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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00090
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 90

et me???  +    

 Souvent, le matin très tôt,aux premières heures du jour,  je sortaisprendre l'air  dans le village???   

tandis que mon fils dormait encore dans la chambre d'hôtel dont les

rideaux volets  étaient tirés. A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installé le lit de voyage de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou qui servait de supportnaturel  à une confortable enve-

loppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petoite grenouillère blanche, tantôt sur le

ventre, la tête enfoncée dans un coussin, tantôt sur le dos, les petits

bras repliés sur la poitrine.Je quittais l'hôtel sans faire de bruit, 

et prenais la direction du port. Le jour état à peine levéquand je quittais l'hôtel, et le

village était désert et silencieux,et l'atmosphère silencieuse du village était tout  empli d'une fin de nuit bleutée

qui peu à peu prenait des teintes roses et orangées   , pusi à sept heures vingt, j'avais remarqué qu'à???   heures,  brusquement, 

orangée quand  le soleil passait la montagne etque , rond et orangeé,encore 

à peine éblouissant, il inondaiot la mer.

                              pour 

Dans les eaux du port, tout immobileset à peine clapotantes  en bordure du quaiquelques??? , rôdaient en silence le long de la jetée. ,l L es algues

s'étaientpeu à peu entassées???en bordure du quai et, durcies et séchées par le soleil

et la chaleur de l'été ,elles  avaientpeu à peu ???  progressivement   gagné sur la mer pour

former dans l'enceintemême tout autour du  du port une sorte de terre-plein meuble et

relativement solide sur lequel on pouvait évoluer. Il y avait là

des réserves de bois morts et diverses bouées objets abandonnés, une byciclette 

d'enfant rouillée , une ou deux barques de pêche qui avaient été

tirées à terre pour l'hiver.

[sorte de dessin schématique raturé, barbouillé]

I. 90

    

 Souvent, le matin très tôt,  je sortaisprendre l'air  dans le village 

tandis que mon fils dormait encore dans la chambre d'hôtel dont les

 volets  étaient tirés. A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installé le lit de voyage de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou qui servait de supportnaturel  à une confortable enve-

loppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petoite grenouillère blanche, tantôt sur le

ventre, la tête enfoncée dans un coussin, tantôt sur le dos, les petits

bras repliés sur la poitrine.Je quittais l'hôtel sans faire de bruit, 

et prenais la direction du port. Le jour état à peine levé, et le

village était désert et silencieux,  empli d'une fin de nuit bleutée

qui peu à peu prenait des teintes roses et orangées   , pusi    brusquement 

orangée quand  le soleil passait la montagne etque , rond et orange, 

à peine éblouissant, il inondaiot la mer.

                            

Dans les eaux du port, tout immobiles  en bordure du quai ,l  es algues

s'étaientpeu à peu entassées et, durcies et séchées par le soleil

et la chaleur de l'été ,elles  avaientpeu à peu     gagné sur la mer pour

former dans l'enceintemême   du port une sorte de terre-plein meuble et

relativement solide sur lequel on pouvait évoluer. Il y avait là

des réserves de bois morts et divers  objets abandonnés, une byciclette 

d'enfant rouillée , une ou deux barques de pêche qui avaient été

tirées à terre pour l'hiver.

[sorte de dessin schématique raturé, barbouillé]

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I. 90

et me???  +    

 Souvent, le matin très tôt,aux premières heures du jour,  je sortaisprendre l'air  dans le village???   

tandis que mon fils dormait encore dans la chambre d'hôtel dont les

rideaux volets  étaient tirés. A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installé le lit de voyage de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou qui servait de supportnaturel  à une confortable enve-

loppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petoite grenouillère blanche, tantôt sur le

ventre, la tête enfoncée dans un coussin, tantôt sur le dos, les petits

bras repliés sur la poitrine.Je quittais l'hôtel sans faire de bruit, 

et prenais la direction du port. Le jour état à peine levéquand je quittais l'hôtel, et le

village était désert et silencieux,et l'atmosphère silencieuse du village était tout  empli d'une fin de nuit bleutée

qui peu à peu prenait des teintes roses et orangées   , pusi à sept heures vingt, j'avais remarqué qu'à???   heures,  brusquement, 

orangée quand  le soleil passait la montagne etque , rond et orangeé,encore 

à peine éblouissant, il inondaiot la mer.

                              pour 

Dans les eaux du port, tout immobileset à peine clapotantes  en bordure du quaiquelques??? , rôdaient en silence le long de la jetée. ,l L es algues

s'étaientpeu à peu entassées???en bordure du quai et, durcies et séchées par le soleil

et la chaleur de l'été ,elles  avaientpeu à peu ???  progressivement   gagné sur la mer pour

former dans l'enceintemême tout autour du  du port une sorte de terre-plein meuble et

relativement solide sur lequel on pouvait évoluer. Il y avait là

des réserves de bois morts et diverses bouées objets abandonnés, une byciclette 

d'enfant rouillée , une ou deux barques de pêche qui avaient été

tirées à terre pour l'hiver.

[sorte de dessin schématique raturé, barbouillé]

I. 90

    

 Souvent, le matin très tôt,  je sortaisprendre l'air  dans le village 

tandis que mon fils dormait encore dans la chambre d'hôtel dont les

 volets  étaient tirés. A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installé le lit de voyage de mon fils, qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou qui servait de supportnaturel  à une confortable enve-

loppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petoite grenouillère blanche, tantôt sur le

ventre, la tête enfoncée dans un coussin, tantôt sur le dos, les petits

bras repliés sur la poitrine.Je quittais l'hôtel sans faire de bruit, 

et prenais la direction du port. Le jour état à peine levé, et le

village était désert et silencieux,  empli d'une fin de nuit bleutée

qui peu à peu prenait des teintes roses et orangées   , pusi    brusquement 

orangée quand  le soleil passait la montagne etque , rond et orange, 

à peine éblouissant, il inondaiot la mer.

                            

Dans les eaux du port, tout immobiles  en bordure du quai ,l  es algues

s'étaientpeu à peu entassées et, durcies et séchées par le soleil

et la chaleur de l'été ,elles  avaientpeu à peu     gagné sur la mer pour

former dans l'enceintemême   du port une sorte de terre-plein meuble et

relativement solide sur lequel on pouvait évoluer. Il y avait là

des réserves de bois morts et divers  objets abandonnés, une byciclette 

d'enfant rouillée , une ou deux barques de pêche qui avaient été

tirées à terre pour l'hiver.

[sorte de dessin schématique raturé, barbouillé]

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