I. 300
Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis
que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivéau bas des escaliers, j'hésitai un instant etje me rendis à la réception
(à la réception, jecontournai passai derrière le comptoir de le comptoirde la réception et me mis à chercher le
registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris
debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le
pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,
le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport
un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvrisje feuilletai debout, me rendant immédiatement
aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été
enregistré,ni celui de mon fils, et car si le patron de l'hôtel m'avaitbien
demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine
ouvert et me l'avait rendu tout de suite.[Je remis le registre à
sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai
sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.
Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire
dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.
I. 300
Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis
que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé
à la réception, jecontournai le comptoir et me mis à chercher le
registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris
debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le
pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,
le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport
un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvris immédiatement
aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été
enregistré,ni celui de mon fils, et si le patron de l'hôtel m'avait
demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine
ouvert et me l'avait rendu tout de suite.Je remis le registre à
sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai
sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.
Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire
dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.
I. 300
Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis
que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivéau bas des escaliers, j'hésitai un instant etje me rendis à la réception
(à la réception, jecontournai passai derrière le comptoir de le comptoirde la réception et me mis à chercher le
registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris
debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le
pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,
le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport
un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvrisje feuilletai debout, me rendant immédiatement
aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été
enregistré,ni celui de mon fils, et car si le patron de l'hôtel m'avaitbien
demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine
ouvert et me l'avait rendu tout de suite.[Je remis le registre à
sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai
sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.
Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire
dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.
I. 300
Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis
que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai
sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise
le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.
Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans
les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes
fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé
à la réception, jecontournai le comptoir et me mis à chercher le
registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris
debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le
pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,
le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport
un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvris immédiatement
aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été
enregistré,ni celui de mon fils, et si le patron de l'hôtel m'avait
demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine
ouvert et me l'avait rendu tout de suite.Je remis le registre à
sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai
sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.
Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire
dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.