installé le

petit  lit decamping   de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petiot

centre Pompidouqui   servait de supportnaturel  à une confortable en-

veloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche, tantôt sur

le ventre, la tête enfoncée dans un coussin, tantôt sur le di os, les

petits bras repliés sur la poitrine. Je quittais la chambre sans faire

de bruit,  et je m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel.  

Dehors, le jour était à peine levé, et l'atmosphère silencieuse du

village était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avecdans le ciel ,

au-dessus des maisons et des arbres , qui s'inscrivait  dans le ciel 

parmi les planètes attardées  au-dessus desfils  lignes parallèles

des fils  télégraphiques, une lune d'aube très blanche . Peu à peu,à 

mesure que j'approchais du port,  les couleurs des maisons et de 

la route , des buissons et desarbres   , prenaient des teintes roses

et orangées. La mer elle-meême,   

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I. 68

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, jequittais 

l'hôtel pour me promener sortais prendre l'air  dans le village tandis que mon fils dormait encore.

Les voletsde la chambred'hôtel   étaient tirésdans la chambre d'hôtel , et je m'habillais sans

faire de bruit dans l'obscurité de la pièce, prenant mes vêtements un

à un sur la chaise le plus doucement possible|  pour ne pas le  réveiller mon 

fils . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais installé le

petit  lit decamping voyage  de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petiot

centre Pompidouqui dont l'armature  servait de supportnaturel  à une confortable en-

veloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche, tantôt sur

le ventre, la tête enfoncée dans un coussin et la ??? , tantôt sur le di os, les

petits bras repliés sur la poitrine. Je quittais la chambre sans faire

de bruit,a près m'être assuré qu'il dormait  et je m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel. ,???  une rangée de portes de chambres fermées ???  La réceptionde l'hôtel  était tout aussi silencieuse et déserte, et,???  comme la porte principale de l'hôtel était ???  fermée, je devais emprunter une porte dérobée pour sortir. Dehors, il faisaità peine jour,??? jour, à peine jour  

Dehors, le jour était à peine levé, et l'atmosphère silencieuse du

village était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avecdans le ciel une lune d'aube très blanche,

au-dessus des maisons et des arbres , qui s'inscrivaitavec ???  ???  dans le cieldéjà bleu  

parmi les planètes attardées  au-dessus desfils  lignes parallèles

des filsde poteaux  télégraphiques, une lune d'aube très blanche . Peu à peu,à 

mesure que j'approchais du port,  les couleurs des maisons et des arbres, 

la route , des buissons et desarbres ???  , prenaient des teintes roses

et orangées. La mer elle-meême, ???  ???  toute l'étendue au ???  de la route,???  

I. 68

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, je 

 sortais prendre l'air  dans le village tandis que mon fils dormait encore.

Les volets  étaient tirésdans la chambre d'hôtel , et je m'habillais sans

faire de bruit dans l'obscurité de la pièce, prenant mes vêtements un

à un sur la chaise le plus doucement possible  pour ne pas   réveiller mon 

fils . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais installé le

petit  lit decamping   de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petiot

centre Pompidouqui   servait de supportnaturel  à une confortable en-

veloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche, tantôt sur

le ventre, la tête enfoncée dans un coussin, tantôt sur le di os, les

petits bras repliés sur la poitrine. Je quittais la chambre sans faire

de bruit,  et je m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel.  

Dehors, le jour était à peine levé, et l'atmosphère silencieuse du

village était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avecdans le ciel ,

au-dessus des maisons et des arbres , qui s'inscrivait  dans le ciel 

parmi les planètes attardées  au-dessus desfils  lignes parallèles

des fils  télégraphiques, une lune d'aube très blanche . Peu à peu,à 

mesure que j'approchais du port,  les couleurs des maisons et de 

la route , des buissons et desarbres   , prenaient des teintes roses

et orangées. La mer elle-meême,   

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