• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00245
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 245

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans le port,

qui continuait de dériver infiniment lentement entre les barques. Il avait

dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans le même périmètre

réduit, butant mollement contre la paroi d'une coque et répartant à la

dérive entre les barques sanspourtant que jamaispourtant   s'éloigner que  le courant ne l'emportâtvers le large.

So séjour prolongé dans l'eau ne semblait pas avoir tellement altéré

son état, etle poil  ??? une partie de son dos émergeait hors de l'eau, le poil noir et mouillé luisant sous de son dos luisait hors de l'eau, 

 ???  près  noir et mouilléluisait hors de l'eau, sous les premiers ???  rayons du soleil. Son corps,[d1]à première
vue
, ne présentaitencore aucun pas encore de dommage<d1>, il n'y avait ni trace de lésion,

ni blessure apparente, seule la peau de son oreille droite était maintenant

à vif ouvertesur quelques centimètres,qui laissant à vif une petite surface comme

saignée à blanc, la fourure vraisemblablement mise en pièces par de

crabes.

ouverte tailladée  sur quelques centimètres, la fourure vraisemblablement mise

en pièce par des crabes, et laissait à vif une petite surface blanche

et pâle, comme, comme vidée deson  sang. Ce qui me frappa, pourtant, en le

regardant de plus près,

I. 245

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans le port,

qui continuait de dériver infiniment lentement entre les barques. Il avait

dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans le même périmètre

réduit, butant mollement contre la paroi d'une coque et répartant à la

dérive entre les barques sanspourtant  jamais   s'éloigner vers le large.

So séjour prolongé dans l'eau ne semblait pas avoir tellement altéré

son état, etle poil    de son dos luisait hors de l'eau, 

 noir et mouillé, sous les premiers   rayons du soleil. Son corps,à première vue, ne présentaitencore aucun  dommage, il n'y avait ni trace de lésion,

ni blessure apparente, seule la peau de son oreille droite était maintenant

à vif sur quelques centimètres, laissant à vif une petite surface comme

saignée à blanc, la fourure vraisemblablement mise en pièces par de

crabes.

ouverte   sur quelques centimètres, la fourure vraisemblablement mise

en pièce par des crabes, et laissait à vif une petite surface blanche

et pâle, comme vidée deson  sang. Ce qui me frappa, pourtant, en le

regardant de plus près,

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 245

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans le port,

qui continuait de dériver infiniment lentement entre les barques. Il avait

dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans le même périmètre

réduit, butant mollement contre la paroi d'une coque et répartant à la

dérive entre les barques sanspourtant que jamaispourtant   s'éloigner que  le courant ne l'emportâtvers le large.

So séjour prolongé dans l'eau ne semblait pas avoir tellement altéré

son état, etle poil  ??? une partie de son dos émergeait hors de l'eau, le poil noir et mouillé luisant sous de son dos luisait hors de l'eau, 

 ???  près  noir et mouilléluisait hors de l'eau, sous les premiers ???  rayons du soleil. Son corps,[d1]à première
vue
, ne présentaitencore aucun pas encore de dommage<d1>, il n'y avait ni trace de lésion,

ni blessure apparente, seule la peau de son oreille droite était maintenant

à vif ouvertesur quelques centimètres,qui laissant à vif une petite surface comme

saignée à blanc, la fourure vraisemblablement mise en pièces par de

crabes.

ouverte tailladée  sur quelques centimètres, la fourure vraisemblablement mise

en pièce par des crabes, et laissait à vif une petite surface blanche

et pâle, comme, comme vidée deson  sang. Ce qui me frappa, pourtant, en le

regardant de plus près,

I. 245

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans le port,

qui continuait de dériver infiniment lentement entre les barques. Il avait

dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans le même périmètre

réduit, butant mollement contre la paroi d'une coque et répartant à la

dérive entre les barques sanspourtant  jamais   s'éloigner vers le large.

So séjour prolongé dans l'eau ne semblait pas avoir tellement altéré

son état, etle poil    de son dos luisait hors de l'eau, 

 noir et mouillé, sous les premiers   rayons du soleil. Son corps,à première vue, ne présentaitencore aucun  dommage, il n'y avait ni trace de lésion,

ni blessure apparente, seule la peau de son oreille droite était maintenant

à vif sur quelques centimètres, laissant à vif une petite surface comme

saignée à blanc, la fourure vraisemblablement mise en pièces par de

crabes.

ouverte   sur quelques centimètres, la fourure vraisemblablement mise

en pièce par des crabes, et laissait à vif une petite surface blanche

et pâle, comme vidée deson  sang. Ce qui me frappa, pourtant, en le

regardant de plus près,

Mentions légales - Crédits - Code source