I. 311
J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggi qui s'étaient retirés
dans le village quelques années plus tôt, mais, jusqu'à présent,poussé par une sorte de paresse mêlée d'appréhension, j'avais
toujours retardé le moment de leur rendre visite, évitant même les parages
de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour de mon
arrivée déjà, alors que je pensaisaller les trouver passer chez eux sitôt installer
à l'hôtel,j'abvais sans cesse une sorte de paresse m'avait engourdi, j'avais sans cesse différer le moment d'aller les voir
mêlée d'appréhension, et j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel
sans leur faire signe, sans leur téléphoner.C'était pourtant pour
les voir que je m'étais rendu à Sasuelo --- même si je savais très bien
que les voir m'attristerait et me ferait du mal. Un soir,pourtant, que
je m'étais attardé dans la salle à manger de l'hôtel après le dîner,
finissant mademi-bouteille de vinblanc en échangeant quelques mots avec le
patron,j'avais fini par me décider et tandis que mon fils dormaitdansen
haut dans la chambre , j'avais fini par me décider à leur faire une
visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma
présence.
Trous jours déjà s'étaient écoulésdepuis mon arrivée, et je commençais à m'étonner de
ne pas encore les avoir croisé dans le village, même si, chaque fois
que je quittais l'hôtel, je prenaisbien garde à prendre systématiquementla une direction
opposée de celle de leur maison.Comme, peu avant mon départ, je
leur avais écrit pour les avertir de mon arrivée, je craignais
maintenant qu'ils prissent mal le fait qu'arrivée à Sasuelo depuis
trois jours, je ne me sois pas manifesté, et un soir,
Un soir, pourtant,
I. 311
J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggi qui s'étaient retirés
dans le village quelques années plus tôt, mais, jusqu'à présent, j'avais
toujours retardé le moment de leur rendre visite, évitant même les parages
de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour de mon
arrivée déjà, alors que je pensaisaller les trouver sitôt installer
à l'hôtel,j'abvais sans cesse une sorte de paresse m'avait engourdi,
mêlée d'appréhension, et j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel
sans leur faire signe, sans leur téléphoner.C'était pourtant pour
les voir que je m'étais rendu à Sasuelo --- même si je savais très bien
que les voir m'attristerait et me ferait du mal. Un soirpourtant, que
je m'étais attardé dans la salle à manger de l'hôtel après le dîner,
finissant mabouteille de vin en échangeant quelques mots avec le
patron,j'avais fini par me décider et que mon fils dormaitdansen
haut dans la chambre , j'avais fini par me décider à leur faire une
visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma
présence.
Trous jours déjà s'étaient écoulés, et je commençais à m'étonner de
ne pas encore les avoir croisé dans le village, même si, chaque fois
que je quittais l'hôtel, je prenais systématiquementla direction
opposée de celle de leur maison.Comme, peu avant mon départ, je
leur avais écrit pour les avertir de mon arrivée, je craignais
maintenant qu'ils prissent mal le fait qu'arrivée à Sasuelo depuis
trois jours, je ne me sois pas manifesté, et un soir,
I. 311
J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggi qui s'étaient retirés
dans le village quelques années plus tôt, mais, jusqu'à présent,poussé par une sorte de paresse mêlée d'appréhension, j'avais
toujours retardé le moment de leur rendre visite, évitant même les parages
de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour de mon
arrivée déjà, alors que je pensaisaller les trouver passer chez eux sitôt installer
à l'hôtel,j'abvais sans cesse une sorte de paresse m'avait engourdi, j'avais sans cesse différer le moment d'aller les voir
mêlée d'appréhension, et j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel
sans leur faire signe, sans leur téléphoner.C'était pourtant pour
les voir que je m'étais rendu à Sasuelo --- même si je savais très bien
que les voir m'attristerait et me ferait du mal. Un soir,pourtant, que
je m'étais attardé dans la salle à manger de l'hôtel après le dîner,
finissant mademi-bouteille de vinblanc en échangeant quelques mots avec le
patron,j'avais fini par me décider et tandis que mon fils dormaitdansen
haut dans la chambre , j'avais fini par me décider à leur faire une
visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma
présence.
Trous jours déjà s'étaient écoulésdepuis mon arrivée, et je commençais à m'étonner de
ne pas encore les avoir croisé dans le village, même si, chaque fois
que je quittais l'hôtel, je prenaisbien garde à prendre systématiquementla une direction
opposée de celle de leur maison.Comme, peu avant mon départ, je
leur avais écrit pour les avertir de mon arrivée, je craignais
maintenant qu'ils prissent mal le fait qu'arrivée à Sasuelo depuis
trois jours, je ne me sois pas manifesté, et un soir,
Un soir, pourtant,
I. 311
J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggi qui s'étaient retirés
dans le village quelques années plus tôt, mais, jusqu'à présent, j'avais
toujours retardé le moment de leur rendre visite, évitant même les parages
de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour de mon
arrivée déjà, alors que je pensaisaller les trouver sitôt installer
à l'hôtel,j'abvais sans cesse une sorte de paresse m'avait engourdi,
mêlée d'appréhension, et j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel
sans leur faire signe, sans leur téléphoner.C'était pourtant pour
les voir que je m'étais rendu à Sasuelo --- même si je savais très bien
que les voir m'attristerait et me ferait du mal. Un soirpourtant, que
je m'étais attardé dans la salle à manger de l'hôtel après le dîner,
finissant mabouteille de vin en échangeant quelques mots avec le
patron,j'avais fini par me décider et que mon fils dormaitdansen
haut dans la chambre , j'avais fini par me décider à leur faire une
visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma
présence.
Trous jours déjà s'étaient écoulés, et je commençais à m'étonner de
ne pas encore les avoir croisé dans le village, même si, chaque fois
que je quittais l'hôtel, je prenais systématiquementla direction
opposée de celle de leur maison.Comme, peu avant mon départ, je
leur avais écrit pour les avertir de mon arrivée, je craignais
maintenant qu'ils prissent mal le fait qu'arrivée à Sasuelo depuis
trois jours, je ne me sois pas manifesté, et un soir,