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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00246
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  • Tapuscrit

I. 246

 Le lendemain matin,au lever du jour,  le chat était toujours à la

même place dans le port. , Il quicontinuait de dériver lentement???   entre les

barques, le poil noir et luisant de son dos dépassant hors de l'eau .

Il avait dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans

le même périmètre réduit, butant mollement contreune la???  d'une  coque et répartant

à la dérive entre les barques sanspourtant  jamais s'éloigner vers le large.

Nullement altéré par  son séjour prolongéet son séjour prolongé dans l'eau ne semblait pasavoir l'avoir tellement altéré son état, son et le poil dequi  luisait, noir et mouillé, sur la partie qui émergeait de l'eau sur ???  qui émergeait hors de l'eau  dans l'eau,le Son corps ne

présentait encoreen apparence  aucun dommagemanifeste, il n'y avait

ni traced'un quelconque début de décomposition de lésion, nilésion visible blessure apparente,

seule la peau de son oreille droite était maintenantentièrement  à

vif,comme saignée à blanc  sur quelques centimètres, la fourure vrai-

semblablement mise en pièces par des crabes. Ce qui me frappa, pourtant,

en le regardant de plus près, c'est que la tête de poisson et le fragment

de fil de pêche qui pendaient la veille hors de sa gueule avaient

disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans le

port pour la faire disparaître.

I. 246

 Le lendemain matin,au lever du jour,  le chat était toujours à la

même place dans le port.  Il continuait de dériver lentement   entre les

barques, le poil noir et luisant de son dos dépassant hors de l'eau .

Il avait dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans

le même périmètre réduit, butant mollement contreune   coque et répartant

à la dérive entre les barques sans  jamais s'éloigner vers le large.

Nullement altéré par  son séjour prolongé  dans l'eau,le  corps ne

présentait encoreen apparence  aucun dommagemanifeste, il n'y avait

ni traced'un quelconque début de décomposition , nilésion visible ,

seule la peau de son oreille droite était maintenantentièrement  à

vif,comme saignée à blanc  sur quelques centimètres, la fourure vrai-

semblablement mise en pièces par des crabes. Ce qui me frappa, pourtant,

en le regardant de plus près, c'est que la tête de poisson et le fragment

de fil de pêche qui pendaient la veille hors de sa gueule avaient

disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans le

port pour la faire disparaître.

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I. 246

 Le lendemain matin,au lever du jour,  le chat était toujours à la

même place dans le port. , Il quicontinuait de dériver lentement???   entre les

barques, le poil noir et luisant de son dos dépassant hors de l'eau .

Il avait dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans

le même périmètre réduit, butant mollement contreune la???  d'une  coque et répartant

à la dérive entre les barques sanspourtant  jamais s'éloigner vers le large.

Nullement altéré par  son séjour prolongéet son séjour prolongé dans l'eau ne semblait pasavoir l'avoir tellement altéré son état, son et le poil dequi  luisait, noir et mouillé, sur la partie qui émergeait de l'eau sur ???  qui émergeait hors de l'eau  dans l'eau,le Son corps ne

présentait encoreen apparence  aucun dommagemanifeste, il n'y avait

ni traced'un quelconque début de décomposition de lésion, nilésion visible blessure apparente,

seule la peau de son oreille droite était maintenantentièrement  à

vif,comme saignée à blanc  sur quelques centimètres, la fourure vrai-

semblablement mise en pièces par des crabes. Ce qui me frappa, pourtant,

en le regardant de plus près, c'est que la tête de poisson et le fragment

de fil de pêche qui pendaient la veille hors de sa gueule avaient

disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans le

port pour la faire disparaître.

I. 246

 Le lendemain matin,au lever du jour,  le chat était toujours à la

même place dans le port.  Il continuait de dériver lentement   entre les

barques, le poil noir et luisant de son dos dépassant hors de l'eau .

Il avait dû aller et venir ainsi plusieurs fois pendant la nuit dans

le même périmètre réduit, butant mollement contreune   coque et répartant

à la dérive entre les barques sans  jamais s'éloigner vers le large.

Nullement altéré par  son séjour prolongé  dans l'eau,le  corps ne

présentait encoreen apparence  aucun dommagemanifeste, il n'y avait

ni traced'un quelconque début de décomposition , nilésion visible ,

seule la peau de son oreille droite était maintenantentièrement  à

vif,comme saignée à blanc  sur quelques centimètres, la fourure vrai-

semblablement mise en pièces par des crabes. Ce qui me frappa, pourtant,

en le regardant de plus près, c'est que la tête de poisson et le fragment

de fil de pêche qui pendaient la veille hors de sa gueule avaient

disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans le

port pour la faire disparaître.

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