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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00113
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  • Tapuscrit

I. 113

encore toute baignée d'obscurité, me frayant un chemin entre les tables

déjà dressées pour le petit-déjeuner, le couvert mis sur les nappes blanches

et les tasses retournées dans les soucoupes, et je sortais de l'hôtel par

une porte de service qui donnait sur la route. Il faisait à peine jour

dehorsquand j'arrivais dans le village , et l'atmosphèreendormie de la place  était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus

des  lignes régulières que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.

Les eaux du port étaient lisses et presque transparentes, et je longais

en silence la petite jetée de pierres où les quelques barques ancrées

dans le port tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans

un bruit régulier de clapotement d'eau très faible et decouinement grincement  de

cordes.

La mer, au loin, était brune et presque??? , et me rendit sur le port,

I. 113

encore toute baignée d'obscurité, me frayant un chemin entre les tables

déjà dressées pour le petit-déjeuner, le couvert mis sur les nappes blanches

et les tasses retournées dans les soucoupes, et je sortais de l'hôtel par

une porte de service qui donnait sur la route. Il faisait à peine jour

dehors , et l'atmosphère était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus

des  lignes régulières que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.

Les eaux du port étaient lisses et presque transparentes, et je longais

en silence la petite jetée de pierres où les quelques barques ancrées

dans le port tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans

un bruit régulier de clapotement d'eau très faible et decouinement   de

cordes.

La mer, au loin, était brune et presque ???  , et me rendit sur le port,

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I. 113

encore toute baignée d'obscurité, me frayant un chemin entre les tables

déjà dressées pour le petit-déjeuner, le couvert mis sur les nappes blanches

et les tasses retournées dans les soucoupes, et je sortais de l'hôtel par

une porte de service qui donnait sur la route. Il faisait à peine jour

dehorsquand j'arrivais dans le village , et l'atmosphèreendormie de la place  était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus

des  lignes régulières que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.

Les eaux du port étaient lisses et presque transparentes, et je longais

en silence la petite jetée de pierres où les quelques barques ancrées

dans le port tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans

un bruit régulier de clapotement d'eau très faible et decouinement grincement  de

cordes.

La mer, au loin, était brune et presque??? , et me rendit sur le port,

I. 113

encore toute baignée d'obscurité, me frayant un chemin entre les tables

déjà dressées pour le petit-déjeuner, le couvert mis sur les nappes blanches

et les tasses retournées dans les soucoupes, et je sortais de l'hôtel par

une porte de service qui donnait sur la route. Il faisait à peine jour

dehors , et l'atmosphère était tout emplie d'une fin de nuit bleutée, avec

une lune d'aube très blanche dans le ciel, qui s'inscrivait au-dessus

des  lignes régulières que traçaient les fils des poteaux télégraphiques.

Les eaux du port étaient lisses et presque transparentes, et je longais

en silence la petite jetée de pierres où les quelques barques ancrées

dans le port tanguaient imperceptiblement le long de leurs amarres dans

un bruit régulier de clapotement d'eau très faible et decouinement   de

cordes.

La mer, au loin, était brune et presque ???  , et me rendit sur le port,

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