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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00194
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I. 194

[d1]Vers deux ou trois heures du matin,  la nuit suivante,<d1>je sortis de quittais mon lit ma chambrechambre d'hôtel,  sortis, 

ma chambre  le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,

longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne

se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que

la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai

la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à

manger de l'hôtel,qui était très sombre et silencieuse,  toute baignéed'une de  d'une  clarté lunaire qui entrait

dans la pièce par la grande baie vitréedont les vitres   qui donnait sur une petite terrasse très 

sombre où quelques tamaris très sombres se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient 

de dans l'obscurité de la pièce   les lumières bleutées d'un aquarium ??? dans l'obscurité de la pièce dans l'obscurité, de de la pièceun peu  un peu  où quelques poissons

allaient et venaient évoluaient lentement  dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches

miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà

dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire

qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement

découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-

nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse sans bruit  et me dirigeaisans 

bruit  vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-

ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,

avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée  sur elle-même pour

me glisser dehors.

[d2]Les contours d'une terrassederrière laquelle se dessinaient derrière les vitres<d2>, où ???  quelquestroncs 

de  tamaristrsè sombres se dressaient. dans l'ombre. étaient dressés???   étaient dressés 

???   ressortait de l'obscurité, où quelques poissons allaient et venaient en silence 

I. 194

Vers deux ou trois heures du matin,  la nuit suivante,je sortis de  

ma chambre  le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,

longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne

se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que

la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai

la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à

manger de l'hôtel,qui était   toute baignéed'une   clarté lunaire qui entrait

dans la pièce par la grande baie vitrée  qui donnait sur une  terrasse très 

sombre où quelques tamaris  se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient 

de l'obscurité   les lumières bleutées d'un aquarium   où quelques poissons

 évoluaient   dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches

miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà

dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire

qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement

découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-

nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse   et me dirigeaisans 

bruit  vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-

ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,

avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée  sur elle-même pour

me glisser dehors.

Les contours d'une terrasse se dessinaient derrière les vitres où  quelques 

  tamaristrsè sombres se dressaient.  

 

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I. 194

[d1]Vers deux ou trois heures du matin,  la nuit suivante,<d1>je sortis de quittais mon lit ma chambrechambre d'hôtel,  sortis, 

ma chambre  le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,

longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne

se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que

la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai

la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à

manger de l'hôtel,qui était très sombre et silencieuse,  toute baignéed'une de  d'une  clarté lunaire qui entrait

dans la pièce par la grande baie vitréedont les vitres   qui donnait sur une petite terrasse très 

sombre où quelques tamaris très sombres se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient 

de dans l'obscurité de la pièce   les lumières bleutées d'un aquarium ??? dans l'obscurité de la pièce dans l'obscurité, de de la pièceun peu  un peu  où quelques poissons

allaient et venaient évoluaient lentement  dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches

miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà

dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire

qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement

découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-

nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse sans bruit  et me dirigeaisans 

bruit  vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-

ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,

avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée  sur elle-même pour

me glisser dehors.

[d2]Les contours d'une terrassederrière laquelle se dessinaient derrière les vitres<d2>, où ???  quelquestroncs 

de  tamaristrsè sombres se dressaient. dans l'ombre. étaient dressés???   étaient dressés 

???   ressortait de l'obscurité, où quelques poissons allaient et venaient en silence 

I. 194

Vers deux ou trois heures du matin,  la nuit suivante,je sortis de  

ma chambre  le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait, et je m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel,

longeant une rangée de portes closes derrières lesquelles aucun bruit ne

se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers, comme je savais que

la porte principale de l'hôtel était verrouillée pour la nuit, je traversai

la réception sur la pointe des pieds et m'introduisis dans la salle à

manger de l'hôtel,qui était   toute baignéed'une   clarté lunaire qui entrait

dans la pièce par la grande baie vitrée  qui donnait sur une  terrasse très 

sombre où quelques tamaris  se dessinaient dans l'ombnre . Seulesressortaient 

de l'obscurité   les lumières bleutées d'un aquarium   où quelques poissons

 évoluaient   dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches

miniatures et de mousses marines. Le couvert du petit-déjeuner était déjà

dressé dans salle à manger, les nappes mises dans la pénombre lunaire

qui enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profil parfaitement

découpé des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de migno-

nettes de configure. Je traversai la piècesilencieuse   et me dirigeaisans 

bruit  vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte où quel-

ques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret de pierres,

avant de faire coulisser très doucement la paroivitrée  sur elle-même pour

me glisser dehors.

Les contours d'une terrasse se dessinaient derrière les vitres où  quelques 

  tamaristrsè sombres se dressaient.  

 

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