I. 218
[d1]Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante,<d1> et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrières lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.Ce n'était pas la première fois que je sortais de l'hôtel pendant la nuit.Arrivé
au bas escaliers, comme je savaisn'ignorais pas pour avoir déjà buté dessus que?
? la porte principale de l'hôtel était verrouilléepour pendant la nuitpour m'y être déjà heurté auparavant,, je passai
par la réception, remarquant au passage que laporte de la chambre des
patrons était entrouverte, et| jJe m'introduisis sans bruit? dans la salle
à manger de l'hôtel,<d2> qui était toute baignéed'une de d'une clarté lunairequi qui
laissait sur le sol une mare blanche et allongée de lumière, tandis que
derrière à travers entrait dans la pièce pour les vitres de la grande baie vitréequi donnait sur la terrasse,, quelques tamaris très sombres
se dessinaient dans l'ombresur la terrasse. Le couvert du petit-déjeuner
était déjà dressé dans la piècesalle à manger, les nappes mises dans la pénombreve- blanchâtre
loutée de la lumière lunairequi enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profilparfaitement découpé
des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée une
petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes
de confiture.[d2]Dans l'obscurité de la piècetrès sombre et toute baignée de clarté lunaire, où seules ressortaientdans la pénombre les lumières
bleutées d'un aquarium encastré dans le mur où quelques poissons de roche
évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches
miniatures et de mousses marines. La grande baie vitrée de la salle à manger, qui donnaitderrière laquelle sur une terrasse où quelques des tamaris très sombres se devinaient dans l'ombrede la terrasse . Je traversai lasalle à manger pièce et me
dirigeai vers lagrande baie vitrée, regardant un instantà travers la grande la terrasse déserte
où à côtéquelques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret
de pierres, avant de faire doucement coulisser <d3>la paroi de la baie vitrée
[d3]sur elle-même pour me glisser dehors.
Quelques rayons de lumière entraient dans la pièce à travers les vitres de
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Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante, et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrières lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.Arrivé
au bas escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus que
la porte principale de l'hôtel était verrouilléepour la nuit, je passai
par la réception, remarquant au passage que laporte de la chambre des
patrons était entrouverte, et je m'introduisis sans bruit dans la salle
à manger de l'hôtel, qui était toute baignéed'une clarté lunairequi
laissait sur le sol une mare blanche et allongée de lumière, tandis que
derrière les vitres de la grande baie vitrée, quelques tamaris très sombres
se dessinaient dans l'ombresur la terrasse. Le couvert du petit-déjeuner
était déjà dressé dans la pièce, les nappes mises dans la pénombreve-
loutée de la lumière lunaire, et, sur chaque table, à côté du profil découpé
des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée une
petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes
de confiture.Dans l'obscurité de la piècetrès sombre et toute baignée de clarté lunaire, où seules ressortaientdans la pénombre les lumières bleutées d'un aquarium encastré dans le mur où quelques poissons de roche évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Je traversai lasalle à manger et me
dirigeai vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte
où quelques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret
de pierres, avant de faire doucement coulisser la paroi de la baie vitrée
sur elle-même pour me glisser dehors.
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[d1]Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante,<d1> et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrières lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.Ce n'était pas la première fois que je sortais de l'hôtel pendant la nuit.Arrivé
au bas escaliers, comme je savaisn'ignorais pas pour avoir déjà buté dessus que?
? la porte principale de l'hôtel était verrouilléepour pendant la nuitpour m'y être déjà heurté auparavant,, je passai
par la réception, remarquant au passage que laporte de la chambre des
patrons était entrouverte, et| jJe m'introduisis sans bruit? dans la salle
à manger de l'hôtel,<d2> qui était toute baignéed'une de d'une clarté lunairequi qui
laissait sur le sol une mare blanche et allongée de lumière, tandis que
derrière à travers entrait dans la pièce pour les vitres de la grande baie vitréequi donnait sur la terrasse,, quelques tamaris très sombres
se dessinaient dans l'ombresur la terrasse. Le couvert du petit-déjeuner
était déjà dressé dans la piècesalle à manger, les nappes mises dans la pénombreve- blanchâtre
loutée de la lumière lunairequi enveloppait la pièce, et, sur chaque table, à côté du profilparfaitement découpé
des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée une
petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes
de confiture.[d2]Dans l'obscurité de la piècetrès sombre et toute baignée de clarté lunaire, où seules ressortaientdans la pénombre les lumières
bleutées d'un aquarium encastré dans le mur où quelques poissons de roche
évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches
miniatures et de mousses marines. La grande baie vitrée de la salle à manger, qui donnaitderrière laquelle sur une terrasse où quelques des tamaris très sombres se devinaient dans l'ombrede la terrasse . Je traversai lasalle à manger pièce et me
dirigeai vers lagrande baie vitrée, regardant un instantà travers la grande la terrasse déserte
où à côtéquelques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret
de pierres, avant de faire doucement coulisser <d3>la paroi de la baie vitrée
[d3]sur elle-même pour me glisser dehors.
Quelques rayons de lumière entraient dans la pièce à travers les vitres de
I. 218
Je me relevai peu après minuit, la nuit suivante, et m'habillai sans
bruit dans la pénombre de la chambre, prenant un par un mes vêtements
sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils
qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai
dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
closes derrières lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.Arrivé
au bas escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus que
la porte principale de l'hôtel était verrouilléepour la nuit, je passai
par la réception, remarquant au passage que laporte de la chambre des
patrons était entrouverte, et je m'introduisis sans bruit dans la salle
à manger de l'hôtel, qui était toute baignéed'une clarté lunairequi
laissait sur le sol une mare blanche et allongée de lumière, tandis que
derrière les vitres de la grande baie vitrée, quelques tamaris très sombres
se dessinaient dans l'ombresur la terrasse. Le couvert du petit-déjeuner
était déjà dressé dans la pièce, les nappes mises dans la pénombreve-
loutée de la lumière lunaire, et, sur chaque table, à côté du profil découpé
des tasses blanches retournées dans les soucoupes, était disposée une
petite corbeille en osier remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes
de confiture.Dans l'obscurité de la piècetrès sombre et toute baignée de clarté lunaire, où seules ressortaientdans la pénombre les lumières bleutées d'un aquarium encastré dans le mur où quelques poissons de roche évoluaient dans un décor sous-marin composé de massifs escarpés de roches miniatures et de mousses marines. Je traversai lasalle à manger et me
dirigeai vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte
où quelques chaises longues repliées reposaient par terre contre un muret
de pierres, avant de faire doucement coulisser la paroi de la baie vitrée
sur elle-même pour me glisser dehors.