I. 364
Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendait dans le couloir sous
la porte de leur chambre. Les murs étaient très sombres dans la réception,
et le vieux comptoir en bois <d1>sur lequel où reposaient un téléphone etdes quelques
annuaires [d1]se découpait dans la pénombre. Je me glissai sans bruit derrière
le comptoir et me mis à
Seules ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquarium
où quelques poissons évoluaient en silence.
Les murs de la réception étaient très sombre, recouverts d'un vieux
tissu froissé identique à celui des chambres et des couloirs. Un petit
canapé fatigué, presque affaissé, reposait contre le mur, et seules
ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquairum où
quelques poissons allaient et venaient en silence.
, et le petit tableau des clefs se découpait dansl'ombre l'obscurité derrière levieux
comptoiren boisoù sur lequel reposaient un téléphone et quelques annuaires. Seulesressortaient de l'obscurité la pénombre les lumières bleutéesd'un aquarium ressortaient unpeu de la pénombre, où quelques poissons et évoluaient en silence dans un décor de rochesmousses??? miniatures et de mousses marines.
qui contenaient des restes bleuâtres de corymbes d'hortensoisas s'élevaient
de chaque côté de la grande porte-fenêtre. Une vieille M%ercedesqu'il
I. 364
Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendait dans le couloir sous
la porte de leur chambre. Les murs étaient très sombres dans la réception,
et le vieux comptoir en bois sur lequel reposaient un téléphone etdes
annuaires se découpait dans la pénombre. Je me glissai sans bruit derrière
le comptoir et me mis à
Seules ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquarium
où quelques poissons évoluaient en silence.
Les murs de la réception étaient très sombre, recouverts d'un vieux
tissu froissé identique à celui des chambres et des couloirs. Un petit
canapé fatigué, presque affaissé, reposait contre le mur, et seules
ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquairum où
quelques poissons allaient et venaient en silence.
, et le petit tableau des clefs se découpait dansl'ombre derrière le
comptoir. Seulesressortaient de l'obscurité les lumières bleutées
qui contenaient des restes bleuâtres de corymbes d'hortensoisas s'élevaient
de chaque côté de la grande porte-fenêtre. Une vieille M%ercedes
I. 364
Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendait dans le couloir sous
la porte de leur chambre. Les murs étaient très sombres dans la réception,
et le vieux comptoir en bois <d1>sur lequel où reposaient un téléphone etdes quelques
annuaires [d1]se découpait dans la pénombre. Je me glissai sans bruit derrière
le comptoir et me mis à
Seules ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquarium
où quelques poissons évoluaient en silence.
Les murs de la réception étaient très sombre, recouverts d'un vieux
tissu froissé identique à celui des chambres et des couloirs. Un petit
canapé fatigué, presque affaissé, reposait contre le mur, et seules
ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquairum où
quelques poissons allaient et venaient en silence.
, et le petit tableau des clefs se découpait dansl'ombre l'obscurité derrière levieux
comptoiren boisoù sur lequel reposaient un téléphone et quelques annuaires. Seulesressortaient de l'obscurité la pénombre les lumières bleutéesd'un aquarium ressortaient unpeu de la pénombre, où quelques poissons et évoluaient en silence dans un décor de rochesmousses??? miniatures et de mousses marines.
qui contenaient des restes bleuâtres de corymbes d'hortensoisas s'élevaient
de chaque côté de la grande porte-fenêtre. Une vieille M%ercedesqu'il
I. 364
Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendait dans le couloir sous
la porte de leur chambre. Les murs étaient très sombres dans la réception,
et le vieux comptoir en bois sur lequel reposaient un téléphone etdes
annuaires se découpait dans la pénombre. Je me glissai sans bruit derrière
le comptoir et me mis à
Seules ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquarium
où quelques poissons évoluaient en silence.
Les murs de la réception étaient très sombre, recouverts d'un vieux
tissu froissé identique à celui des chambres et des couloirs. Un petit
canapé fatigué, presque affaissé, reposait contre le mur, et seules
ressortaient de la pénombre les lumières bleutées d'un aquairum où
quelques poissons allaient et venaient en silence.
, et le petit tableau des clefs se découpait dansl'ombre derrière le
comptoir. Seulesressortaient de l'obscurité les lumières bleutées
qui contenaient des restes bleuâtres de corymbes d'hortensoisas s'élevaient
de chaque côté de la grande porte-fenêtre. Une vieille M%ercedes