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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00092
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  • Tapuscrit

I. 92

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,

tout était aussisilencieux endormi  et désert, et, comme la porte principale de

l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte sortir par une porte de service 

qui donnait sur la routede service pour sortir . Dehors, il ne faisait pas encore vraiment jour  Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère

|silencieuse de la place du village endormie|  et déserte]  était tout emplie

d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait

avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient

les fils des poteaux télégraphiques.Sur la place du village au bord de la route de la place du village. Les eaux du port, lisses et à peine clapotantes, avaient une couleur vert sombre et quelques huilées ça et là de fines nappes d'encre  d'huile aux reflets violacés  Dansles eaux du le  port,immobiles 

et à peine clapotantes,  quelques gros poissons venaient s'aventurer,de la lune x et à peine clapotantes 

rôdaient en silencele long de la jetée ???  .Je m'asseyais sur les 

quais, et, p P eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la

montagne, les couleurs des  la mer et des barques,des arbres et des  qui tang  de pêche amarrées qui tanguaient paisiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de???   

rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se

dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car

j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil

passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière

du jour.

I. 92

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,

tout était aussisilencieux   et désert, et, comme la porte principale de

l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte  

de service pour sortir .   Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère

silencieuse de la place du village endormie  et déserte  était tout emplie

d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait

avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient

les fils des poteaux télégraphiques.   Dansles eaux du  port,immobiles 

et à peine clapotantes,  quelques gros poissons venaient s'aventurer, 

rôdaient en silencele long de la jetée  .Je m'asseyais sur les 

quais, et, p  eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la

montagne, les couleurs des  la mer et des barques,des arbres et des  

rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se

dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car

j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil

passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière

du jour.

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I. 92

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,

tout était aussisilencieux endormi  et désert, et, comme la porte principale de

l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte sortir par une porte de service 

qui donnait sur la routede service pour sortir . Dehors, il ne faisait pas encore vraiment jour  Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère

|silencieuse de la place du village endormie|  et déserte]  était tout emplie

d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait

avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient

les fils des poteaux télégraphiques.Sur la place du village au bord de la route de la place du village. Les eaux du port, lisses et à peine clapotantes, avaient une couleur vert sombre et quelques huilées ça et là de fines nappes d'encre  d'huile aux reflets violacés  Dansles eaux du le  port,immobiles 

et à peine clapotantes,  quelques gros poissons venaient s'aventurer,de la lune x et à peine clapotantes 

rôdaient en silencele long de la jetée ???  .Je m'asseyais sur les 

quais, et, p P eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la

montagne, les couleurs des  la mer et des barques,des arbres et des  qui tang  de pêche amarrées qui tanguaient paisiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de???   

rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se

dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car

j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil

passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière

du jour.

I. 92

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,

tout était aussisilencieux   et désert, et, comme la porte principale de

l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte  

de service pour sortir .   Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère

silencieuse de la place du village endormie  et déserte  était tout emplie

d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait

avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient

les fils des poteaux télégraphiques.   Dansles eaux du  port,immobiles 

et à peine clapotantes,  quelques gros poissons venaient s'aventurer, 

rôdaient en silencele long de la jetée  .Je m'asseyais sur les 

quais, et, p  eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la

montagne, les couleurs des  la mer et des barques,des arbres et des  

rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se

dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car

j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil

passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière

du jour.

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