I. 365
Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendaitdans le couloir sous la porte de
leur chambre. Je m'arrêtai un instant devant leur porte; puis,continuant m'introduisant dans la réception
ma route sur la pointe des pieds, je me glissai sans bruit derrière le comptoir de
la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel,
je m'introduisis dans la réception, où le petit tableau des clefs se découpait dans la pénombrederrière le comptoir. Je me glissais sans bruit derrière le comptoir et me mis
Je m'arrêtai un instant, guettant le moindre bruit derrière la porte, puis,
Je passais sans bruit devant la porte et m'introduisis dans la réception. Les les murs de la réception étaient très sombres, et le vieux comptoir au loin sur lequel reposait un téléphone et des annuaires se découpaitdans l'ombre. la pénombre. recouverts d'un vieux tissu froissé, et,çà et là, un tableau était accroché le petit tableau des clefs se découpait dans la pénombre. Un petit canapé fatigué, presque affaissése découpait dans l'ombre. reposait contre le mur.Quelques tableaux très sombres, çà et là, se découpaient dans l'ombre. et se découpaient dans l'ombre. Je passais sans bruit derrière
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Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendait sous la porte de
leur chambre. Je m'arrêtai un instant devant leur porte; puis,continuant
sur la pointe des pieds, je me glissai sans bruit derrière le comptoir de
la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel,
Je m'arrêtai un instant, guettant le moindre bruit derrière la porte, puis,
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Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendaitdans le couloir sous la porte de
leur chambre. Je m'arrêtai un instant devant leur porte; puis,continuant m'introduisant dans la réception
ma route sur la pointe des pieds, je me glissai sans bruit derrière le comptoir de
la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel,
je m'introduisis dans la réception, où le petit tableau des clefs se découpait dans la pénombrederrière le comptoir. Je me glissais sans bruit derrière le comptoir et me mis
Je m'arrêtai un instant, guettant le moindre bruit derrière la porte, puis,
Je passais sans bruit devant la porte et m'introduisis dans la réception. Les les murs de la réception étaient très sombres, et le vieux comptoir au loin sur lequel reposait un téléphone et des annuaires se découpaitdans l'ombre. la pénombre. recouverts d'un vieux tissu froissé, et,çà et là, un tableau était accroché le petit tableau des clefs se découpait dans la pénombre. Un petit canapé fatigué, presque affaissése découpait dans l'ombre. reposait contre le mur.Quelques tableaux très sombres, çà et là, se découpaient dans l'ombre. et se découpaient dans l'ombre. Je passais sans bruit derrière
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Lorsque je rentrai à l'hôtel, ce soir-là, il n'y avait plus un bruit
dans les couloirs. Toutes les lumières étaient éteintes, et je gagnai la
réception en silence. Les patrons de l'hôtel ne dormaient pas encore, ap-
paremment, car un rai de lumière allongée s'étendait sous la porte de
leur chambre. Je m'arrêtai un instant devant leur porte; puis,continuant
sur la pointe des pieds, je me glissai sans bruit derrière le comptoir de
la réception et me mis à chercher le registre de l'hôtel,
Je m'arrêtai un instant, guettant le moindre bruit derrière la porte, puis,