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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00300
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 300

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans

les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes

fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivéau bas des escaliers, j'hésitai un instant etje  me rendis à la réception  

(à la réception, jecontournai passai derrière le comptoir de   le comptoirde la réception et me mis à chercher le

registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris

debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le

pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,

le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport

un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvrisje feuilletai debout, me rendant immédiatement

aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été

enregistré,ni celui de mon fils, et car si le patron de l'hôtel m'avaitbien 

demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite.[Je remis le registre à

sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai

sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.

Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire

dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.

I. 300

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans

les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes

fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé 

à la réception, jecontournai    le comptoir et me mis à chercher le

registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris

debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le

pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,

le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport

un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvris immédiatement

aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été

enregistré,ni celui de mon fils, et  si le patron de l'hôtel m'avait 

demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite.Je remis le registre à

sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai

sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.

Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire

dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.

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I. 300

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans

les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes

fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivéau bas des escaliers, j'hésitai un instant etje  me rendis à la réception  

(à la réception, jecontournai passai derrière le comptoir de   le comptoirde la réception et me mis à chercher le

registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris

debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le

pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,

le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport

un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvrisje feuilletai debout, me rendant immédiatement

aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été

enregistré,ni celui de mon fils, et car si le patron de l'hôtel m'avaitbien 

demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite.[Je remis le registre à

sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai

sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.

Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire

dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.

I. 300

 Le lendemain matin, aux toutes premières heures du jour, tandis

que les volets de la chambre d'hôtel étaient encore fermés, je m'habillai

sans bruit dans le noir, prenant un par un mes vêtements sur la chaise

le plus doucement possible pour ne pas réveiller mon fils qui dormait.

Je quittai la chambre sur la pointe des pieds, et je m'éloignai dans

les couloirs silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes

fermùées derrière lesquelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé 

à la réception, jecontournai    le comptoir et me mis à chercher le

registre de l'hôtel, que je trouvai sur une étagère et que j'ouvris

debout, me rendant immédiatement aux dernières pages. Comme je le

pensais, mon nom ni celui de mon fils n'avaient été inscrit, et, si,

le patron de l'hôtel avait demandé mon passeport

un grand registre en cuir noir granuleux, que j'ouvris immédiatement

aux dernières pages. Comme je le pensais, mon nom n'avait pas été

enregistré,ni celui de mon fils, et  si le patron de l'hôtel m'avait 

demandé mon passeport lorsque j'étais arrivé, il l'avait à peine

ouvert et me l'avait rendu tout de suite.Je remis le registre à

sa place, et, voulant quitter l'hôtel pour prendre l'air, je butai

sur la porte principale qui avait été verrouillé pour la nuit.

Je tâchai de trouver une porte dérobée et finis par m'introduire

dans la salle à manger de l'hôtel encore toute baignée d'obscurité.

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