I. 142
Comment se faisait-il en effet qu'un appât de ligne morte se fût trouvé
aussi près du bord de la jetée,à la portée de la gueule du chat en quelque sorte, plutôt que de reposer au large par dix
ou vingt mètres de fond ? Comment ces quelques centimètres de fil, ces
quelques centimètres de gros fil de pêche extrêmement dur et résistant qui
pouvait subir des pressions de plusieurs dizaines de kilos, le chat avait-il
pu les briser lui-même sans s'arracher le palais et se déchirer la
lèvre supérieure ? Pourquoi l'extrémité du fil était-elle coupée aussi
proprement, comme sectionnée net par une lame, si ce n'est parce qu'une
fois le chat pris au piège que je lui avais tendu, j'avaislentement lentement
rembobiné le fil de la ligne morte ??? liège pour ramenerà moi lentement l'animalà moi comme un
très gros poisson, m'arrêtant lorsque je sentais une trop grande résistance
de sa part et rembobinant à nouveau chaque fois que ses efforts se re-
lâchaient, et que, le sortant de l'eau vivantet se débattant au bout de encore au bout de la ligne venant à épurépar l'hameçon accroché dans sa gueule de se débattre l'hameçon accroché dans la gueule
la ligne l'hameçon accroché dans la gueule, j'avais sorti un petit couteau
de ma poche pour trancher net le fil, le chat retombant alors dans le
port dans un fracas brutal, qui alla peu à peu en s'apaisant, quelques
dernières vaguelettes venant mourir doucement contre ses flancs.?
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Comment se faisait-il en effet qu'un appât de ligne morte se fût trouvé
aussi près du bord de la jetée, plutôt que de reposer au large par dix
ou vingt mètres de fond ? Comment ces quelques centimètres de fil, ces
quelques centimètres de gros fil de pêche extrêmement dur et résistant qui
pouvait subir des pressions de plusieurs dizaines de kilos, le chat avait-il
pu les briser lui-même sans s'arracher le palais et se déchirer la
lèvre supérieure ? Pourquoi l'extrémité du fil était-elle coupée aussi
proprement, comme sectionnée net par une lame, si ce n'est parce qu'une
fois le chat pris au piège que je lui avais tendu, j'avaislentement
rembobiné le fil de la ligne morte pour ramenerà moi l'animal comme un
très gros poisson, m'arrêtant lorsque je sentais une trop grande résistance
de sa part et rembobinant à nouveau chaque fois que ses efforts se re-
lâchaient, et que, le sortant de l'eau vivantet se débattant au bout de
la ligne l'hameçon accroché dans la gueule, j'avais sorti un petit couteau
de ma poche pour trancher net le fil, le chat retombant alors dans le
port dans un fracas brutal, qui alla peu à peu en s'apaisant, quelques
dernières vaguelettes venant mourir doucement contre ses flancs.
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Comment se faisait-il en effet qu'un appât de ligne morte se fût trouvé
aussi près du bord de la jetée,à la portée de la gueule du chat en quelque sorte, plutôt que de reposer au large par dix
ou vingt mètres de fond ? Comment ces quelques centimètres de fil, ces
quelques centimètres de gros fil de pêche extrêmement dur et résistant qui
pouvait subir des pressions de plusieurs dizaines de kilos, le chat avait-il
pu les briser lui-même sans s'arracher le palais et se déchirer la
lèvre supérieure ? Pourquoi l'extrémité du fil était-elle coupée aussi
proprement, comme sectionnée net par une lame, si ce n'est parce qu'une
fois le chat pris au piège que je lui avais tendu, j'avaislentement lentement
rembobiné le fil de la ligne morte ??? liège pour ramenerà moi lentement l'animalà moi comme un
très gros poisson, m'arrêtant lorsque je sentais une trop grande résistance
de sa part et rembobinant à nouveau chaque fois que ses efforts se re-
lâchaient, et que, le sortant de l'eau vivantet se débattant au bout de encore au bout de la ligne venant à épurépar l'hameçon accroché dans sa gueule de se débattre l'hameçon accroché dans la gueule
la ligne l'hameçon accroché dans la gueule, j'avais sorti un petit couteau
de ma poche pour trancher net le fil, le chat retombant alors dans le
port dans un fracas brutal, qui alla peu à peu en s'apaisant, quelques
dernières vaguelettes venant mourir doucement contre ses flancs.?
I. 142
Comment se faisait-il en effet qu'un appât de ligne morte se fût trouvé
aussi près du bord de la jetée, plutôt que de reposer au large par dix
ou vingt mètres de fond ? Comment ces quelques centimètres de fil, ces
quelques centimètres de gros fil de pêche extrêmement dur et résistant qui
pouvait subir des pressions de plusieurs dizaines de kilos, le chat avait-il
pu les briser lui-même sans s'arracher le palais et se déchirer la
lèvre supérieure ? Pourquoi l'extrémité du fil était-elle coupée aussi
proprement, comme sectionnée net par une lame, si ce n'est parce qu'une
fois le chat pris au piège que je lui avais tendu, j'avaislentement
rembobiné le fil de la ligne morte pour ramenerà moi l'animal comme un
très gros poisson, m'arrêtant lorsque je sentais une trop grande résistance
de sa part et rembobinant à nouveau chaque fois que ses efforts se re-
lâchaient, et que, le sortant de l'eau vivantet se débattant au bout de
la ligne l'hameçon accroché dans la gueule, j'avais sorti un petit couteau
de ma poche pour trancher net le fil, le chat retombant alors dans le
port dans un fracas brutal, qui alla peu à peu en s'apaisant, quelques
dernières vaguelettes venant mourir doucement contre ses flancs.
