I. 114
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
tandis que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillais
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormaità côté de moi dansson le petit lit de voyage
immobile sur le dosdans une grenouillère blanche, le souffle régulier, un petit bras replié en bouclier sur
la poitrine. Je quittais la chambre sur la pointe des pieds, et je
I. 114
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
tandis que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillais
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait
sur le dos, le souffle régulier, un petit bras replié en bouclier sur
la poitrine. Je quittais la chambre sur la pointe des pieds, et je
I. 114
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
tandis que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillais
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormaità côté de moi dansson le petit lit de voyage
immobile sur le dosdans une grenouillère blanche, le souffle régulier, un petit bras replié en bouclier sur
la poitrine. Je quittais la chambre sur la pointe des pieds, et je
I. 114
Souvent, le matin très tôt, aux toutes premières heures du jour,
tandis que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillais
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait
sur le dos, le souffle régulier, un petit bras replié en bouclier sur
la poitrine. Je quittais la chambre sur la pointe des pieds, et je