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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00082
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I. 82

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers, comme

je savais que??? de l'hôtel verrouillait chaque soir  la porte principalede l'hôtel était verrouillée chaque soir   pour la

nuit, je me rendais à l'office en passant par la salle à mangerdont, obscure et silencieuse, où 

les trois ou quatre tablescouvertes de nappes blanches avec des nappes blanches et des tasses à café le couvert dupetit déjeuner  était  déjà dressé.sur les tables, ???  sur chaque table???  de l'hôtel,   pour le petit-déjeuner     étaient avaient   déjà été  dressées pour le petit-déjeuner, 

etj'empruntais je sortais par  une porte de servicede l'hôtel  qui donnait sur la route. Il faisait

à peine jour dehors, et l'atmosphère était tout emplie d'une fin de nuit

bleutée, avec une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait

au-dessus des lignes régulières que traçaient les fils des poteaux

télégraphiques.De la place du village endormie et déserte, je me rendai Le port était désert, et je longeais en silence 

sur le port et longais l L a petite jetée de pierreoù du port était déserte, et   des barques de

pêche tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans un

bruit régulier de clapotement d'eau très faible et de couinement de

cordes.

Le village était endormi et désert, et je me rendis  

quele faisceau du phare balayé  encore???  ??? par le long et fugace faisceau du phare, qui disparut ???   aussitôt pour???  ne réapparaîtrequ'???  que beaucoup plus tard avec la même fulgurance.inattrappable,  déjà repartie à des kilomètres de là 

Les eaux du port étaient lisses etsilencieuses, quasi et presques immobiles, 

Les eaux du port étaient lisses et immobiles, et 

I. 82

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers, comme

je savais que  la porte principalede l'hôtel était verrouillée   pour la

nuit, je me rendais à l'office en passant par la salle à mangerdont 

les trois ou quatre tables      étaient    déjà   dressées pour le petit-déjeuner, 

etj'empruntais   une porte de service  qui donnait sur la route. Il faisait

à peine jour dehors, et l'atmosphère était tout emplie d'une fin de nuit

bleutée, avec une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait

au-dessus des lignes régulières que traçaient les fils des poteaux

télégraphiques.De la place du village endormie et déserte, je me rendai  

sur le port et longais l  a petite jetée de pierreoù    des barques de

pêche tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans un

bruit régulier de clapotement d'eau très faible et de couinement de

cordes.

 

 

 

 

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lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers, comme

je savais que??? de l'hôtel verrouillait chaque soir  la porte principalede l'hôtel était verrouillée chaque soir   pour la

nuit, je me rendais à l'office en passant par la salle à mangerdont, obscure et silencieuse, où 

les trois ou quatre tablescouvertes de nappes blanches avec des nappes blanches et des tasses à café le couvert dupetit déjeuner  était  déjà dressé.sur les tables, ???  sur chaque table???  de l'hôtel,   pour le petit-déjeuner     étaient avaient   déjà été  dressées pour le petit-déjeuner, 

etj'empruntais je sortais par  une porte de servicede l'hôtel  qui donnait sur la route. Il faisait

à peine jour dehors, et l'atmosphère était tout emplie d'une fin de nuit

bleutée, avec une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait

au-dessus des lignes régulières que traçaient les fils des poteaux

télégraphiques.De la place du village endormie et déserte, je me rendai Le port était désert, et je longeais en silence 

sur le port et longais l L a petite jetée de pierreoù du port était déserte, et   des barques de

pêche tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans un

bruit régulier de clapotement d'eau très faible et de couinement de

cordes.

Le village était endormi et désert, et je me rendis  

quele faisceau du phare balayé  encore???  ??? par le long et fugace faisceau du phare, qui disparut ???   aussitôt pour???  ne réapparaîtrequ'???  que beaucoup plus tard avec la même fulgurance.inattrappable,  déjà repartie à des kilomètres de là 

Les eaux du port étaient lisses etsilencieuses, quasi et presques immobiles, 

Les eaux du port étaient lisses et immobiles, et 

I. 82

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers, comme

je savais que  la porte principalede l'hôtel était verrouillée   pour la

nuit, je me rendais à l'office en passant par la salle à mangerdont 

les trois ou quatre tables      étaient    déjà   dressées pour le petit-déjeuner, 

etj'empruntais   une porte de service  qui donnait sur la route. Il faisait

à peine jour dehors, et l'atmosphère était tout emplie d'une fin de nuit

bleutée, avec une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait

au-dessus des lignes régulières que traçaient les fils des poteaux

télégraphiques.De la place du village endormie et déserte, je me rendai  

sur le port et longais l  a petite jetée de pierreoù    des barques de

pêche tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans un

bruit régulier de clapotement d'eau très faible et de couinement de

cordes.

 

 

 

 

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