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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00319
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I. 319

 C'était en quelque sorte pour voir les Biaggi que je m'étais rendu

à Sasuelo. , Mmais, dans le même temps, je savais très bien que voir les

Biaggi m'attristerait, et,lLe jour de mon arrivée, j'avaistardé à leur souvent comme repoussé le moment d'aller leur

rendre visite. , Jj'étais resté presque tout l'après-midi à l'hôtel et

lorsque quand j'étais sorti,en fin d'après-midi,j'avais évité les parages de leur maison, me

reprochant [d1]toutefois un peu mon attitudecompliquée<d1>,mais tout en me

disant que s'il était plus simple pour moi d'être compliqué, autant

rester simple,et, refusant donc toutes  complications  supplémentaires, 

j'avais pris la décision de donc  renoncer toutsimplement à fait à l'idée de voir

les Biaggi pendant mon séjour, et ce n'est que le lendemain, voulant

mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôlé que la question

de voir ou non les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que

j'avais fini par me décider à leur faire une visite, très brève, m'ima-

ginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de toute manière, les

Biaggi n'étaient pas là).

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait n

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseaucompliqué touffus 

complexe de racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement

et grimpaient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se

fixant par endroits dans les anfractuosités de la pierre. que recelait 

le mur.  Quelques grands arbres, des tamaris et des pins, étaient plantés

dans le jardin laissé à l'abandon que l'on apercevait à travers les

grilles de la porte d'entrée. Une boîte aux lettres pendoullait, 

sur la grille,bancale,fixée à un barreau par un morceau de fil de fer tordu.

Le jardin n'était pas entretenu et des marguerites primesautières, çà

et là, poussaient au petit bonheurla chance parmi les harbes hautes et les chardons.

       dans des angles de pierre ou en plein champs 

I. 319

 C'était en quelque sorte pour voir les Biaggi que je m'étais rendu

à Sasuelo.  Mais, dans le même temps, je savais très bien que voir les

Biaggi m'attristerait, et,le jour de mon arrivée, j'avaistardé à leur 

rendre visite.  J'étais resté presque tout l'après-midi à l'hôtel et

lorsque  j'étais sorti,j'avais évité les parages de leur maison, me

reprochant toutefois un peu mon attitudecompliquée,mais tout en me

disant que s'il était plus simple pour moi d'être compliqué, autant

rester simpleet, refusant donc toutes  complications  supplémentaires, 

j'avais pris la décision de   renoncer toutsimplement  à l'idée de voir

les Biaggi pendant mon séjour, et ce n'est que le lendemain, voulant

mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôlé que la question

de voir ou non les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que

j'avais fini par me décider à leur faire une visite, très brève, m'ima-

ginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de toute manière, les

Biaggi n'étaient pas là).

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait n

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseaucompliqué  

complexe de racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement

et grimpaient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se

fixant par endroits dans les anfractuosités de la pierre que recelait 

le mur.  Quelques grands arbres, des tamaris et des pins, étaient plantés

dans le jardin laissé à l'abandon que l'on apercevait à travers les

grilles de la porte d'entrée. Une boîte aux lettres pendoullait, 

sur la grille,fixée à un barreau par un morceau de fil de fer tordu.

Le jardin n'était pas entretenu et des marguerites primesautières, çà

et là, poussaient au petit bonheur parmi les harbes hautes et les chardons.

        

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I. 319

 C'était en quelque sorte pour voir les Biaggi que je m'étais rendu

à Sasuelo. , Mmais, dans le même temps, je savais très bien que voir les

Biaggi m'attristerait, et,lLe jour de mon arrivée, j'avaistardé à leur souvent comme repoussé le moment d'aller leur

rendre visite. , Jj'étais resté presque tout l'après-midi à l'hôtel et

lorsque quand j'étais sorti,en fin d'après-midi,j'avais évité les parages de leur maison, me

reprochant [d1]toutefois un peu mon attitudecompliquée<d1>,mais tout en me

disant que s'il était plus simple pour moi d'être compliqué, autant

rester simple,et, refusant donc toutes  complications  supplémentaires, 

j'avais pris la décision de donc  renoncer toutsimplement à fait à l'idée de voir

les Biaggi pendant mon séjour, et ce n'est que le lendemain, voulant

mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôlé que la question

de voir ou non les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que

j'avais fini par me décider à leur faire une visite, très brève, m'ima-

ginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de toute manière, les

Biaggi n'étaient pas là).

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait n

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseaucompliqué touffus 

complexe de racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement

et grimpaient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se

fixant par endroits dans les anfractuosités de la pierre. que recelait 

le mur.  Quelques grands arbres, des tamaris et des pins, étaient plantés

dans le jardin laissé à l'abandon que l'on apercevait à travers les

grilles de la porte d'entrée. Une boîte aux lettres pendoullait, 

sur la grille,bancale,fixée à un barreau par un morceau de fil de fer tordu.

Le jardin n'était pas entretenu et des marguerites primesautières, çà

et là, poussaient au petit bonheurla chance parmi les harbes hautes et les chardons.

       dans des angles de pierre ou en plein champs 

I. 319

 C'était en quelque sorte pour voir les Biaggi que je m'étais rendu

à Sasuelo.  Mais, dans le même temps, je savais très bien que voir les

Biaggi m'attristerait, et,le jour de mon arrivée, j'avaistardé à leur 

rendre visite.  J'étais resté presque tout l'après-midi à l'hôtel et

lorsque  j'étais sorti,j'avais évité les parages de leur maison, me

reprochant toutefois un peu mon attitudecompliquée,mais tout en me

disant que s'il était plus simple pour moi d'être compliqué, autant

rester simpleet, refusant donc toutes  complications  supplémentaires, 

j'avais pris la décision de   renoncer toutsimplement  à l'idée de voir

les Biaggi pendant mon séjour, et ce n'est que le lendemain, voulant

mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôlé que la question

de voir ou non les Biaggi commençait à prendre dans mon esprit, que

j'avais fini par me décider à leur faire une visite, très brève, m'ima-

ginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de toute manière, les

Biaggi n'étaient pas là).

 La maison des Biaggi se trouvait légèrement en dehors du village

sur le bord de la route qui montait vers le hameau voisin. Elle était

isolée de l'extérieur par un mur de pierres, assez haut, qu'envahissait n

un enchevêtrement de lierre désséché, qui formait un réseaucompliqué  

complexe de racines noueuses et grisâtres qui se soutenaient mutuellement

et grimpaient le long du mur en s'aggripant les unes aux autres, se

fixant par endroits dans les anfractuosités de la pierre que recelait 

le mur.  Quelques grands arbres, des tamaris et des pins, étaient plantés

dans le jardin laissé à l'abandon que l'on apercevait à travers les

grilles de la porte d'entrée. Une boîte aux lettres pendoullait, 

sur la grille,fixée à un barreau par un morceau de fil de fer tordu.

Le jardin n'était pas entretenu et des marguerites primesautières, çà

et là, poussaient au petit bonheur parmi les harbes hautes et les chardons.

        

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