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yeux arrachés, pendait la tête de poisson décomposée dont les restes épars
demeuraient accrochés au fragment de fil de pêche.<d1>
[d1]La première idée qui m'était venue, en réalité,ce matin quand j'avais découvertle chat mort son cadavre
le cadavre de l'animal dans le portson cadavre dans le port , était que cette tête de poissondécomposée qui pendait hors
de sa gueule était ce qui restait d'un appât de ligne morte qui était
revenu flotter à proximité du bord de la jetée, de sorteque le chat qu'il que le chat qu'il que le chat était
tombé accidentellement dans le port en voulant s'en emparer. A première
vue,en effet, rien ne pouvait mettre en doute qu'il se fût agi d'un accident,
et si plusieurs choses me parurent troublantes par la suite, tout laissait
évidemment me semblait-ilau moins encore à penserqu'au moment où j' je l' je l' avaisque ce matin, quand je n' que lorsquequ'au moment où jel 'avais découvertson le cadavre dans le port, découvertle cadavre du chat son cadavre dans le port le son son cadavre dans le port,
dans le port , c'était la première fois que je le voyais. Car je n'avaisévidemment
jamais vu ce chat auparavant, selon toute vraisemblance --- une seule fois
peut-être, mais sans doute sans témoin, qui se promenait dans le port à la
tombée de la nuit, et qui s'était enfui dès que j'avais tenté de l'approcher.
C'était la veille, ou l'avant-veille peut-être, peu après le coucher
du soleil, et je me trouvais tout seul sur la jetée, allongé dans la pénombre
et la tête penchée au-dessus de l'eau, occupé à guetter un crabe qui s'était
réfugié dans une anfractuosité de la paroi. J'avais un petit chiffon à la
main pourpouvoir le saisir sans que ses pinces ne m'écorchassent les doigts me protéger les doigts de ses pinces,
et de l'autre, je tenais un petit couteau rouillé que j'avaistrouvé non ramassé
loin de là non loin de là sur le quai et dont j'appuyais le plat de la lame sans relâche
contre la carapace du crabe pour tâcher de le déloger. Cela durait depuis
un certain temps déjà, et je serais certaienement venu à bout de sa résistance
si je n'avais été attiré par un bruit de pas furtifs à côté de moi qui
m'avait fait levé la tête, le petit couteau serré dans ma main droite. Le
chat se tenait là, à peine trois mètres de moi, les yeux verts luminescents
qui brillaient dans la nuit et me regardaient fixement.
En me rendant dans le port, le lendemain matin, je remarquai que la
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yeux arrachés, pendait la tête de poisson décomposée dont les restes épars
demeuraient accrochés au fragment de fil de pêche.
La première idée qui m'était venue, en réalité,ce matin quand j'avais découvertle chat mort son cadavre le cadavre de l'animal dans le portson cadavre dans le port , était que cette tête de poissondécomposée qui pendait horsde sa gueule était ce qui restait d'un appât de ligne morte qui étaitrevenu flotter à proximité du bord de la jetée, de sorteque le chat qu'il que le chat qu'il que le chat étaittombé accidentellement dans le port en voulant s'en emparer. A premièrevue,en effet, rien ne pouvait mettre en doute qu'il se fût agi d'un accident,et si plusieurs choses me parurent troublantes par la suite, tout laissaitévidemment me semblait-ilau moins encore à penserqu'au moment où j' je l' je l' avaisque ce matin, quand je n' que lorsquequ'au moment où jel 'avais découvertson le cadavre dans le port, découvertle cadavre du chat son cadavre dans le port le son son cadavre dans le port, dans le port , c'était la première fois que je le voyais. Car je n'avaisévidemment jamais vu ce chat auparavant, selon toute vraisemblance --- une seule foispeut-être, mais sans doute sans témoin, qui se promenait dans le port à latombée de la nuit, et qui s'était enfui dès que j'avais tenté de l'approcher.C'était la veille, ou l'avant-veille peut-être, peu après le coucher
du soleil, et je me trouvais tout seul sur la jetée, allongé dans la pénombre
et la tête penchée au-dessus de l'eau, occupé à guetter un crabe qui s'était
réfugié dans une anfractuosité de la paroi. J'avais un petit chiffon à la
main pourpouvoir le saisir sans que ses pinces ne m'écorchassent les doigts ,
et de l'autre, je tenais un petit couteau rouillé que j'avaistrouvé non
loin de là sur le quai et dont j'appuyais le plat de la lame sans relâche
contre la carapace du crabe pour tâcher de le déloger. Cela durait depuis
un certain temps déjà, et je serais certaienement venu à bout de sa résistance
si je n'avais été attiré par un bruit de pas furtifs à côté de moi qui
m'avait fait levé la tête, le petit couteau serré dans ma main droite. Le
chat se tenait là, à peine trois mètres de moi, les yeux verts luminescents
qui brillaient dans la nuit et me regardaient fixement.
En me rendant dans le port, le lendemain matin, je remarquai que la
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yeux arrachés, pendait la tête de poisson décomposée dont les restes épars
demeuraient accrochés au fragment de fil de pêche.<d1>
[d1]La première idée qui m'était venue, en réalité,ce matin quand j'avais découvertle chat mort son cadavre
le cadavre de l'animal dans le portson cadavre dans le port , était que cette tête de poissondécomposée qui pendait hors
de sa gueule était ce qui restait d'un appât de ligne morte qui était
revenu flotter à proximité du bord de la jetée, de sorteque le chat qu'il que le chat qu'il que le chat était
tombé accidentellement dans le port en voulant s'en emparer. A première
vue,en effet, rien ne pouvait mettre en doute qu'il se fût agi d'un accident,
et si plusieurs choses me parurent troublantes par la suite, tout laissait
évidemment me semblait-ilau moins encore à penserqu'au moment où j' je l' je l' avaisque ce matin, quand je n' que lorsquequ'au moment où jel 'avais découvertson le cadavre dans le port, découvertle cadavre du chat son cadavre dans le port le son son cadavre dans le port,
dans le port , c'était la première fois que je le voyais. Car je n'avaisévidemment
jamais vu ce chat auparavant, selon toute vraisemblance --- une seule fois
peut-être, mais sans doute sans témoin, qui se promenait dans le port à la
tombée de la nuit, et qui s'était enfui dès que j'avais tenté de l'approcher.
C'était la veille, ou l'avant-veille peut-être, peu après le coucher
du soleil, et je me trouvais tout seul sur la jetée, allongé dans la pénombre
et la tête penchée au-dessus de l'eau, occupé à guetter un crabe qui s'était
réfugié dans une anfractuosité de la paroi. J'avais un petit chiffon à la
main pourpouvoir le saisir sans que ses pinces ne m'écorchassent les doigts me protéger les doigts de ses pinces,
et de l'autre, je tenais un petit couteau rouillé que j'avaistrouvé non ramassé
loin de là non loin de là sur le quai et dont j'appuyais le plat de la lame sans relâche
contre la carapace du crabe pour tâcher de le déloger. Cela durait depuis
un certain temps déjà, et je serais certaienement venu à bout de sa résistance
si je n'avais été attiré par un bruit de pas furtifs à côté de moi qui
m'avait fait levé la tête, le petit couteau serré dans ma main droite. Le
chat se tenait là, à peine trois mètres de moi, les yeux verts luminescents
qui brillaient dans la nuit et me regardaient fixement.
En me rendant dans le port, le lendemain matin, je remarquai que la
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yeux arrachés, pendait la tête de poisson décomposée dont les restes épars
demeuraient accrochés au fragment de fil de pêche.
La première idée qui m'était venue, en réalité,ce matin quand j'avais découvertle chat mort son cadavre le cadavre de l'animal dans le portson cadavre dans le port , était que cette tête de poissondécomposée qui pendait horsde sa gueule était ce qui restait d'un appât de ligne morte qui étaitrevenu flotter à proximité du bord de la jetée, de sorteque le chat qu'il que le chat qu'il que le chat étaittombé accidentellement dans le port en voulant s'en emparer. A premièrevue,en effet, rien ne pouvait mettre en doute qu'il se fût agi d'un accident,et si plusieurs choses me parurent troublantes par la suite, tout laissaitévidemment me semblait-ilau moins encore à penserqu'au moment où j' je l' je l' avaisque ce matin, quand je n' que lorsquequ'au moment où jel 'avais découvertson le cadavre dans le port, découvertle cadavre du chat son cadavre dans le port le son son cadavre dans le port, dans le port , c'était la première fois que je le voyais. Car je n'avaisévidemment jamais vu ce chat auparavant, selon toute vraisemblance --- une seule foispeut-être, mais sans doute sans témoin, qui se promenait dans le port à latombée de la nuit, et qui s'était enfui dès que j'avais tenté de l'approcher.C'était la veille, ou l'avant-veille peut-être, peu après le coucher
du soleil, et je me trouvais tout seul sur la jetée, allongé dans la pénombre
et la tête penchée au-dessus de l'eau, occupé à guetter un crabe qui s'était
réfugié dans une anfractuosité de la paroi. J'avais un petit chiffon à la
main pourpouvoir le saisir sans que ses pinces ne m'écorchassent les doigts ,
et de l'autre, je tenais un petit couteau rouillé que j'avaistrouvé non
loin de là sur le quai et dont j'appuyais le plat de la lame sans relâche
contre la carapace du crabe pour tâcher de le déloger. Cela durait depuis
un certain temps déjà, et je serais certaienement venu à bout de sa résistance
si je n'avais été attiré par un bruit de pas furtifs à côté de moi qui
m'avait fait levé la tête, le petit couteau serré dans ma main droite. Le
chat se tenait là, à peine trois mètres de moi, les yeux verts luminescents
qui brillaient dans la nuit et me regardaient fixement.
En me rendant dans le port, le lendemain matin, je remarquai que la