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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00296
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 296

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenat un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveillér mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sans faire de bruit, et descedis à la réception.

Le rea de chaussée de l'hôtel était sombre et silencieux, qieuelques

tableaux accrochés au mur se découpaient dans l'obscurité. Un petit

canapé noir, presque affaissé, était disposé contre le murde la réceptionque recouvrait

unle même  tissuvieilli ???  identique à celui  qui servait dans les chambres, orange et côtelé, ré-

parti par bandes verticales plus ou moins bien assemblées. Quelques

magazines reposaient sur une table basse, et derrière le comptoir en

bois sombrede la réception, le petit tableau des clefsfixé au murse découpait

dans l'obscurité. Je passai sas bruit derrière le comptoir et me mis

à chercher le registre de l'hôtel

I. 296

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenat un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveillér mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sans faire de bruit, et descedis à la réception.

Le rea de chaussée de l'hôtel était sombre et silencieux, qieuelques

tableaux accrochés au mur se découpaient dans l'obscurité. Un petit

canapé noir, presque affaissé, était disposé contre le murque recouvrait

le même  tissuvieilli   qui servait dans les chambres, orange et côtelé, ré-

parti par bandes verticales plus ou moins bien assemblées. Quelques

magazines reposaient sur une table basse, et derrière le comptoir en

bois sombrede la réception, le petit tableau des clefsse découpait

dans l'obscurité. Je passai sas bruit derrière le comptoir et me mis

à chercher le registre de l'hôtel

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I. 296

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenat un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveillér mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sans faire de bruit, et descedis à la réception.

Le rea de chaussée de l'hôtel était sombre et silencieux, qieuelques

tableaux accrochés au mur se découpaient dans l'obscurité. Un petit

canapé noir, presque affaissé, était disposé contre le murde la réceptionque recouvrait

unle même  tissuvieilli ???  identique à celui  qui servait dans les chambres, orange et côtelé, ré-

parti par bandes verticales plus ou moins bien assemblées. Quelques

magazines reposaient sur une table basse, et derrière le comptoir en

bois sombrede la réception, le petit tableau des clefsfixé au murse découpait

dans l'obscurité. Je passai sas bruit derrière le comptoir et me mis

à chercher le registre de l'hôtel

I. 296

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenat un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveillér mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sans faire de bruit, et descedis à la réception.

Le rea de chaussée de l'hôtel était sombre et silencieux, qieuelques

tableaux accrochés au mur se découpaient dans l'obscurité. Un petit

canapé noir, presque affaissé, était disposé contre le murque recouvrait

le même  tissuvieilli   qui servait dans les chambres, orange et côtelé, ré-

parti par bandes verticales plus ou moins bien assemblées. Quelques

magazines reposaient sur une table basse, et derrière le comptoir en

bois sombrede la réception, le petit tableau des clefsse découpait

dans l'obscurité. Je passai sas bruit derrière le comptoir et me mis

à chercher le registre de l'hôtel

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