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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00220
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I. 220

Je me relevais                                                      

 Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre 

d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la de clarté lunaire qui pénétrait 

dans la pièce par la fenêtre et formait comme une mare blanche au pied de mon 

lit, je me relevais  t m'habillai sans bruitlentement  sans bruit dans la'profonde  obscurité de la chambre d'hôtel,dont les volets étaient fermés  dans le noir, prenant un parun

mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus que la porte principale de

l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la

porte close de la chambre des patronsde l'hôtel  et m'introduisis dans

la salle à mangerde l'hôtel qui était toute baignée d'obscurité| 

et dont  la baie vitrée qui donnait sur une terrasse et à travers laquelle quelques tamaris se devinaient dans l'ombre  

I. 220

                                                      

 Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre 

d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la  clarté lunaire qui pénétrait 

dans la pièce par la fenêtre  formait comme une mare blanche au pied de mon 

lit, je me relevai  t m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un parun

mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais  que la porte principale de

l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la

porte close de la chambre des patronsde l'hôtel  et m'introduisis dans

la salle à manger toute baignée d'obscurité 

 

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I. 220

Je me relevais                                                      

 Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre 

d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la de clarté lunaire qui pénétrait 

dans la pièce par la fenêtre et formait comme une mare blanche au pied de mon 

lit, je me relevais  t m'habillai sans bruitlentement  sans bruit dans la'profonde  obscurité de la chambre d'hôtel,dont les volets étaient fermés  dans le noir, prenant un parun

mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais pour avoir déjà buté dessus que la porte principale de

l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la

porte close de la chambre des patronsde l'hôtel  et m'introduisis dans

la salle à mangerde l'hôtel qui était toute baignée d'obscurité| 

et dont  la baie vitrée qui donnait sur une terrasse et à travers laquelle quelques tamaris se devinaient dans l'ombre  

I. 220

                                                      

 Peu après minuit, la nuit suivante,tandis que les volets de la chambre 

d'hôtel n'étaient pas fermés et qu'un peu de la  clarté lunaire qui pénétrait 

dans la pièce par la fenêtre  formait comme une mare blanche au pied de mon 

lit, je me relevai  t m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un parun

mes vêtements sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiler

mon fils qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes closes derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

Arrivé au bas des escaliers, comme je savais  que la porte principale de

l'hôtel était verrouillé pour la nuit, je passai sans bruit devant la

porte close de la chambre des patronsde l'hôtel  et m'introduisis dans

la salle à manger toute baignée d'obscurité 

 

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