I. 320
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils, (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si, dans le
même temps, je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait
du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs d'ailleurs,alors que c'était et bien que ce fût spécialement
pour les voir que j'étais venu à Sasuelo, j'avais sans cesse repoussé
le moment de leur rendre visite.J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, faire une promenade, en fin d'après-
midi, j'avais évité les parages de leur maison, me reprochant mollement
??? ??? mon attitude inconséquence toutefois de refus, tout en me disant que s'il était plus simple
pour moi d'être compliqué, autant rester simple, et, rejetant donc toute complication supplémentaire, allongé en chaussettes sur mon lit, en toute simplicité, j'avais alors rejeté toute j'avaisalors pris
la décision décidé de renoncer toutà fait simplement à voir les Biaggi pendant mon séjour,
et ce n'est que le lendemainmatin,toujours allongé sur mon lit que, voulant metttre un terme à la tournure
d'emballement ??? incontrôlé que la question ded'aller voir ou nonvoir les Biaggi com-
mençait) à prendre dans mon esprit,que que j'avais fini par me décider à
leur faire une visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler
ma présence (de toute manière, les Biaggi n'étaient pas là).
Je décidai alors de renoncer
Je méditais lâchement ce??? délicieux cette logique implacable
et,le poussant sa logique à son terme, sa logiqueimplacable imparable,??? , paradoxale lumineuse. j'avais donc, j'avais alors décidé de renoncer tout à fait à aller voir
I. 320
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si, dans le
même temps, je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait
du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs ,alors que c'était spécialement
pour les voir que j'étais venu à Sasuelo, j'avais sans cesse repoussé
le moment de leur rendre visite.J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, faire une promenade, en fin d'après-
midi, j'avais évité les parages de leur maison, me reprochant mollement
mon attitude toutefois , tout en me disant que s'il était plus simple
pour moi d'être compliqué, autant rester simple, etj'avaisalors pris
la décision de renoncer toutà fait à voir les Biaggi pendant mon séjour,
et ce n'est que le lendemain,voulant metttre un terme à la tournure
d'emballement incontrôlé que la question de voir ou non les Biaggi com-
mençait) à prendre dans mon esprit,que j'avais fini par me décider à
leur faire une visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler
ma présence (de toute manière, les Biaggi n'étaient pas là).
I. 320
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils, (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si, dans le
même temps, je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait
du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs d'ailleurs,alors que c'était et bien que ce fût spécialement
pour les voir que j'étais venu à Sasuelo, j'avais sans cesse repoussé
le moment de leur rendre visite.J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, faire une promenade, en fin d'après-
midi, j'avais évité les parages de leur maison, me reprochant mollement
??? ??? mon attitude inconséquence toutefois de refus, tout en me disant que s'il était plus simple
pour moi d'être compliqué, autant rester simple, et, rejetant donc toute complication supplémentaire, allongé en chaussettes sur mon lit, en toute simplicité, j'avais alors rejeté toute j'avaisalors pris
la décision décidé de renoncer toutà fait simplement à voir les Biaggi pendant mon séjour,
et ce n'est que le lendemainmatin,toujours allongé sur mon lit que, voulant metttre un terme à la tournure
d'emballement ??? incontrôlé que la question ded'aller voir ou nonvoir les Biaggi com-
mençait) à prendre dans mon esprit,que que j'avais fini par me décider à
leur faire une visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler
ma présence (de toute manière, les Biaggi n'étaient pas là).
Je décidai alors de renoncer
Je méditais lâchement ce??? délicieux cette logique implacable
et,le poussant sa logique à son terme, sa logiqueimplacable imparable,??? , paradoxale lumineuse. j'avais donc, j'avais alors décidé de renoncer tout à fait à aller voir
I. 320
Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais
beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types
qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des
Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour voir les Biaggi que je
m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si, dans le
même temps, je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait
du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs ,alors que c'était spécialement
pour les voir que j'étais venu à Sasuelo, j'avais sans cesse repoussé
le moment de leur rendre visite.J'étais resté presque tout l'après-midi
à l'hôtel et quand j'étais sorti, faire une promenade, en fin d'après-
midi, j'avais évité les parages de leur maison, me reprochant mollement
mon attitude toutefois , tout en me disant que s'il était plus simple
pour moi d'être compliqué, autant rester simple, etj'avaisalors pris
la décision de renoncer toutà fait à voir les Biaggi pendant mon séjour,
et ce n'est que le lendemain,voulant metttre un terme à la tournure
d'emballement incontrôlé que la question de voir ou non les Biaggi com-
mençait) à prendre dans mon esprit,que j'avais fini par me décider à
leur faire une visite, très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler
ma présence (de toute manière, les Biaggi n'étaient pas là).