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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00214
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 214

 Un matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai sans bruit

dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le plus

doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait. Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silenciux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,

je butai sur la porte principale de l'hôtel qui était verrouillée pour

la nuit et, rebroussant chemin, passant devant la porte close de la

chambre des patrons de l'hôtelqui jouxtait le comptoir de la réception, 

je m'introduisis dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité.

Il y avaithuit tables environ, déjà prêtes pour le petit-déjeuner,là une dizaine de tablesdans la pièce, disposées pour moitié le long de la baie vitrée qui donnait sur une terrasse abandonnée, les

nappes blanchesétaient mises  et le couvertdu petit déjeuner dressé dans la pénombre. Sur chacun

d'elle,<d1>et de miel une ou deux grosses tasses blanches en porcelaine était retournée 

dans la soucoupe et une petite corbeille remplie??? d'échantillons de beurr

et , de confiture [d1]reposait entre les tasses retournées dans les soucoupes .

, à côté de grosses tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, 

Il y avait là une dizaine de tables environ, disposées pour moitié

le long d'une baie vitrée qui donnait sur une terrasse abandonnée.La 

pièce était très sombre et les nappes blanches ressortaient dans l'obscu 

rité. , les nappes blanches mises dans la pénombre, 

Le couvert était déjà dressé pour le petit-déjeuner,et les nappes et 

blanches ressortaient dans l'obscurité. ,  Sur chacuneque des  tables, à côté

des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre, de

confiture e de mile.Je traversai la pièce, passant sans bruit entre les tables???  les nappes très blanches ressortaient dans la pénombre,  et je quittai l'hôtel 

[traits aléatoires] 

I. 214

 Un matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai sans bruit

dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le plus

doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait. Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silenciux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,

je butai sur la porte principale de l'hôtel qui était verrouillée pour

la nuit et, rebroussant chemin, passant devant la porte close de la

chambre des patrons de l'hôtelqui jouxtait le comptoir de la réception, 

je m'introduisis dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité.

Il y avaithuit tables environ déjà prêtes pour le petit-déjeuner,, les

nappes blanchesmises  et le couvert dressé dans la pénombre. Sur chacun

d'elle, une ou deux grosses tasses blanches en porcelaine était retournée 

dans la soucoupe et une petite corbeille remplied'échantillons de beurr

et  de confiture reposait entre les tasses retournées dans les soucoupes .

 

Il y avait là une dizaine de tables environ, disposées pour moitié

le long d'une baie vitrée qui donnait sur une terrasse abandonnée.La 

pièce était très sombre et les nappes blanches ressortaient dans l'obscu 

rité.  

Le couvert était déjà dressé pour le petit-déjeuner,et les nappes  

blanches ressortaient dans l'obscurité.   Sur chacune des  tables, à côté

des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre, de

confiture e de mile. 

 

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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 214

 Un matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai sans bruit

dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le plus

doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait. Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silenciux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,

je butai sur la porte principale de l'hôtel qui était verrouillée pour

la nuit et, rebroussant chemin, passant devant la porte close de la

chambre des patrons de l'hôtelqui jouxtait le comptoir de la réception, 

je m'introduisis dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité.

Il y avaithuit tables environ, déjà prêtes pour le petit-déjeuner,là une dizaine de tablesdans la pièce, disposées pour moitié le long de la baie vitrée qui donnait sur une terrasse abandonnée, les

nappes blanchesétaient mises  et le couvertdu petit déjeuner dressé dans la pénombre. Sur chacun

d'elle,<d1>et de miel une ou deux grosses tasses blanches en porcelaine était retournée 

dans la soucoupe et une petite corbeille remplie??? d'échantillons de beurr

et , de confiture [d1]reposait entre les tasses retournées dans les soucoupes .

, à côté de grosses tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, 

Il y avait là une dizaine de tables environ, disposées pour moitié

le long d'une baie vitrée qui donnait sur une terrasse abandonnée.La 

pièce était très sombre et les nappes blanches ressortaient dans l'obscu 

rité. , les nappes blanches mises dans la pénombre, 

Le couvert était déjà dressé pour le petit-déjeuner,et les nappes et 

blanches ressortaient dans l'obscurité. ,  Sur chacuneque des  tables, à côté

des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre, de

confiture e de mile.Je traversai la pièce, passant sans bruit entre les tables???  les nappes très blanches ressortaient dans la pénombre,  et je quittai l'hôtel 

[traits aléatoires] 

I. 214

 Un matin très tôt, aux toutes premières heures du jour, tandis que

les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai sans bruit

dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise le plus

doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait. Je quittai

la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans les couloirs

silenciux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermées derrière

lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,

je butai sur la porte principale de l'hôtel qui était verrouillée pour

la nuit et, rebroussant chemin, passant devant la porte close de la

chambre des patrons de l'hôtelqui jouxtait le comptoir de la réception, 

je m'introduisis dans la salle à manger encore toute baignée d'obscurité.

Il y avaithuit tables environ déjà prêtes pour le petit-déjeuner,, les

nappes blanchesmises  et le couvert dressé dans la pénombre. Sur chacun

d'elle, une ou deux grosses tasses blanches en porcelaine était retournée 

dans la soucoupe et une petite corbeille remplied'échantillons de beurr

et  de confiture reposait entre les tasses retournées dans les soucoupes .

 

Il y avait là une dizaine de tables environ, disposées pour moitié

le long d'une baie vitrée qui donnait sur une terrasse abandonnée.La 

pièce était très sombre et les nappes blanches ressortaient dans l'obscu 

rité.  

Le couvert était déjà dressé pour le petit-déjeuner,et les nappes  

blanches ressortaient dans l'obscurité.   Sur chacune des  tables, à côté

des tasses en porcelaine retournées dans les soucoupes, était disposée

une petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre, de

confiture e de mile. 

 

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