I. 143
J'avais d'abord cru à une noyade accidentale, et le si la pré£sence de
la tête de poisson ne venait en rien contredire l'hypothèse de l'accident,
dans la mesure où, si cette tête de poisson avait servi d'appât de ligne
morte comme je le pensais, il était toutç à fait vraisemblable qu'à un
moment ou à un autre, agressée au fond de l'eau par les poissons qui
tâchaient de mordre à l'appât, elle se fût décrochée de l'hameçon pour
glisser le long du fil, j'imaginais mal, en revanche, qu'une ligne morte
se fut trouvée si près du bord de la jetée, à portée de la gueule du
chaten quelque sorte, plutôt que de reposer au large par dix ou
vingt mètres de fond. Par aiolleurs, j'avais peine à croire que compte
tenu de la solidité des fils de pêche, une fois l'hameçon mordu,
le chat ait pu lui-même le briser net sans s'arracher le palais
et se déchirer la lèvre. Restai l'hypothèse, que la ligne morte ne
se fût pas trouvée innocemmentà la dans le port à la portée de
la gueule du chat et que, le piège refermé sur l'animal, tandis
qu'il se débattait dans l'eau l'hameçon durement fixé dans la
gueule , quelqu'un rembobinant sa ligne morte et attirant à lui
le chat
pour ramener à lui le chat ait, lorsqu'il ne restait plus que
quelque centimètres de fil auquel pendait le chat, avec la lame d'un
petit couteau aiguisé, sectionné net le fil de pêche/
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J'avais d'abord cru à une noyade accidentale, et le si la pré£sence de
la tête de poisson ne venait en rien contredire l'hypothèse de l'accident,
dans la mesure où, si cette tête de poisson avait servi d'appât de ligne
morte comme je le pensais, il était toutç à fait vraisemblable qu'à un
moment ou à un autre, agressée au fond de l'eau par les poissons qui
tâchaient de mordre à l'appât, elle se fût décrochée de l'hameçon pour
glisser le long du fil, j'imaginais mal, en revanche, qu'une ligne morte
se fut trouvée si près du bord de la jetée, à portée de la gueule du
chaten quelque sorte, plutôt que de reposer au large par dix ou
vingt mètres de fond. Par aiolleurs, j'avais peine à croire que compte
tenu de la solidité des fils de pêche, une fois l'hameçon mordu,
le chat ait pu lui-même le briser net sans s'arracher le palais
et se déchirer la lèvre. Restai l'hypothèse, que la ligne morte ne
se fût pas trouvée innocemmentà la dans le port à la portée de
la gueule du chat et que, le piège refermé sur l'animal, tandis
qu'il se débattait dans l'eau l'hameçon durement fixé dans la
gueule , quelqu'un rembobinant sa ligne morte et attirant à lui
le chat
pour ramener à lui le chat ait, lorsqu'il ne restait plus que
quelque centimètres de fil auquel pendait le chat, avec la lame d'un
petit couteau aiguisé, sectionné net le fil de pêche/
I. 143
J'avais d'abord cru à une noyade accidentale, et le si la pré£sence de
la tête de poisson ne venait en rien contredire l'hypothèse de l'accident,
dans la mesure où, si cette tête de poisson avait servi d'appât de ligne
morte comme je le pensais, il était toutç à fait vraisemblable qu'à un
moment ou à un autre, agressée au fond de l'eau par les poissons qui
tâchaient de mordre à l'appât, elle se fût décrochée de l'hameçon pour
glisser le long du fil, j'imaginais mal, en revanche, qu'une ligne morte
se fut trouvée si près du bord de la jetée, à portée de la gueule du
chaten quelque sorte, plutôt que de reposer au large par dix ou
vingt mètres de fond. Par aiolleurs, j'avais peine à croire que compte
tenu de la solidité des fils de pêche, une fois l'hameçon mordu,
le chat ait pu lui-même le briser net sans s'arracher le palais
et se déchirer la lèvre. Restai l'hypothèse, que la ligne morte ne
se fût pas trouvée innocemmentà la dans le port à la portée de
la gueule du chat et que, le piège refermé sur l'animal, tandis
qu'il se débattait dans l'eau l'hameçon durement fixé dans la
gueule , quelqu'un rembobinant sa ligne morte et attirant à lui
le chat
pour ramener à lui le chat ait, lorsqu'il ne restait plus que
quelque centimètres de fil auquel pendait le chat, avec la lame d'un
petit couteau aiguisé, sectionné net le fil de pêche/
I. 143
J'avais d'abord cru à une noyade accidentale, et le si la pré£sence de
la tête de poisson ne venait en rien contredire l'hypothèse de l'accident,
dans la mesure où, si cette tête de poisson avait servi d'appât de ligne
morte comme je le pensais, il était toutç à fait vraisemblable qu'à un
moment ou à un autre, agressée au fond de l'eau par les poissons qui
tâchaient de mordre à l'appât, elle se fût décrochée de l'hameçon pour
glisser le long du fil, j'imaginais mal, en revanche, qu'une ligne morte
se fut trouvée si près du bord de la jetée, à portée de la gueule du
chaten quelque sorte, plutôt que de reposer au large par dix ou
vingt mètres de fond. Par aiolleurs, j'avais peine à croire que compte
tenu de la solidité des fils de pêche, une fois l'hameçon mordu,
le chat ait pu lui-même le briser net sans s'arracher le palais
et se déchirer la lèvre. Restai l'hypothèse, que la ligne morte ne
se fût pas trouvée innocemmentà la dans le port à la portée de
la gueule du chat et que, le piège refermé sur l'animal, tandis
qu'il se débattait dans l'eau l'hameçon durement fixé dans la
gueule , quelqu'un rembobinant sa ligne morte et attirant à lui
le chat
pour ramener à lui le chat ait, lorsqu'il ne restait plus que
quelque centimètres de fil auquel pendait le chat, avec la lame d'un
petit couteau aiguisé, sectionné net le fil de pêche/