I. 295
Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que
les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermée
derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Je descendis
les escaliersen appuyant le moins possible mes semelles sur les en appuyant le moins possible des semelles sur les marches qui???
marches et, arrivéà la dans le hall de réceptionde l'hôtel, très sombre, où le les clous du petit tableau des clefs fixé au mur se découpait dans l'obscurité,,hésitant un instant, jecontournai
passai derrière le comptoir et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai
sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux., que Je le posai
sur le comptoir, pour le feuilleteret j'ouvris entre mes mains en me rendisant immédiatement aux
dernières pages. Comme je le pensais, car je me souvenais très bien
que,si le patron de l'hôtel m'avait demandé mon passeport en arrivant,
il l le patron de l'hôtel'avait à peine ouvertmon passeport et me l'avait rendu tout de suite, ni mon
nom ni celui de mon fils n'avaient été enregistré.et il n'y avait aucune trace de mon passage à Sasuelo
mon nom n'avait pas été enregistré--- eten conséquence aucune trace ??? de mon passage
à Sasuelo n'existait à ma connaissance.
en conséquence
Je remis le registre à sa place
à clé et remis lorsque je voulus remettrre le petit ballot métallique. Je ne forçai pas.
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Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que
les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermée
derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Je descendis
les escaliersen appuyant le moins possible mes semelles sur les
marches et, arrivéà la réception,hésitant un instant, jecontournai
le comptoir et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai
sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux. Je le posai
sur le comptoir pour le feuilleteret me rendis immédiatement aux
dernières pages. Comme je le pensais, car je me souvenais très bien
quesi le patron de l'hôtel m'avait demandé mon passeport en arrivant,
il l 'avait à peine ouvert et me l'avait rendu tout de suite, ni mon
nom ni celui de mon fils n'avaient été enregistré.
mon nom n'avait pas été enregistré etaucune trace de mon passage
à Sasuelo n'existait à ma connaissance.
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Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que
les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermée
derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Je descendis
les escaliersen appuyant le moins possible mes semelles sur les en appuyant le moins possible des semelles sur les marches qui???
marches et, arrivéà la dans le hall de réceptionde l'hôtel, très sombre, où le les clous du petit tableau des clefs fixé au mur se découpait dans l'obscurité,,hésitant un instant, jecontournai
passai derrière le comptoir et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai
sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux., que Je le posai
sur le comptoir, pour le feuilleteret j'ouvris entre mes mains en me rendisant immédiatement aux
dernières pages. Comme je le pensais, car je me souvenais très bien
que,si le patron de l'hôtel m'avait demandé mon passeport en arrivant,
il l le patron de l'hôtel'avait à peine ouvertmon passeport et me l'avait rendu tout de suite, ni mon
nom ni celui de mon fils n'avaient été enregistré.et il n'y avait aucune trace de mon passage à Sasuelo
mon nom n'avait pas été enregistré--- eten conséquence aucune trace ??? de mon passage
à Sasuelo n'existait à ma connaissance.
en conséquence
Je remis le registre à sa place
à clé et remis lorsque je voulus remettrre le petit ballot métallique. Je ne forçai pas.
I. 295
Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis que
les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes fermée
derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Je descendis
les escaliersen appuyant le moins possible mes semelles sur les
marches et, arrivéà la réception,hésitant un instant, jecontournai
le comptoir et me mis à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai
sur une étagère, un grand registre en cuir noir granuleux. Je le posai
sur le comptoir pour le feuilleteret me rendis immédiatement aux
dernières pages. Comme je le pensais, car je me souvenais très bien
quesi le patron de l'hôtel m'avait demandé mon passeport en arrivant,
il l 'avait à peine ouvert et me l'avait rendu tout de suite, ni mon
nom ni celui de mon fils n'avaient été enregistré.
mon nom n'avait pas été enregistré etaucune trace de mon passage
à Sasuelo n'existait à ma connaissance.