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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00299
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  • Tapuscrit

I. 299

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je

m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements

sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes fermées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

Je descendis les escaliers et, Arrivé au bas des escaleirs, à la réception de l'hôtel, hésitant un instant j'hésitai un instant et me rendis à la dans le hall 

de  réception, quise trou était très sombre, où le petit tableau des clésfixé au mur se

découpanitdans l'obscurité.Je passai  ???  derrière  le comptoir,etpassant???  derrière, me mis

à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère, un

grand registre en cuir noir granuleux, queje posai sur le comptoir pour le feuilleter je feuilletaidebout à plat sur le comptoir, me

rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le pensais, ---  carje me souvenais 

très bien que  si le patron de l'hôtel ma'vaitbien demandé mon passeport en arrivant,

il l'avait à peine ouvert et me l'avait rendu tout de suite ---ni mon

nomni celui de mon fils  n'avait pas été enregistré.

I. 299

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je

m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements

sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes fermées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

 Arrivé au bas des escaleirs,  j'hésitai un instant et me rendis à la  

  réception, quise trou était très sombre,  le  tableau des clés se

découpantdans l'obscurité.Je passai    derrière  le comptoiretme mis

à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère, un

grand registre en cuir noir granuleux, que je feuilletaidebout , me

rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le pensais ---  car 

  si le patron de l'hôtel ma'vaitbien demandé mon passeport en arrivant,

il l'avait à peine ouvert et me l'avait rendu tout de suite --- mon

nom  n'avait pas été enregistré.

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I. 299

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je

m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements

sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes fermées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

Je descendis les escaliers et, Arrivé au bas des escaleirs, à la réception de l'hôtel, hésitant un instant j'hésitai un instant et me rendis à la dans le hall 

de  réception, quise trou était très sombre, où le petit tableau des clésfixé au mur se

découpanitdans l'obscurité.Je passai  ???  derrière  le comptoir,etpassant???  derrière, me mis

à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère, un

grand registre en cuir noir granuleux, queje posai sur le comptoir pour le feuilleter je feuilletaidebout à plat sur le comptoir, me

rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le pensais, ---  carje me souvenais 

très bien que  si le patron de l'hôtel ma'vaitbien demandé mon passeport en arrivant,

il l'avait à peine ouvert et me l'avait rendu tout de suite ---ni mon

nomni celui de mon fils  n'avait pas été enregistré.

I. 299

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je

m'habillai sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements

sur la chaise le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils

qui dormait. Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je

m'éloignai dans les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée

de portes fermées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre.

 Arrivé au bas des escaleirs,  j'hésitai un instant et me rendis à la  

  réception, quise trou était très sombre,  le  tableau des clés se

découpantdans l'obscurité.Je passai    derrière  le comptoiretme mis

à chercher le registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère, un

grand registre en cuir noir granuleux, que je feuilletaidebout , me

rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le pensais ---  car 

  si le patron de l'hôtel ma'vaitbien demandé mon passeport en arrivant,

il l'avait à peine ouvert et me l'avait rendu tout de suite --- mon

nom  n'avait pas été enregistré.

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