I. 193
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittaisans bruit ma
chambresans bruit d'hôtel,sortant refermant la porte derrière moi le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait, et je m'éloignai dansles la pénombre du l'obscurité du couloirs silencieux de
l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun
bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
que la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je
traversai la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la
salle à manger de l'hôtel, très sombre et silencieuse, toute baignée de
clarté lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée. Seules
les lumières bleutées d'un aquarium ressortaient de la pénombre, où quelques
poissons évoluaient en silence dans un décor sous-marin composé
de massifs escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Le couvert
du petit-déjeuner était déjà dressé dans la salle à manger, les nappes
mises dans lafaible lumièrede lune lunaire qui envelopppait la pièce, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Jetraversai
la pièce et me dirigeai sans bruit vers la baie vitrée, regardant un instant
la terrasse déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre
contre un muret de pierres, avant de faire coulisser très doucement la paroi
sur elle-même pour me glisser dehors.
Ce n'était pas la première fois que j'arpentais ce chemin,
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La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittai ma
chambresans bruit ,sortant le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait, et je m'éloignai dansles couloirs silencieux de
l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun
bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
que la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je
traversai la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la
salle à manger de l'hôtel, très sombre et silencieuse, toute baignée de
clarté lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée. Seules
les lumières bleutées d'un aquarium ressortaient de la pénombre, où quelques
poissons évoluaient en silence dans un décor sous-marin composé
de massifs escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Le couvert
du petit-déjeuner était déjà dressé dans la salle à manger, les nappes
mises dans lafaible lumièrede lune qui envelopppait la pièce, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Jetraversai
la pièce et me dirigeai sans bruit vers la baie vitrée, regardant un instant
la terrasse déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre
contre un muret de pierres, avant de faire coulisser très doucement la paroi
sur elle-même pour me glisser dehors.
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La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittaisans bruit ma
chambresans bruit d'hôtel,sortant refermant la porte derrière moi le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait, et je m'éloignai dansles la pénombre du l'obscurité du couloirs silencieux de
l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun
bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
que la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je
traversai la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la
salle à manger de l'hôtel, très sombre et silencieuse, toute baignée de
clarté lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée. Seules
les lumières bleutées d'un aquarium ressortaient de la pénombre, où quelques
poissons évoluaient en silence dans un décor sous-marin composé
de massifs escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Le couvert
du petit-déjeuner était déjà dressé dans la salle à manger, les nappes
mises dans lafaible lumièrede lune lunaire qui envelopppait la pièce, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Jetraversai
la pièce et me dirigeai sans bruit vers la baie vitrée, regardant un instant
la terrasse déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre
contre un muret de pierres, avant de faire coulisser très doucement la paroi
sur elle-même pour me glisser dehors.
Ce n'était pas la première fois que j'arpentais ce chemin,
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La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittai ma
chambresans bruit ,sortant le plus doucement possible pour ne pas réveiller
mon fils qui dormait, et je m'éloignai dansles couloirs silencieux de
l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun
bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais
que la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je
traversai la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la
salle à manger de l'hôtel, très sombre et silencieuse, toute baignée de
clarté lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée. Seules
les lumières bleutées d'un aquarium ressortaient de la pénombre, où quelques
poissons évoluaient en silence dans un décor sous-marin composé
de massifs escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Le couvert
du petit-déjeuner était déjà dressé dans la salle à manger, les nappes
mises dans lafaible lumièrede lune qui envelopppait la pièce, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Jetraversai
la pièce et me dirigeai sans bruit vers la baie vitrée, regardant un instant
la terrasse déserte où quelques chaises longues repliées reposaient par terre
contre un muret de pierres, avant de faire coulisser très doucement la paroi
sur elle-même pour me glisser dehors.