I. 279
[trait vague]
Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la
flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la
direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuse et
déserte, où quelques barques ancrées dans l'obscurité tanguaient im-
perceptiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de
clapotement très doux et de grincement de cordes. Je m'assis contre le
muret à côté d'un amas de filets de pêches enchevêtrés dont les fines
mailles rioses recelaient encore quelques infimes fragments de poissons
décomposés, et j'attendislàdans la pénombreque le jour se lève. Je ne faisais rien, j'étais
assis sur la jetée, immobile, etje regardais le jour se levaiter peu à peu devant
moi. La lune, encore??? dans le ciel ??? bleu clair n'éclairait déjà plus la mer dont la surface très sombre
frémissait à peine. Peu à peu, à mesure que le soleil qui éclairait déjà
le versant opposé de la montagne, laissant dans l'ombre la baie de
Sasuelo, s'élevait
Peu à peu, à mesure que le soleilse s'élevait derrière la montagne,
éclairant déjà son versant opposé tout en laissant dans l'ombre la baie
de Sasuelo,
??? . La baie de Sasuelo était encore dans l'ombre, et lasurface de la mer, très sombre, frémissait à peine
Peu à peu, à mesure que le soleils'élevait derrière qui éclairait déjà que l'on éclairant déjà le versant opposé situé plus à l'ouest est, devinait au loin derrière le versant opposé
de la montagnequ'il éclairait déjà s'élevait dans le ciel, tout en laissantencore encore dans l'ombre la bai
de sasuelo,et le mer dont la surface très sombre qui frémissait à peine, à mesure coques des les barques du port et la surface des quais les barques et les rochers prenaient des teintes roses et
orangées qui gagnaient continûment en densité tandis que les contoursdes ??? fleurs, des quais et des rochers quais et des rochers, des rochers et des fleurs,et??? qui,
des maisons du village devenaientmême, au loin,plus fermes et plus précis et sortaien
lentmeet de l'indécision e la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en une
seconde irréversible, le soleil passa la mùontagne et inonda la baie de
la lumière du jour.
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Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la
flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la
direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuse et
déserte, où quelques barques ancrées dans l'obscurité tanguaient im-
perceptiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de
clapotement très doux et de grincement de cordes. Je m'assis contre le
muret à côté d'un amas de filets de pêches enchevêtrés dont les fines
mailles rioses recelaient encore quelques infimes fragments de poissons
décomposés, et j'attendisdans la pénombre. Je ne faisais rien, j'étais
assis sur la jetée, immobile, et le jour se levait peu à peu devant
moi. La lune n'éclairait déjà plus la mer dont la surface très sombre
frémissait à peine. Peu à peu, à mesure que le soleil qui éclairait déjà
le versant opposé de la montagne, laissant dans l'ombre la baie de
Sasuelo, s'élevait
Peu à peu, à mesure que le soleilse s'élevait derrière la montagne,
éclairant déjà son versant opposé tout en laissant dans l'ombre la baie
de Sasuelo,
Peu à peu, à mesure que le soleils'élevait derrière le versant opposé
de la montagnequ'il éclairait déjà tout en laissant dans l'ombre la bai
de sasuelo, les barques et les rochers prenaient des teintes roses et
orangées qui gagnaient continûment en densité tandis que les contours
des maisons du village devenaientplus fermes et plus précis et sortaien
lentmeet de l'indécision e la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en une
seconde irréversible, le soleil passa la mùontagne et inonda la baie de
la lumière du jour.
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[trait vague]
Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la
flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la
direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuse et
déserte, où quelques barques ancrées dans l'obscurité tanguaient im-
perceptiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de
clapotement très doux et de grincement de cordes. Je m'assis contre le
muret à côté d'un amas de filets de pêches enchevêtrés dont les fines
mailles rioses recelaient encore quelques infimes fragments de poissons
décomposés, et j'attendislàdans la pénombreque le jour se lève. Je ne faisais rien, j'étais
assis sur la jetée, immobile, etje regardais le jour se levaiter peu à peu devant
moi. La lune, encore??? dans le ciel ??? bleu clair n'éclairait déjà plus la mer dont la surface très sombre
frémissait à peine. Peu à peu, à mesure que le soleil qui éclairait déjà
le versant opposé de la montagne, laissant dans l'ombre la baie de
Sasuelo, s'élevait
Peu à peu, à mesure que le soleilse s'élevait derrière la montagne,
éclairant déjà son versant opposé tout en laissant dans l'ombre la baie
de Sasuelo,
??? . La baie de Sasuelo était encore dans l'ombre, et lasurface de la mer, très sombre, frémissait à peine
Peu à peu, à mesure que le soleils'élevait derrière qui éclairait déjà que l'on éclairant déjà le versant opposé situé plus à l'ouest est, devinait au loin derrière le versant opposé
de la montagnequ'il éclairait déjà s'élevait dans le ciel, tout en laissantencore encore dans l'ombre la bai
de sasuelo,et le mer dont la surface très sombre qui frémissait à peine, à mesure coques des les barques du port et la surface des quais les barques et les rochers prenaient des teintes roses et
orangées qui gagnaient continûment en densité tandis que les contoursdes ??? fleurs, des quais et des rochers quais et des rochers, des rochers et des fleurs,et??? qui,
des maisons du village devenaientmême, au loin,plus fermes et plus précis et sortaien
lentmeet de l'indécision e la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en une
seconde irréversible, le soleil passa la mùontagne et inonda la baie de
la lumière du jour.
I. 279
Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la
flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la
direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuse et
déserte, où quelques barques ancrées dans l'obscurité tanguaient im-
perceptiblement le long de leurs amarres dans un bruit régulier de
clapotement très doux et de grincement de cordes. Je m'assis contre le
muret à côté d'un amas de filets de pêches enchevêtrés dont les fines
mailles rioses recelaient encore quelques infimes fragments de poissons
décomposés, et j'attendisdans la pénombre. Je ne faisais rien, j'étais
assis sur la jetée, immobile, et le jour se levait peu à peu devant
moi. La lune n'éclairait déjà plus la mer dont la surface très sombre
frémissait à peine. Peu à peu, à mesure que le soleil qui éclairait déjà
le versant opposé de la montagne, laissant dans l'ombre la baie de
Sasuelo, s'élevait
Peu à peu, à mesure que le soleilse s'élevait derrière la montagne,
éclairant déjà son versant opposé tout en laissant dans l'ombre la baie
de Sasuelo,
Peu à peu, à mesure que le soleils'élevait derrière le versant opposé
de la montagnequ'il éclairait déjà tout en laissant dans l'ombre la bai
de sasuelo, les barques et les rochers prenaient des teintes roses et
orangées qui gagnaient continûment en densité tandis que les contours
des maisons du village devenaientplus fermes et plus précis et sortaien
lentmeet de l'indécision e la nuit jusqu'à ce que tout à coup, en une
seconde irréversible, le soleil passa la mùontagne et inonda la baie de
la lumière du jour.