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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00278
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 278

 Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la

flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la

direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuses et

déserte, où quelques barques tanguaient imperceptiblement le long de

leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de

grincement de cordes. Je m'assis contre le muret à côté d'un amas de

filets de pêche enchevêtrés dont les fines mailles roses recelaient

encore quelques infimes fragments de poisson décomposés, et j'attendis

là dans la pénombre que le jour se lève. Je ne faisais rien, j'étais

assis sur la jetée, immobile, et je regadais le jour se lever sur la

baie de Sasuelo. La mer était très sombre, qui frémissait à peineau loin, et,

peu à peu, à mesure que le soleil s'élevait de l'autre côté de la montagne,

éclairant déjàle son versantopposé situé plus à l'est est derrière lequel on devinait une???  halo de clarté, plus vive,, les barques du

port qui demeuraientencore dans l'ombrebalancées lentement par le courant 

prenaient des teintes roses et orangéesqui gagnaient continûment en qui gagnaient sous mes yeux en densité 

densité  tandis que les contours des quaiset des rochers, tout autour,des fleurs  et des rochers, des filets de pêche etde la jetée  et des rochers,  des arbres

et des fleurs et, des maisonset des voitures de la place  du village???  , qui se profilait au loin, 

      , devenaientplus fermes et plus de plus en plus  précis et sortaient lentement de

l'indécisiondans la quelle les de la nuit  avait tenus la nuit ???    jusqu'à ce que tout

à coup, en une seconde irréversible, le soleil passait latête de  montagne

epour  inonder la baie de la lumière du jour.

se devinait???   unprofond  halolocal  de clartéprofond et très localisée sur la??? qui???  les ???  du versant opposé

soulignait la quis'arrêtait à la crète du sommet, 

quisoulignait  qui???   ??? la crète de la montagne. les???  de la crète, du versant opposé jusqu'à la tout au  le long de la crête peléede la montagne  du sommet 

I. 278

 Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la

flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la

direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuses et

déserte, où quelques barques tanguaient imperceptiblement le long de

leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de

grincement de cordes. Je m'assis contre le muret à côté d'un amas de

filets de pêche enchevêtrés dont les fines mailles roses recelaient

encore quelques infimes fragments de poisson décomposés, et j'attendis

là dans la pénombre que le jour se lève. Je ne faisais rien, j'étais

assis sur la jetée, immobile, et je regadais le jour se lever sur la

baie de Sasuelo. La mer était très sombre, qui frémissait à peine, et,

peu à peu, à mesure que le soleil s'élevait de l'autre côté de la montagne,

éclairant déjàle  versantopposé situé plus à l'est , les barques du

port qui demeuraient dans l'ombrebalancées lentement par le courant 

prenaient des teintes roses et orangéesqui gagnaient continûment en  

densité  tandis que les contours des quaiset des rochers,  des arbres

et des fleurs , des maisonset des voitures de la place  du village 

      , devenaientplus fermes et plus  précis et sortaient lentement de

l'indécisiondans la quelle les   avait tenus la nuit    jusqu'à ce que tout

à coup, en une seconde irréversible, le soleil passait la  montagne

pour  inonder la baie de la lumière du jour.

 

 

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I. 278

 Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la

flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la

direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuses et

déserte, où quelques barques tanguaient imperceptiblement le long de

leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de

grincement de cordes. Je m'assis contre le muret à côté d'un amas de

filets de pêche enchevêtrés dont les fines mailles roses recelaient

encore quelques infimes fragments de poisson décomposés, et j'attendis

là dans la pénombre que le jour se lève. Je ne faisais rien, j'étais

assis sur la jetée, immobile, et je regadais le jour se lever sur la

baie de Sasuelo. La mer était très sombre, qui frémissait à peineau loin, et,

peu à peu, à mesure que le soleil s'élevait de l'autre côté de la montagne,

éclairant déjàle son versantopposé situé plus à l'est est derrière lequel on devinait une???  halo de clarté, plus vive,, les barques du

port qui demeuraientencore dans l'ombrebalancées lentement par le courant 

prenaient des teintes roses et orangéesqui gagnaient continûment en qui gagnaient sous mes yeux en densité 

densité  tandis que les contours des quaiset des rochers, tout autour,des fleurs  et des rochers, des filets de pêche etde la jetée  et des rochers,  des arbres

et des fleurs et, des maisonset des voitures de la place  du village???  , qui se profilait au loin, 

      , devenaientplus fermes et plus de plus en plus  précis et sortaient lentement de

l'indécisiondans la quelle les de la nuit  avait tenus la nuit ???    jusqu'à ce que tout

à coup, en une seconde irréversible, le soleil passait latête de  montagne

epour  inonder la baie de la lumière du jour.

se devinait???   unprofond  halolocal  de clartéprofond et très localisée sur la??? qui???  les ???  du versant opposé

soulignait la quis'arrêtait à la crète du sommet, 

quisoulignait  qui???   ??? la crète de la montagne. les???  de la crète, du versant opposé jusqu'à la tout au  le long de la crête peléede la montagne  du sommet 

I. 278

 Je m'éloignai lentement, laissant derrière moi sur la place la

flaque d'eau qui reflétait mon absence inexplicable, et je pris la

direction du port, longeai la petite jetée de pierres silencieuses et

déserte, où quelques barques tanguaient imperceptiblement le long de

leurs amarres dans un bruit régulier de clapotement très doux et de

grincement de cordes. Je m'assis contre le muret à côté d'un amas de

filets de pêche enchevêtrés dont les fines mailles roses recelaient

encore quelques infimes fragments de poisson décomposés, et j'attendis

là dans la pénombre que le jour se lève. Je ne faisais rien, j'étais

assis sur la jetée, immobile, et je regadais le jour se lever sur la

baie de Sasuelo. La mer était très sombre, qui frémissait à peine, et,

peu à peu, à mesure que le soleil s'élevait de l'autre côté de la montagne,

éclairant déjàle  versantopposé situé plus à l'est , les barques du

port qui demeuraient dans l'ombrebalancées lentement par le courant 

prenaient des teintes roses et orangéesqui gagnaient continûment en  

densité  tandis que les contours des quaiset des rochers,  des arbres

et des fleurs , des maisonset des voitures de la place  du village 

      , devenaientplus fermes et plus  précis et sortaient lentement de

l'indécisiondans la quelle les   avait tenus la nuit    jusqu'à ce que tout

à coup, en une seconde irréversible, le soleil passait la  montagne

pour  inonder la baie de la lumière du jour.

 

 

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