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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00091
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 91

                                               Il faisait très sombre dans la chambre d'hôtel dont les volets étaient tirés  

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, je' 

quittais l'hôtel pour  allerais  me promener dans le village tandis que mon

fils dormait encoredans la chambre d'hôtel  . Les volets de la chambred'hôtel  étaient tirésfermés , et je

m'habillais dans l'obscurité ???   prenant garde de ne pas f dans l'obscurité de la pièce , prenant

mes vêtements|  un à un|sur la chaise le plus doucement possible. pour ne pour ne pas réveiller mon fils 

pas le réveiller . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installéle un petit  lit de voyagede mon fils , qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou dont l'armature servait de support à une confortable

enveloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche,tantôt sur le 

ventre,la tête enfoncée dansle renfoncement d'un  un coussin et la bouche déformée, tantôt immobile 

sur le dos,le souffle régulier  lesun  petits bras repliés  ???     en bouclier  sur la poitrine. Je quittais la

chambre sans faire de bruit après m'être assuré qu'il dormait, et je

m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel,passant devant longeant  une

rangée de portes de chambresfemées identiques et fermées . La réception, au rez de chaussée, de l'hôtel 

était tout aussi silencieuse et déserte, et, comme la ported'entrée   principale

de l'hôtel avait été verrouillée pour la nuit  était fermée, je devais emprunter une portedérobée de service  pour

sortir.Dehors, il faisait à peine qui donnait sur un??? .  il faisait à peine jour, qui donnait surune  la cour où étaient disposées les poubelles  ???    etet, dans le village endormi et silencieux que je traversai, l'atmosphère  l'atmosphère ???  

silenciuse du vilage était tout emplie d'une  fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanchedans le ciel,  qui s'inscrivait avec netteté dansle 

ciel ???    au-dessus des lignesparallèles régulières des que??? ???   de la place du village  fils des poteaux télégraphiques.

Peu à peuà mesure , tandis que le soleil se levait derrière la montagne  les couleurs des maisons et des arbres, des buissons et de

fleurs, prenaient des teintes roses et orangées ,et l'on sentait 

que , derrière la montagne, le soleils'était levé,  qui s'était levéndans le???   village 

                                          tournait encore 

et à sept heures ving précise, brusquement, le soleil??? la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière du jour. 

I. 91

                                             

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, je 

quittais l'hôtel pour  aller  me promener dans le village tandis que mon

fils dormait encore . Les volets de la chambre  étaient tirés , et je

m'habillais  dans l'obscurité de la pièce , prenant

mes vêtements  un à unsur la chaise le plus doucement possible pour ne  

pas le réveiller . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installéle   lit de voyagede mon fils , qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou dont l'armature servait de support à une confortable

enveloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche,tantôt sur le 

ventre,la tête enfoncée dansle renfoncement d'un  un coussin et la bouche déformée, tantôt  

sur le dos,  les  petits bras repliés    sur la poitrine. Je quittais la

chambre sans faire de bruit après m'être assuré qu'il dormait, et je

m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel,passant devant   une

rangée de portes de chambresfemées  . La réception, au rez de chaussée,  

était tout aussi silencieuse et déserte, et, comme la porte   principale

de l'hôtel   était fermée, je devais emprunter une portedérobée   pour

sortir.Dehors, il faisait à peine   il faisait à peine jour,      et  l'atmosphère  

silenciuse du vilage était tout emplie d'un  fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanche  qui s'inscrivait avec netteté dansle 

ciel    au-dessus des lignesparallèles  des  fils des poteaux télégraphiques.

Peu à peu ,  les couleurs des maisons et des arbres, des buissons et de

fleurs, prenaient des teintes roses et orangées ,et l'on sentait 

que , derrière la montagne, le soleils'était levé  qui s'était levén 

                                           

 

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I. 91

                                               Il faisait très sombre dans la chambre d'hôtel dont les volets étaient tirés  

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, je' 

quittais l'hôtel pour  allerais  me promener dans le village tandis que mon

fils dormait encoredans la chambre d'hôtel  . Les volets de la chambred'hôtel  étaient tirésfermés , et je

m'habillais dans l'obscurité ???   prenant garde de ne pas f dans l'obscurité de la pièce , prenant

mes vêtements|  un à un|sur la chaise le plus doucement possible. pour ne pour ne pas réveiller mon fils 

pas le réveiller . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installéle un petit  lit de voyagede mon fils , qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou dont l'armature servait de support à une confortable

enveloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche,tantôt sur le 

ventre,la tête enfoncée dansle renfoncement d'un  un coussin et la bouche déformée, tantôt immobile 

sur le dos,le souffle régulier  lesun  petits bras repliés  ???     en bouclier  sur la poitrine. Je quittais la

chambre sans faire de bruit après m'être assuré qu'il dormait, et je

m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel,passant devant longeant  une

rangée de portes de chambresfemées identiques et fermées . La réception, au rez de chaussée, de l'hôtel 

était tout aussi silencieuse et déserte, et, comme la ported'entrée   principale

de l'hôtel avait été verrouillée pour la nuit  était fermée, je devais emprunter une portedérobée de service  pour

sortir.Dehors, il faisait à peine qui donnait sur un??? .  il faisait à peine jour, qui donnait surune  la cour où étaient disposées les poubelles  ???    etet, dans le village endormi et silencieux que je traversai, l'atmosphère  l'atmosphère ???  

silenciuse du vilage était tout emplie d'une  fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanchedans le ciel,  qui s'inscrivait avec netteté dansle 

ciel ???    au-dessus des lignesparallèles régulières des que??? ???   de la place du village  fils des poteaux télégraphiques.

Peu à peuà mesure , tandis que le soleil se levait derrière la montagne  les couleurs des maisons et des arbres, des buissons et de

fleurs, prenaient des teintes roses et orangées ,et l'on sentait 

que , derrière la montagne, le soleils'était levé,  qui s'était levéndans le???   village 

                                          tournait encore 

et à sept heures ving précise, brusquement, le soleil??? la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière du jour. 

I. 91

                                             

 Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, je 

quittais l'hôtel pour  aller  me promener dans le village tandis que mon

fils dormait encore . Les volets de la chambre  étaient tirés , et je

m'habillais  dans l'obscurité de la pièce , prenant

mes vêtements  un à unsur la chaise le plus doucement possible pour ne  

pas le réveiller . A côté du lit à barreaux où je dormais, j'avais

installéle   lit de voyagede mon fils , qui consistait en un assemblage de

tubes métalliques jaunes et creux qui s'emboîtaient les uns dans les

autres pour composer une structure rigide rectangulaire, sorte de petit

centre Pompidou dont l'armature servait de support à une confortable

enveloppe de tissu multicolore dans laquele j'avais disposé des coussins.

Mon fils dormait là dans sa petite grenouillère blanche,tantôt sur le 

ventre,la tête enfoncée dansle renfoncement d'un  un coussin et la bouche déformée, tantôt  

sur le dos,  les  petits bras repliés    sur la poitrine. Je quittais la

chambre sans faire de bruit après m'être assuré qu'il dormait, et je

m'éloignais dans les couloirs silencieux de l'hôtel,passant devant   une

rangée de portes de chambresfemées  . La réception, au rez de chaussée,  

était tout aussi silencieuse et déserte, et, comme la porte   principale

de l'hôtel   était fermée, je devais emprunter une portedérobée   pour

sortir.Dehors, il faisait à peine   il faisait à peine jour,      et  l'atmosphère  

silenciuse du vilage était tout emplie d'un  fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanche  qui s'inscrivait avec netteté dansle 

ciel    au-dessus des lignesparallèles  des  fils des poteaux télégraphiques.

Peu à peu ,  les couleurs des maisons et des arbres, des buissons et de

fleurs, prenaient des teintes roses et orangées ,et l'on sentait 

que , derrière la montagne, le soleils'était levé  qui s'était levén 

                                           

 

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