I. 92
lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,
tout était aussisilencieux endormi et désert, et, comme la porte principale de
l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte sortir par une porte de service
qui donnait sur la routede service pour sortir . Dehors, il ne faisait pas encore vraiment jour Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère
|silencieuse de la place du village endormie| et déserte] était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques.Sur la place du village au bord de la route de la place du village. Les eaux du port, lisses et à peine clapotantes, avaient une couleur vert sombre et quelques huilées ça et là de fines nappes d'encre d'huile aux reflets violacés Dansles eaux du le port,immobiles
et à peine clapotantes, quelques gros poissons venaient s'aventurer,de la lune x et à peine clapotantes
rôdaient en silencele long de la jetée ??? .Je m'asseyais sur les
quais, et, p P eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la
montagne, les couleurs des la mer et des barques,des arbres et des qui tang de pêche amarrées qui tanguaient paisiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de???
rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se
dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car
j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil
passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière
du jour.
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lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,
tout était aussisilencieux et désert, et, comme la porte principale de
l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte
de service pour sortir . Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère
silencieuse de la place du village endormie et déserte était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques. Dansles eaux du port,immobiles
et à peine clapotantes, quelques gros poissons venaient s'aventurer,
rôdaient en silencele long de la jetée .Je m'asseyais sur les
quais, et, p eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la
montagne, les couleurs des la mer et des barques,des arbres et des
rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se
dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car
j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil
passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière
du jour.
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lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Au bas des escaliers,
tout était aussisilencieux endormi et désert, et, comme la porte principale de
l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte sortir par une porte de service
qui donnait sur la routede service pour sortir . Dehors, il ne faisait pas encore vraiment jour Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère
|silencieuse de la place du village endormie| et déserte] était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques.Sur la place du village au bord de la route de la place du village. Les eaux du port, lisses et à peine clapotantes, avaient une couleur vert sombre et quelques huilées ça et là de fines nappes d'encre d'huile aux reflets violacés Dansles eaux du le port,immobiles
et à peine clapotantes, quelques gros poissons venaient s'aventurer,de la lune x et à peine clapotantes
rôdaient en silencele long de la jetée ??? .Je m'asseyais sur les
quais, et, p P eu à peu, à mesure que le soleil se levait derrière la
montagne, les couleurs des la mer et des barques,des arbres et des qui tang de pêche amarrées qui tanguaient paisiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de???
rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se
dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car
j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil
passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière
du jour.
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tout était aussisilencieux et désert, et, comme la porte principale de
l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je devaisemprunter une porte
de service pour sortir . Il faisait à peine jour dehors, et l'atmosphère
silencieuse de la place du village endormie et déserte était tout emplie
d'une fin de nuit bleutée, avec une lune d'aube très blanche qui s'inscrivait
avec netteté dans le ciel au-dessus des lignes régulières que traçaient
les fils des poteaux télégraphiques. Dansles eaux du port,immobiles
et à peine clapotantes, quelques gros poissons venaient s'aventurer,
rôdaient en silencele long de la jetée .Je m'asseyais sur les
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montagne, les couleurs des la mer et des barques,des arbres et des
rochers , prenaient des teintes roses et orangées, des ombres se
dessinaient sur la jetée, parfois, je consultais ma montre , car
j('avais remarqué qu'à sept heures vingt précise, brusquement, le soleil
passait la montagne et inondait la mer et les rochers de la lumière
du jour.