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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00248
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  • Tapuscrit

I. 248

                                                                                     [traits aléatoires] 

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans

le port, il flottait immobile à la surface, le corps lourdement

incliné vers le fond, les oreilles et une partie du dos émergeant

hors de l'eau. Il avait amorcé un très léger mouvement de rotation

pendant la nuit, et continuait de dériver lentement entre les

barquessans s'éloigner vers le large. le poil noir et luisant sous le soleil.. Son corps ne présentaitencore pratiquement  aucun dommage visible,

il n'y avaitni pas  trace ded'un quelconque début de décomposition ou de putréfaction lésion, ni blessure apparente, seule

la peau de son oreille droite était maintenant à vifcomme soigneusement à ???  sur quelques

centimètres, la fourure vraisemblablement mise en pièces par

des crabes. Ce qui me frappa, pourtant, en le regardant de plus

près, c'est que la tête de poisson qui pendaitla veille hors de sa gueule

avait disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était

rendu dans le port pour le faire disparaître.

A la nuit tombée, je me rendis dans le port. 

son séjour prolongé dansl'eau  les eaux du port nel'avait pas encore altéré l'état du cadavre, et il n'y avait pas trace d'un début de putréfaction,???  de décomposition. 

I. 248

                                                                                      

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans

le port, il flottait immobile à la surface, le corps lourdement

incliné vers le fond, les oreilles et une partie du dos émergeant

hors de l'eau. Il avait amorcé un très léger mouvement de rotation

pendant la nuit, et continuait de dériver lentement entre les

barques. Son corps ne présentaitencore   aucun dommage visible,

il n'y avaitni   trace de lésion, ni blessure apparente, seule

la peau de son oreille droite était maintenant à vifsur quelques

centimètres, la fourure vraisemblablement mise en pièces par

des crabes. Ce qui me frappa, pourtant, en le regardant de plus

près, c'est que la tête de poisson qui pendait hors de sa gueule

avait disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était

rendu dans le port pour le faire disparaître.

 

 

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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 248

                                                                                     [traits aléatoires] 

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans

le port, il flottait immobile à la surface, le corps lourdement

incliné vers le fond, les oreilles et une partie du dos émergeant

hors de l'eau. Il avait amorcé un très léger mouvement de rotation

pendant la nuit, et continuait de dériver lentement entre les

barquessans s'éloigner vers le large. le poil noir et luisant sous le soleil.. Son corps ne présentaitencore pratiquement  aucun dommage visible,

il n'y avaitni pas  trace ded'un quelconque début de décomposition ou de putréfaction lésion, ni blessure apparente, seule

la peau de son oreille droite était maintenant à vifcomme soigneusement à ???  sur quelques

centimètres, la fourure vraisemblablement mise en pièces par

des crabes. Ce qui me frappa, pourtant, en le regardant de plus

près, c'est que la tête de poisson qui pendaitla veille hors de sa gueule

avait disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était

rendu dans le port pour le faire disparaître.

A la nuit tombée, je me rendis dans le port. 

son séjour prolongé dansl'eau  les eaux du port nel'avait pas encore altéré l'état du cadavre, et il n'y avait pas trace d'un début de putréfaction,???  de décomposition. 

I. 248

                                                                                      

 Le lendemain, le chat était toujours à la même place dans

le port, il flottait immobile à la surface, le corps lourdement

incliné vers le fond, les oreilles et une partie du dos émergeant

hors de l'eau. Il avait amorcé un très léger mouvement de rotation

pendant la nuit, et continuait de dériver lentement entre les

barques. Son corps ne présentaitencore   aucun dommage visible,

il n'y avaitni   trace de lésion, ni blessure apparente, seule

la peau de son oreille droite était maintenant à vifsur quelques

centimètres, la fourure vraisemblablement mise en pièces par

des crabes. Ce qui me frappa, pourtant, en le regardant de plus

près, c'est que la tête de poisson qui pendait hors de sa gueule

avait disparu. Comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était

rendu dans le port pour le faire disparaître.

 

 

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