• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00317
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 317

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseau touffus de

racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement et grim-

paient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se fixant par

endroits dans les anfractuosités de la pierre. Quelques grands arbres,

des tamaris et des pins, étaient plantés dans le jardin laissé à l'aban-

don que l'on apercevait à travers les grilles de la porte d'entrée. Une

boîte aux lettres pendouillait sur la grille, bancale, fixée à un barreau

par un morceau de fil de fer tordu.Le jardin semblait ne plus avoir 

été entretenu depuis longtemps, si ce n'est aux abords immédiats de 

la terrassequi paraissait avoir été balayée récemment et [où quelques 

meubles de jardinen fer blancainsi qu'un parasol replié  reposaient sur avaient été laissé dehors 

le sol en tommettes de la terrasse  à côté d'un parasol replié et de deux jarres déco-

ratives contenantldes restes fânés dece qui avait dû être des pétales

d'hortensias.]Ca et là sur le sol, dans des angles de pierresou dans plus loin dans le  ou plus loin dans le???  

la partie plus sauvage du jardin, des marguerites primesautièresavaient poussaienté 

au petit bonheur la chance parmi les herbes hautes et les chardons.C'était une villa basse et de construction récente, basse et allongée  La

villa, basse et allongée, de construction récente, présentait au rez-

de chaussée une vaste porte-fenêtre dont les voletsétaient baissées en bois blanc une terrasse en tomettes 

en store étaientbaissés fermés,tandis ainsi qu'aux deux chambres du premier étage

des petits volets en bois blanc 

Du premier étage au rez de chaussée 

Tous les volets de la maison étaient fermés. 

La nuit tombait et les alentours de la villa se dessinaient dans la pénombre 

I. 317

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseau touffus de

racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement et grim-

paient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se fixant par

endroits dans les anfractuosités de la pierre. Quelques grands arbres,

des tamaris et des pins, étaient plantés dans le jardin laissé à l'aban-

don que l'on apercevait à travers les grilles de la porte d'entrée. Une

boîte aux lettres pendouillait sur la grille, bancale, fixée à un barreau

par un morceau de fil de fer tordu.Le jardin semblait ne plus avoir 

été entretenu depuis longtemps, si ce n'est aux abords immédiats de 

la terrassequi paraissait avoir été balayée récemment et [où quelques 

meubles de jardinen fer blancainsi qu'un parasol replié  reposaient sur  

le sol en tommettes   à côté d'un parasol replié et de deux jarres déco-

ratives contenantles restes fânés dece qui avait dû être des pétales

d'hortensias.Ca et là sur le sol, dans des angles de pierresou dans   

la partie plus sauvage du jardin, des marguerites primesautières poussaient 

au petit bonheur la chance parmi les herbes hautes et les chardons.  La

villa, basse et allongée, de construction récente, présentait au rez-

de chaussée une vaste porte-fenêtre dont les voletsétaient baissées  

en store étaientbaissés ,tandis  qu'aux deux chambres du premier étage

des petits volets en bois blanc 

 

 

 

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 317

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseau touffus de

racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement et grim-

paient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se fixant par

endroits dans les anfractuosités de la pierre. Quelques grands arbres,

des tamaris et des pins, étaient plantés dans le jardin laissé à l'aban-

don que l'on apercevait à travers les grilles de la porte d'entrée. Une

boîte aux lettres pendouillait sur la grille, bancale, fixée à un barreau

par un morceau de fil de fer tordu.Le jardin semblait ne plus avoir 

été entretenu depuis longtemps, si ce n'est aux abords immédiats de 

la terrassequi paraissait avoir été balayée récemment et [où quelques 

meubles de jardinen fer blancainsi qu'un parasol replié  reposaient sur avaient été laissé dehors 

le sol en tommettes de la terrasse  à côté d'un parasol replié et de deux jarres déco-

ratives contenantldes restes fânés dece qui avait dû être des pétales

d'hortensias.]Ca et là sur le sol, dans des angles de pierresou dans plus loin dans le  ou plus loin dans le???  

la partie plus sauvage du jardin, des marguerites primesautièresavaient poussaienté 

au petit bonheur la chance parmi les herbes hautes et les chardons.C'était une villa basse et de construction récente, basse et allongée  La

villa, basse et allongée, de construction récente, présentait au rez-

de chaussée une vaste porte-fenêtre dont les voletsétaient baissées en bois blanc une terrasse en tomettes 

en store étaientbaissés fermés,tandis ainsi qu'aux deux chambres du premier étage

des petits volets en bois blanc 

Du premier étage au rez de chaussée 

Tous les volets de la maison étaient fermés. 

La nuit tombait et les alentours de la villa se dessinaient dans la pénombre 

I. 317

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseau touffus de

racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement et grim-

paient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se fixant par

endroits dans les anfractuosités de la pierre. Quelques grands arbres,

des tamaris et des pins, étaient plantés dans le jardin laissé à l'aban-

don que l'on apercevait à travers les grilles de la porte d'entrée. Une

boîte aux lettres pendouillait sur la grille, bancale, fixée à un barreau

par un morceau de fil de fer tordu.Le jardin semblait ne plus avoir 

été entretenu depuis longtemps, si ce n'est aux abords immédiats de 

la terrassequi paraissait avoir été balayée récemment et [où quelques 

meubles de jardinen fer blancainsi qu'un parasol replié  reposaient sur  

le sol en tommettes   à côté d'un parasol replié et de deux jarres déco-

ratives contenantles restes fânés dece qui avait dû être des pétales

d'hortensias.Ca et là sur le sol, dans des angles de pierresou dans   

la partie plus sauvage du jardin, des marguerites primesautières poussaient 

au petit bonheur la chance parmi les herbes hautes et les chardons.  La

villa, basse et allongée, de construction récente, présentait au rez-

de chaussée une vaste porte-fenêtre dont les voletsétaient baissées  

en store étaientbaissés ,tandis  qu'aux deux chambres du premier étage

des petits volets en bois blanc 

 

 

 

Mentions légales - Crédits - Code source