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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00306
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  • Tapuscrit

I. 306

Une vieille Mercedes grise, très sale et dont une des ailes avant était

accidentée, était garée devant la porte du garage, auquel conduisait un

petit chemin de graviers. Je n'avais jamais vu cette voiture auparavant

et, comme je me demandais ce qu'elle faisait là, je crus entendre un

bruit derrière la maison, du côté de la remise très exactement, comme

la chute d'un râteauimmédiatementsuivie de pasimperceptibles précipités.Cela pouvait aussi 

bien être ceux d'un homme que ceux d'un animal, quelquesa  chat sauvage 

qui s'était introduit dans la propriété en se glissant entre les barreau 

des grilles par exemple, et jJecontinuai de prêterai l'oreille attenti-

vementpendant quelques instants, mais tout était silencieux,tout était 

parfaitement silencieux. Il n'y avait aucun bruit autour de moi,pas un si ce n'est le murmure régulier de la merau loin que l'on apercevait en contrebas de la propriété 

oiseau de nuit,  et tous les volets de la maison des Biaggi étaient

fermés, aussi bien le rideau métallique qui descendait le long de

la baie vitrée du rez de chaussée que les petits volets en bois clair

à double batant des chambres du premier étage.

 J'étais sur le point de rentrer à l'hôtel quand,sur la grille de 

la porte d'entrée, à mih -hauteur d'homme envion,  je remarquai la présence

d'une boîte aux lettresen fer gris sur la grille, qui pendaitlà à mi-hauteur d'homme environ,, bancale, fixée à

undesbarreaux par un fil de fer tordu. Bien que d'aspect vêtuste,

la boîte état fermée à clé et[d1]le battant résista lorsque je voulus

l'ouvrir<d1>. Je ne forçai pas et, glissant mes doigts dans l'interstice

je n'eus aucune difficulté à extraire les six lettres qui s'y trou-

vaient, que j'examinai un instantdistraitem distraitement, étudiant en particulier

le cachet de la poste pour déterminer quand eles avaient été affranchies

très peu de jours plus tôt, en réalité, la plus ancienne datant du

vingt-quatre octobre, avant de remettre[d2]dans la boîtedeux des lettres<d2> 

qui semblaient être des prospectus et de conserver les autresdont l'adresse était manuscrite., que

je glissai dans ma poche. parmi ces quatre lettres, j'avais évidemment

tout de site reconnu la mienne, que j'avais postée à Paris quelques

jours plus tôt. J'aurais très bien la laisser dans la boîte; mais

je n'avais peut-être pas intérêt, me semblait-il, de laisser là une

lettre dans laquele était annoncée mon arrivée à Sasuelo.

I. 306

Une vieille Mercedes grise, très sale et dont une des ailes avant était

accidentée, était garée devant la porte du garage, auquel conduisait un

petit chemin de graviers. Je n'avais jamais vu cette voiture auparavant

et, comme je me demandais ce qu'elle faisait là, je crus entendre un

bruit derrière la maison, du côté de la remise très exactement, comme

la chute d'un râteausuivie de pasimperceptibles .Cela pouvait aussi 

bien être ceux d'un homme que ceux d'un animal, quelquesa  chat sauvage 

qui s'était introduit dans la propriété en se glissant entre les barreau 

des grilles par exemple, et jecontinuai de prêter l'oreille attenti-

vementpendant quelques instants, mais tout était silencieux,tout était 

parfaitement silencieux. Il n'y avait aucun bruit autour de moi,pas un  

oiseau de nuit,  et tous les volets de la maison des Biaggi étaient

fermés, aussi bien le rideau métallique qui descendait le long de

la baie vitrée du rez de chaussée que les petits volets en bois clair

à double batant des chambres du premier étage.

 J'étais sur le point de rentrer à l'hôtel quand,sur la grille de 

la porte d'entrée, à mih -hauteur d'homme envion,  je remarquai la présence

d'une boîte aux lettresen fer gris  qui pendaitlà , bancale, fixée à

undesbarreaux par un fil de fer tordu. Bien que d'aspect vêtuste,

la boîte état fermée à clé etle battant résista lorsque je voulus

l'ouvrir. Je ne forçai pas et, glissant mes doigts dans l'interstice

je n'eus aucune difficulté à extraire les six lettres qui s'y trou-

vaient, que j'examinai un instantdistraitem , étudiant en particulier

le cachet de la poste pour déterminer quand eles avaient été affranchies

très peu de jours plus tôt, en réalité, la plus ancienne datant du

vingt-quatre octobre, avant de remettredans la boîtedeux des lettres 

qui semblaient être des prospectus et de conserver les autres, que

je glissai dans ma poche. parmi ces quatre lettres, j'avais évidemment

tout de site reconnu la mienne, que j'avais postée à Paris quelques

jours plus tôt. J'aurais très bien la laisser dans la boîte; mais

je n'avais peut-être pas intérêt, me semblait-il, de laisser là une

lettre dans laquele était annoncée mon arrivée à Sasuelo.

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I. 306

Une vieille Mercedes grise, très sale et dont une des ailes avant était

accidentée, était garée devant la porte du garage, auquel conduisait un

petit chemin de graviers. Je n'avais jamais vu cette voiture auparavant

et, comme je me demandais ce qu'elle faisait là, je crus entendre un

bruit derrière la maison, du côté de la remise très exactement, comme

la chute d'un râteauimmédiatementsuivie de pasimperceptibles précipités.Cela pouvait aussi 

bien être ceux d'un homme que ceux d'un animal, quelquesa  chat sauvage 

qui s'était introduit dans la propriété en se glissant entre les barreau 

des grilles par exemple, et jJecontinuai de prêterai l'oreille attenti-

vementpendant quelques instants, mais tout était silencieux,tout était 

parfaitement silencieux. Il n'y avait aucun bruit autour de moi,pas un si ce n'est le murmure régulier de la merau loin que l'on apercevait en contrebas de la propriété 

oiseau de nuit,  et tous les volets de la maison des Biaggi étaient

fermés, aussi bien le rideau métallique qui descendait le long de

la baie vitrée du rez de chaussée que les petits volets en bois clair

à double batant des chambres du premier étage.

 J'étais sur le point de rentrer à l'hôtel quand,sur la grille de 

la porte d'entrée, à mih -hauteur d'homme envion,  je remarquai la présence

d'une boîte aux lettresen fer gris sur la grille, qui pendaitlà à mi-hauteur d'homme environ,, bancale, fixée à

undesbarreaux par un fil de fer tordu. Bien que d'aspect vêtuste,

la boîte état fermée à clé et[d1]le battant résista lorsque je voulus

l'ouvrir<d1>. Je ne forçai pas et, glissant mes doigts dans l'interstice

je n'eus aucune difficulté à extraire les six lettres qui s'y trou-

vaient, que j'examinai un instantdistraitem distraitement, étudiant en particulier

le cachet de la poste pour déterminer quand eles avaient été affranchies

très peu de jours plus tôt, en réalité, la plus ancienne datant du

vingt-quatre octobre, avant de remettre[d2]dans la boîtedeux des lettres<d2> 

qui semblaient être des prospectus et de conserver les autresdont l'adresse était manuscrite., que

je glissai dans ma poche. parmi ces quatre lettres, j'avais évidemment

tout de site reconnu la mienne, que j'avais postée à Paris quelques

jours plus tôt. J'aurais très bien la laisser dans la boîte; mais

je n'avais peut-être pas intérêt, me semblait-il, de laisser là une

lettre dans laquele était annoncée mon arrivée à Sasuelo.

I. 306

Une vieille Mercedes grise, très sale et dont une des ailes avant était

accidentée, était garée devant la porte du garage, auquel conduisait un

petit chemin de graviers. Je n'avais jamais vu cette voiture auparavant

et, comme je me demandais ce qu'elle faisait là, je crus entendre un

bruit derrière la maison, du côté de la remise très exactement, comme

la chute d'un râteausuivie de pasimperceptibles .Cela pouvait aussi 

bien être ceux d'un homme que ceux d'un animal, quelquesa  chat sauvage 

qui s'était introduit dans la propriété en se glissant entre les barreau 

des grilles par exemple, et jecontinuai de prêter l'oreille attenti-

vementpendant quelques instants, mais tout était silencieux,tout était 

parfaitement silencieux. Il n'y avait aucun bruit autour de moi,pas un  

oiseau de nuit,  et tous les volets de la maison des Biaggi étaient

fermés, aussi bien le rideau métallique qui descendait le long de

la baie vitrée du rez de chaussée que les petits volets en bois clair

à double batant des chambres du premier étage.

 J'étais sur le point de rentrer à l'hôtel quand,sur la grille de 

la porte d'entrée, à mih -hauteur d'homme envion,  je remarquai la présence

d'une boîte aux lettresen fer gris  qui pendaitlà , bancale, fixée à

undesbarreaux par un fil de fer tordu. Bien que d'aspect vêtuste,

la boîte état fermée à clé etle battant résista lorsque je voulus

l'ouvrir. Je ne forçai pas et, glissant mes doigts dans l'interstice

je n'eus aucune difficulté à extraire les six lettres qui s'y trou-

vaient, que j'examinai un instantdistraitem , étudiant en particulier

le cachet de la poste pour déterminer quand eles avaient été affranchies

très peu de jours plus tôt, en réalité, la plus ancienne datant du

vingt-quatre octobre, avant de remettredans la boîtedeux des lettres 

qui semblaient être des prospectus et de conserver les autres, que

je glissai dans ma poche. parmi ces quatre lettres, j'avais évidemment

tout de site reconnu la mienne, que j'avais postée à Paris quelques

jours plus tôt. J'aurais très bien la laisser dans la boîte; mais

je n'avais peut-être pas intérêt, me semblait-il, de laisser là une

lettre dans laquele était annoncée mon arrivée à Sasuelo.

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